Barack Obama a annoncé mercredi 17 décembre des mesures historiques pour normaliser les relations entre les États-Unis et Cuba. « Le moment est venu d’une approche nouvelle », a déclaré le président américain mercredi lors d’une conférence de presse. Au même moment s’exprimait le dirigeant cubain Raul Castro. Remerciant le pape pour son entremise. Concernant cette affaire le pape argentin affirme qu'il n'est pas un politique, mais un pasteur, mais dans les faits c’est exactement le contraire. Dans sa manière d’agir, il reste en droite file avec la technique des jésuites, dont seule la fin justifie les moyens. Transformé en douce colombe médiatique, notre loup ravisseur poursuit avec beaucoup d’efficacité son chemin diplomatique.
Le nouveau succès diplomatique obtenu par le pape latino-américain François dans la réconciliation américano-cubaine est le dernier en date sur la scène mondiale, car il sait user de son prestige pour renforcer le poids du Vatican. Le présent succès est le fruit d'une longue médiation du Vatican et de l'Église cubaine dans les récents changements politiques sur l'île, après les voyages à la Havane de ses deux prédécesseurs Jean Paul II (en 1998) et Benoît XVI (en 2012). Le Vatican a confirmé que Jorge Bergoglio avait adressé deux lettres aux présidents américain Barack Obama et cubain Raul Castro, puis que la secrétairerie d'État avait reçu des délégations des deux pays en octobre pour une mission de bons offices. Ce succès du pape François salué par Barack Obama, permet à la diplomatie vaticane de retrouver la visibilité qu'elle avait avec Jean Paul II, au moment de la chute du Rideau de fer. Secrète et silencieuse, celle-ci n'a pourtant jamais cessé d’œuvrer, le réseau diplomatique des nonces étant un des plus étendus du monde, notamment à l’ONU. L’efficacité diplomatique du pape polonais Jean-Paul II pour faire tomber le rideau de fer, devrait suffire par elle-même à nous mettre en garde contre ce qui se prépare dans un proche avenir. Surtout si on prend en considération ce qui se passe en ce moment en Ukraine et ses conséquences sur la Russie. L’alliance totalement hors-norme entre le goupillon vaticanais et le compas américains n’augure rien de bon quand les forces du mal s’associent non pour diviser, mais unir.
La chute du rideau de fer a précédé l’élargissement de l’Union européenne et dans la foulée la mise en place de l’euro. Dans l’eschatologie de notre temps, ce n’est rien de moins que l’établissement dans ses frontières de la bête de l’Apocalypse et de sa marque. Normalement tous les voyants chrétiens dans l’Église du Christ auraient dû se mettre au rouge et les sirènes hurler, mais à part quelques lanceurs d’alerte comme moi, les pasteurs aveugles qui conduisent des aveugles, continuent de baigner dans la vomissure du Christ qui caractérise tant l’Église de Laodicée. Totalement préoccupés par leur petite situation personnelle et l’enrichissement de leurs églises, la très grande majorité des pasteurs des églises qui ne font pas partie du catholicisme peuvent être considérés comme totalement endormis spirituellement. Cette situation ouvrant un boulevard aux forces du mal qui progressent comme jamais dans l’histoire de l’humanité.
Le succès de la fête de Noël ne proclamant par elle-même rien de moins que la fin du christianisme évangélique avalé par l’idolâtrie catholique et la montée en puissance du faux prophète du Vatican. Sa prochaine cible diplomatique, visera à mettre le drapeau du Vatican sur le plus haut sommet religieux de la planète, Jérusalem et le Mont du Temple. Je le dis et le répète depuis l’élection du pape François, ce jésuite sud-américain a été choisi pour contrer les évangélistes en Amérique et unir tous les patriarches en Occident et Orient sous sa coupe. Ce qui implique l’Église orthodoxe par le truchement du Patriarche Bartholomée 1er, Premier Patriarche de toute l'Orthodoxie. Les Églises orthodoxes représentent dans le monde la troisième plus grande confession chrétienne en nombre de fidèles après l'Église catholique et les dénominations protestantes. On estime leur nombre à 250 millions dans le monde, principalement présentes dans l'antique zone de culture grecque, c'est-à-dire dans la zone orientale du bassin de la Méditerranée (Grèce, Turquie, Syrie, Liban, Israël, Palestine, Égypte, Arménie, Géorgie), dans les zones de peuplement slave (Russie, Ukraine, Biélorussie, Bulgarie, Serbie, Monténégro, République de Macédoine) ainsi qu'en Roumanie et Moldavie. En nombre, les réseaux politiques orthodoxes associés à ceux du Vatican domineront largement tous les autres réseaux politiques et religieux dans le monde, affaiblissant grandement l’influence diplomatique d’Israël dans le monde. Le monde arabe laminé par le printemps arabe et la guerre avec les fanatiques musulmans, n’est plus en capacité de parler d’une seule voix et donc devient toujours plus faible politiquement. Le pape peut alors viser la gouvernance religieuse dans le monde par la voie diplomatique et gagner l’ONU à sa cause.
Si le pape réussit à devenir le chef de file diplomatique « chrétien » avec les orthodoxes, alors sa force politique deviendra incommensurablement supérieure à celle des dénominations protestantes et le soutien diplomatique des États unis à Israël faiblira pour finalement s’éteindre. Les forces du mal seront alors en position de force pour chercher à prendre le contrôle de Jérusalem. Car si les catholiques, les orthodoxes chrétiens et les orthodoxes juifs de tendance hassidiques s’unissent, alors plus rien ne s’opposera à la reconstruction du troisième temple et l’intronisation de l’antéchrist.
Les revers à répétition de la diplomatie israélienne ne peuvent se comprendre qu’à l’aune de ce qui est écrit plus haut. Car Israël a dû avaler des couleuvres mercredi 17 décembre, où l'État israélien a réagi avec colère au retrait du Hamas de la liste terroriste européenne et au soutien européen de «principe» à la reconnaissance de l'État palestinien. De plus, les États partis aux Conventions de Genève lui ont aussi demandé de respecter le droit international humanitaire. Le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s'est alors déchaîné. «Le Tribunal de l'UE a retiré le Hamas de la liste d'organisations terroristes (...), il semble que beaucoup trop (de gens) en Europe, où six millions de juifs ont été massacrés, n'ont rien appris», a-t-il affirmé. Il devrait être clair que l’Europe et le Vatican utilise ce moyen pour faire pression sur Israël.
A New York les Palestiniens ont soumis également mercredi au Conseil de sécurité de l'ONU un projet de résolution suggérant d'aboutir à un accord de paix avec Israël d'ici un an, mais se sont déclarés immédiatement prêts à l'amender pour éviter un veto américain. Le texte, présenté par la Jordanie, seul membre arabe du Conseil, "affirme l'urgence de parvenir à une paix globale, juste et durable" dans un délai de douze mois après l'adoption de la résolution. Le modèle, précise-t-il, est la coexistence pacifique de "deux États indépendants, démocratiques et prospères : Israël et un État palestinien viable et contigu", avec Jérusalem comme "capitale partagée". Le texte mentionne, comme un des "paramètres" d'une solution négociée, "un retrait complet et par étapes des forces de sécurité israéliennes, qui mettra fin à l'occupation commencée en 1967 (...) dans un laps de temps raisonnable, qui ne devra pas dépasser la fin de l'année 2017". Les Européens de leur côté, travaillent depuis plusieurs semaines sur un texte de compromis qui soit acceptable pour les États-Unis. Il va de soi que le Vatican met tout son poids dans la balance, pour que cela penche du côté qui lui est le plus favorable. Un Etat d’Israël découpé de cette manière sortirait totalement du cadre des Ecritures et c’est bien le but que se fixe Satan en agissant ainsi par le truchement des nations.
Satan place ses pions sur l’échiquier mondial de manière très favorable pour lui. Clairement l’Église de Christ recule spirituellement dans le monde occidental et cela se mesure dans la progression du mal qui devient de plus visible et surtout s’impose un peu partout. Des pasteurs tièdes, la fête de Noël qui s’impose, des pythies qui annoncent un enlèvement prochain qui est totalement en contradiction avec le sens des écritures, des relations avec Israël qui se dégradent conjointement avec une montée en puissance de l’antisémitisme, etc. Mais croire que le Seigneur reste inactif serait une lourde erreur. Dieu bouge ses pions également, mais sur une surface de jeu toujours plus restreinte et avec un nombre de pions minimaux. Une refondation en profondeur de l’Église est en cours et se passe de manière informelle hors du système dénominationnel courant. C’est le sens de la tétrade en cours, un resserrement de l’Église qui soutient Israël, un messianisme chrétien fondé sur le modèle apostolique originel, ce qui implique un développement toujours plus accru des églises de maison ayant le shabbat au centre de leur vie, l’abandon de la sainte cène hebdomadaire le dimanche pour la célébration de Pâque instauré par Jésus. Ces quelques points suffisent à eux-mêmes pour annoncer un temps nouveau qui unira Ephraïm (chrétiens) et Juda (juifs) en un seul corps formant l’Épouse d’Apocalypse 12.
Il faut donc s’attendre à de très fortes secousses politiques, économiques et sociales dans les prochains temps. Ce ne sera que la perception de l’onde de choc des pions qui tombent sur l’échiquier mondial. Il ne fait plus de doute que le jeu s’accélère et que le rythme qu’impose la partie ne permet plus à ceux qui restent statiques et endormis dans leur église de suivre ou comprendre quoi que soit. Ce qui vient est tellement différent de la conception habituelle qu’en ont les juifs et les chrétiens enkystés dans leurs traditions et dogmes, que les choses se passent exactement de la même manière qu’au temps de Jésus. Le Messie est au milieu du peuple et la très grande majorité qui suit l’enseignement des chefs religieux est incapable de le reconnaître. Aujourd’hui ce même Messie se donne une Épouse à Son image et l’ensemble des religions qui se reconnaissent comme monothéiste passent complètement à côté de l’œuvre de Dieu qui se passe sous leur propre nez. Il n’y a rien de neuf sous le soleil…
Le nouveau succès diplomatique obtenu par le pape latino-américain François dans la réconciliation américano-cubaine est le dernier en date sur la scène mondiale, car il sait user de son prestige pour renforcer le poids du Vatican. Le présent succès est le fruit d'une longue médiation du Vatican et de l'Église cubaine dans les récents changements politiques sur l'île, après les voyages à la Havane de ses deux prédécesseurs Jean Paul II (en 1998) et Benoît XVI (en 2012). Le Vatican a confirmé que Jorge Bergoglio avait adressé deux lettres aux présidents américain Barack Obama et cubain Raul Castro, puis que la secrétairerie d'État avait reçu des délégations des deux pays en octobre pour une mission de bons offices. Ce succès du pape François salué par Barack Obama, permet à la diplomatie vaticane de retrouver la visibilité qu'elle avait avec Jean Paul II, au moment de la chute du Rideau de fer. Secrète et silencieuse, celle-ci n'a pourtant jamais cessé d’œuvrer, le réseau diplomatique des nonces étant un des plus étendus du monde, notamment à l’ONU. L’efficacité diplomatique du pape polonais Jean-Paul II pour faire tomber le rideau de fer, devrait suffire par elle-même à nous mettre en garde contre ce qui se prépare dans un proche avenir. Surtout si on prend en considération ce qui se passe en ce moment en Ukraine et ses conséquences sur la Russie. L’alliance totalement hors-norme entre le goupillon vaticanais et le compas américains n’augure rien de bon quand les forces du mal s’associent non pour diviser, mais unir.
La chute du rideau de fer a précédé l’élargissement de l’Union européenne et dans la foulée la mise en place de l’euro. Dans l’eschatologie de notre temps, ce n’est rien de moins que l’établissement dans ses frontières de la bête de l’Apocalypse et de sa marque. Normalement tous les voyants chrétiens dans l’Église du Christ auraient dû se mettre au rouge et les sirènes hurler, mais à part quelques lanceurs d’alerte comme moi, les pasteurs aveugles qui conduisent des aveugles, continuent de baigner dans la vomissure du Christ qui caractérise tant l’Église de Laodicée. Totalement préoccupés par leur petite situation personnelle et l’enrichissement de leurs églises, la très grande majorité des pasteurs des églises qui ne font pas partie du catholicisme peuvent être considérés comme totalement endormis spirituellement. Cette situation ouvrant un boulevard aux forces du mal qui progressent comme jamais dans l’histoire de l’humanité.
Le succès de la fête de Noël ne proclamant par elle-même rien de moins que la fin du christianisme évangélique avalé par l’idolâtrie catholique et la montée en puissance du faux prophète du Vatican. Sa prochaine cible diplomatique, visera à mettre le drapeau du Vatican sur le plus haut sommet religieux de la planète, Jérusalem et le Mont du Temple. Je le dis et le répète depuis l’élection du pape François, ce jésuite sud-américain a été choisi pour contrer les évangélistes en Amérique et unir tous les patriarches en Occident et Orient sous sa coupe. Ce qui implique l’Église orthodoxe par le truchement du Patriarche Bartholomée 1er, Premier Patriarche de toute l'Orthodoxie. Les Églises orthodoxes représentent dans le monde la troisième plus grande confession chrétienne en nombre de fidèles après l'Église catholique et les dénominations protestantes. On estime leur nombre à 250 millions dans le monde, principalement présentes dans l'antique zone de culture grecque, c'est-à-dire dans la zone orientale du bassin de la Méditerranée (Grèce, Turquie, Syrie, Liban, Israël, Palestine, Égypte, Arménie, Géorgie), dans les zones de peuplement slave (Russie, Ukraine, Biélorussie, Bulgarie, Serbie, Monténégro, République de Macédoine) ainsi qu'en Roumanie et Moldavie. En nombre, les réseaux politiques orthodoxes associés à ceux du Vatican domineront largement tous les autres réseaux politiques et religieux dans le monde, affaiblissant grandement l’influence diplomatique d’Israël dans le monde. Le monde arabe laminé par le printemps arabe et la guerre avec les fanatiques musulmans, n’est plus en capacité de parler d’une seule voix et donc devient toujours plus faible politiquement. Le pape peut alors viser la gouvernance religieuse dans le monde par la voie diplomatique et gagner l’ONU à sa cause.
Si le pape réussit à devenir le chef de file diplomatique « chrétien » avec les orthodoxes, alors sa force politique deviendra incommensurablement supérieure à celle des dénominations protestantes et le soutien diplomatique des États unis à Israël faiblira pour finalement s’éteindre. Les forces du mal seront alors en position de force pour chercher à prendre le contrôle de Jérusalem. Car si les catholiques, les orthodoxes chrétiens et les orthodoxes juifs de tendance hassidiques s’unissent, alors plus rien ne s’opposera à la reconstruction du troisième temple et l’intronisation de l’antéchrist.
Les revers à répétition de la diplomatie israélienne ne peuvent se comprendre qu’à l’aune de ce qui est écrit plus haut. Car Israël a dû avaler des couleuvres mercredi 17 décembre, où l'État israélien a réagi avec colère au retrait du Hamas de la liste terroriste européenne et au soutien européen de «principe» à la reconnaissance de l'État palestinien. De plus, les États partis aux Conventions de Genève lui ont aussi demandé de respecter le droit international humanitaire. Le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s'est alors déchaîné. «Le Tribunal de l'UE a retiré le Hamas de la liste d'organisations terroristes (...), il semble que beaucoup trop (de gens) en Europe, où six millions de juifs ont été massacrés, n'ont rien appris», a-t-il affirmé. Il devrait être clair que l’Europe et le Vatican utilise ce moyen pour faire pression sur Israël.
A New York les Palestiniens ont soumis également mercredi au Conseil de sécurité de l'ONU un projet de résolution suggérant d'aboutir à un accord de paix avec Israël d'ici un an, mais se sont déclarés immédiatement prêts à l'amender pour éviter un veto américain. Le texte, présenté par la Jordanie, seul membre arabe du Conseil, "affirme l'urgence de parvenir à une paix globale, juste et durable" dans un délai de douze mois après l'adoption de la résolution. Le modèle, précise-t-il, est la coexistence pacifique de "deux États indépendants, démocratiques et prospères : Israël et un État palestinien viable et contigu", avec Jérusalem comme "capitale partagée". Le texte mentionne, comme un des "paramètres" d'une solution négociée, "un retrait complet et par étapes des forces de sécurité israéliennes, qui mettra fin à l'occupation commencée en 1967 (...) dans un laps de temps raisonnable, qui ne devra pas dépasser la fin de l'année 2017". Les Européens de leur côté, travaillent depuis plusieurs semaines sur un texte de compromis qui soit acceptable pour les États-Unis. Il va de soi que le Vatican met tout son poids dans la balance, pour que cela penche du côté qui lui est le plus favorable. Un Etat d’Israël découpé de cette manière sortirait totalement du cadre des Ecritures et c’est bien le but que se fixe Satan en agissant ainsi par le truchement des nations.
Satan place ses pions sur l’échiquier mondial de manière très favorable pour lui. Clairement l’Église de Christ recule spirituellement dans le monde occidental et cela se mesure dans la progression du mal qui devient de plus visible et surtout s’impose un peu partout. Des pasteurs tièdes, la fête de Noël qui s’impose, des pythies qui annoncent un enlèvement prochain qui est totalement en contradiction avec le sens des écritures, des relations avec Israël qui se dégradent conjointement avec une montée en puissance de l’antisémitisme, etc. Mais croire que le Seigneur reste inactif serait une lourde erreur. Dieu bouge ses pions également, mais sur une surface de jeu toujours plus restreinte et avec un nombre de pions minimaux. Une refondation en profondeur de l’Église est en cours et se passe de manière informelle hors du système dénominationnel courant. C’est le sens de la tétrade en cours, un resserrement de l’Église qui soutient Israël, un messianisme chrétien fondé sur le modèle apostolique originel, ce qui implique un développement toujours plus accru des églises de maison ayant le shabbat au centre de leur vie, l’abandon de la sainte cène hebdomadaire le dimanche pour la célébration de Pâque instauré par Jésus. Ces quelques points suffisent à eux-mêmes pour annoncer un temps nouveau qui unira Ephraïm (chrétiens) et Juda (juifs) en un seul corps formant l’Épouse d’Apocalypse 12.
Il faut donc s’attendre à de très fortes secousses politiques, économiques et sociales dans les prochains temps. Ce ne sera que la perception de l’onde de choc des pions qui tombent sur l’échiquier mondial. Il ne fait plus de doute que le jeu s’accélère et que le rythme qu’impose la partie ne permet plus à ceux qui restent statiques et endormis dans leur église de suivre ou comprendre quoi que soit. Ce qui vient est tellement différent de la conception habituelle qu’en ont les juifs et les chrétiens enkystés dans leurs traditions et dogmes, que les choses se passent exactement de la même manière qu’au temps de Jésus. Le Messie est au milieu du peuple et la très grande majorité qui suit l’enseignement des chefs religieux est incapable de le reconnaître. Aujourd’hui ce même Messie se donne une Épouse à Son image et l’ensemble des religions qui se reconnaissent comme monothéiste passent complètement à côté de l’œuvre de Dieu qui se passe sous leur propre nez. Il n’y a rien de neuf sous le soleil…
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