En 2013, les catastrophes naturelles poursuivent leurs progressions dans le monde. Une bonne manière de les mesurer est de faire la somme des remboursements effectués par les assurances. Cependant quand c’est des pays pauvres qui sont touchés, cela perd tout son sens, comme ce fut le cas aux Philippines cette année, frappée par le typhon géant Haiyan. Ce fut le plus puissant mesuré à ce jour parmi les cyclones ayant touché terre depuis qu'on effectue des relevés météorologiques. Jamais encore sur terre, on n'avait jamais enregistré des vents soufflant à plus de 360 km/h. Ainsi si on fait la moyenne de la dernière décennie, les pertes économiques mondiales liées à des désastres climatiques ont presque atteint le montant de 200 milliards de dollars par an, alors qu'elles étaient évaluées à 50 milliards de dollars annuels dans la décennie 80. En trente ans, le coût à donc été multiplié par quatre, pour un total de 3800 milliards de dollars entre 1980 et 2012, calcule l'institution, se fondant sur les chiffres fournis par la compagnie de réassurance Munich Re. En plus des destructions de biens privés et d'infrastructures publiques, 2,5 millions de personnes ont été tuées par ce fléau.
Concernant les hommes, dans le monde musulman le chaos s’installe durablement après le printemps arabe. Tunisie, Libye, Égypte : Pas un seul de ces pays ayant nourri le printemps arabe ne constitue l’exception à la vague de violence et d’instabilité qui a déferlé depuis la mise en place des gouvernements transitoires. En Syrie le régime de Bachar Al-Assad reprend progressivement le dessus sur les islamistes soutenus par les pays du Golfe, mais dans un pays en ruine. L'Iraq, de son côté, replonge dans les luttes confessionnelles et est plus divisé que jamais. A ces pays vient se rajouter la Turquie. Depuis le mois de juin, le gouvernement de M. Erdogan fait face à de spectaculaires expressions de mécontentement populaire et la justice vient de mettre en examen pour corruption ses plus proches collaborateurs. Au milieu de tout cela, Israël voit ses ennemis anéantis sans combattre et va devoir lui aussi en se concentrant sur lui-même préparer en son sein la venue du Mashiah.
Dans les pays de l’OCDE la guerre monétaire poursuit son combat et des centaines de milliards de yens, dollars ou euros continuent de se déverser dans des économies qui voient se former des bulles spéculatives monstrueuses, tout en précipitant dans la pauvreté des millions de personnes. Aux États-Unis la situation s’améliore paraît-il ? Cependant des villes sont mises en faillites, les bons de nourriture sont en constante augmentation et le plafond de la dette est constamment rehaussé. Au Japon on danse sur un volcan, la BoJ inonde les marchés de liquidité en élevant son stock d'obligations d'Etat de 50.000 milliards de yens en rythme annuel (350 milliards d'euros). Propulsant la Bourse de Tokyo en orbite et qui a terminé 2013 en fanfare sur un bond annuel de 57%, du jamais vu depuis 40 ans. En Europe on continue de serrer les boulons budgétaires et l’euro que tout le monde voyait moribond reprend de la hauteur face au dollar et au yen, même face à l’or qui a dégringolé toute l’année 2013. Mais l’euro roi est un monarque cruel, des millions de citoyens de l’eurozone basculent dans la pauvreté et la précarité, notamment dans les pays du sud.
L’année 2013 aura donc été une année de consolidation dans les crises. Les lézardes qui fragilisent un peu plus la finance mondiale s’élargissent au rythme des annonces tonitruantes des envolées boursières et des records constamment battus dans les ventes aux enchères artistiques, dont certains montants défient l’imagination. Cependant les dons spirituels que nous recevons sont invariables et renouvelés constamment dans la même direction : une vague gigantesque va tout emporter et remodeler dans ses profondeurs le monde ET l’Eglise du Christ. Le temps n’est plus aux avertissements, cela fut fait il y a des années, mais à l’action spirituelle face au choc à venir. Aucun secours terrestre n’est à attendre, du style réserves de nourriture ou achat d’or comme certains s’évertuent à le conseiller. Car le secoure viendra de l’Éternel ou il ne viendra pas et il n’y aura pas d’entre les deux, comme c’est la mode actuelle dans les Églises qui mêlent beaucoup de confiance dans le terrestre et un peu dans le Seigneur en cas de coup dur. L’épreuve qui vient n’aura pas pour but de réveiller le corps mort des Églises appartenant au passé, mais d’en extraire ceux qui ont encore de la vie en eux pour former le nouveau corps de l’Épouse. On ne fait pas du neuf avec du vieux.
Concernant les hommes, dans le monde musulman le chaos s’installe durablement après le printemps arabe. Tunisie, Libye, Égypte : Pas un seul de ces pays ayant nourri le printemps arabe ne constitue l’exception à la vague de violence et d’instabilité qui a déferlé depuis la mise en place des gouvernements transitoires. En Syrie le régime de Bachar Al-Assad reprend progressivement le dessus sur les islamistes soutenus par les pays du Golfe, mais dans un pays en ruine. L'Iraq, de son côté, replonge dans les luttes confessionnelles et est plus divisé que jamais. A ces pays vient se rajouter la Turquie. Depuis le mois de juin, le gouvernement de M. Erdogan fait face à de spectaculaires expressions de mécontentement populaire et la justice vient de mettre en examen pour corruption ses plus proches collaborateurs. Au milieu de tout cela, Israël voit ses ennemis anéantis sans combattre et va devoir lui aussi en se concentrant sur lui-même préparer en son sein la venue du Mashiah.
Dans les pays de l’OCDE la guerre monétaire poursuit son combat et des centaines de milliards de yens, dollars ou euros continuent de se déverser dans des économies qui voient se former des bulles spéculatives monstrueuses, tout en précipitant dans la pauvreté des millions de personnes. Aux États-Unis la situation s’améliore paraît-il ? Cependant des villes sont mises en faillites, les bons de nourriture sont en constante augmentation et le plafond de la dette est constamment rehaussé. Au Japon on danse sur un volcan, la BoJ inonde les marchés de liquidité en élevant son stock d'obligations d'Etat de 50.000 milliards de yens en rythme annuel (350 milliards d'euros). Propulsant la Bourse de Tokyo en orbite et qui a terminé 2013 en fanfare sur un bond annuel de 57%, du jamais vu depuis 40 ans. En Europe on continue de serrer les boulons budgétaires et l’euro que tout le monde voyait moribond reprend de la hauteur face au dollar et au yen, même face à l’or qui a dégringolé toute l’année 2013. Mais l’euro roi est un monarque cruel, des millions de citoyens de l’eurozone basculent dans la pauvreté et la précarité, notamment dans les pays du sud.
L’année 2013 aura donc été une année de consolidation dans les crises. Les lézardes qui fragilisent un peu plus la finance mondiale s’élargissent au rythme des annonces tonitruantes des envolées boursières et des records constamment battus dans les ventes aux enchères artistiques, dont certains montants défient l’imagination. Cependant les dons spirituels que nous recevons sont invariables et renouvelés constamment dans la même direction : une vague gigantesque va tout emporter et remodeler dans ses profondeurs le monde ET l’Eglise du Christ. Le temps n’est plus aux avertissements, cela fut fait il y a des années, mais à l’action spirituelle face au choc à venir. Aucun secours terrestre n’est à attendre, du style réserves de nourriture ou achat d’or comme certains s’évertuent à le conseiller. Car le secoure viendra de l’Éternel ou il ne viendra pas et il n’y aura pas d’entre les deux, comme c’est la mode actuelle dans les Églises qui mêlent beaucoup de confiance dans le terrestre et un peu dans le Seigneur en cas de coup dur. L’épreuve qui vient n’aura pas pour but de réveiller le corps mort des Églises appartenant au passé, mais d’en extraire ceux qui ont encore de la vie en eux pour former le nouveau corps de l’Épouse. On ne fait pas du neuf avec du vieux.
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