http://schoenelblog2.blogspot.com/ Lettre à l'Epouse 2: La guerre maçonnico-socialiste et ses dégâts

jeudi 20 juin 2013

La guerre maçonnico-socialiste et ses dégâts

Dans son combat maçonnico-socialiste le gouvernement durcit le ton. Un opposant au mariage homosexuel de 23 ans a en effet été condamné mercredi à quatre mois de prison, dont deux mois ferme avec mandat de dépôt et 1.000 euros d'amende pour rébellion et refus de prélèvement ADN. Il avait manifesté dimanche dernier avec quelque 1.500 personnes devant les locaux de la chaîne de télévision M6, à Neuilly-sur-Seine, où François Hollande participait à l'émission «Capital». Il s'était ensuite rendu dans le XVIe arrondissement où il avait été interpellé, aucune manifestation n'ayant alors été déclarée.



«C'est scandaleux, monstrueux», a réagi mercredi soir Me Frédéric Pichon, avocat impliqué dans la défense des opposants au mariage homosexuel. «Ils ont voulu faire un exemple, il était dans le collimateur. Ils veulent que le mouvement s'arrête», a poursuivi Me Pichon, qui a affirmé que le jeune homme a fait appel. Sur les réseaux sociaux, les réactions n'ont pas tardé. «Lamentable», «délirant», pouvait-on notamment lire sur la page Facebook d'opposants au mariage homosexuel. L’idéologie antéchrist de ce gouvernement se durcit de jour en jour et cet acte purement politique peut facilement se mettre en contraste avec la lâcheté gouvernementale face aux banlieues où les rebellions sont quotidiennes et souvent violentes et où on laisse faire en toute impunité.   



Mais les provocations socialistes antéchrists ne s’arrêtent pas uniquement au mariage gay. Le maire PS de Paris Bertrand Delanoë a été fait mercredi 12 juin citoyen palestinien d'honneur par le président Mahmoud Abbas, lors d'une rencontre à Ramallah, a constaté un photographe de l'AFP. Le président Abbas a "accordé au maire de Paris Bertrand Delanoë la citoyenneté palestinienne d'honneur, en reconnaissance de son rôle dans le renforcement des relations d'amitié et de coopération entre les deux peuples palestinien et français", selon un communiqué de la présidence palestinienne.  Lors de son précédent voyage, en novembre 2011, Bertrand Delanoë, s'était prononcé pour un Etat palestinien à part entière à l'ONU, "un Etat comme les autres". L’élu socialiste s’est également dit « extrêmement fier d’être le premier Français à recevoir cette distinction de citoyen d’honneur de la Palestine », assurant être « le premier responsable politique français » à avoir appelé son pays à « reconnaître dans les instances internationales et à l’ONU l’État palestinien comme un État à part entière. »

Une véritable guerre idéologique et antéchrist est menée par ce gouvernement et les élus socialistes. Outre une opposition toujours plus massive et hostile de la part de la population, on peut dire qu’en plus le ciel est train de leur tomber sur la tête au sens propre et figuré. Jeudi matin, une troisième victime des crues a été retrouvée noyée dans les Landes. La veille, entre mini-tornade en Côte-d'Or, orages impressionnants en Ile-de-France et crues dévastatrices dans le Sud-Ouest, la journée a été marquée par un déchaînement des éléments sur l'hexagone. Les dégâts matériels sont impressionnants : le pont de Saint-Laurent-de-Neste a par ailleurs été emporté par la Neste, un affluent de la Garonne. A Barèges, deux maisons ont été balayées tandis que des tronçons entiers de plusieurs départementales ont été emmenés par les flots. A Saint-Béat, les flots se sont retirés mais les maisons du village sont inhabitables. A Lourdes, haut lieu de pèlerinage, des dizaines d'hôtels étaient sinistrés. En 24h des centaines de milliers d’impacts de foudre se sont abattus sur la France, accompagnées de grêle et de pluies torrentielles. La factures va être très très lourde(s).



 Xavier Beulin, président de la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA), a estimé jeudi sur Europe 1 à plus de 500 millions d'euros les dégâts agricoles à cause des intempéries. "Il y a près de 300 000 hectares en France qui sont soi détruits ou n'ont pu être semés. Et à 1 500 euros par hectare, ça peut aller très vite", a-t-il estimé. "Au-delà de ça il y aura malheureusement des pertes de fonds parce qu'on a eu, en plus des pluies torrentielles, des orages de grêle dans beaucoup de régions. [...] Des arboriculteurs ont beaucoup souffert, des vignes sont vraiment massacrées, c'est ce qu'on appelle des pertes de fonds parce que la récolte actuelle évidemment est complètement détruite mais [...] les deux prochaines [récoltes] pourraient également être compromises", a-t-il prévenu.

En Aquitaine, "toutes les productions végétales souffrent", relève Gérard Mutolo, Directeur de la Fédération régionale des syndicats d'exploitants agricoles (FDSEA): "Les plus touchées sont les cultures céréalières, en particulier le maïs car des mises en culture n'ont pu être faites à cause de la pluie et on commence à arriver trop tard dans la saison pour le faire".
Selon lui "50.000 ha de maïs n'ont pu être semés" et les autres cultures souffrent de l'excès d'eau et des températures trop basses. Et de "rares journées de très forte chaleur associées à une grande humidité sont propices au développement des maladies", relève encore M. Mutolo.
"On a presque deux mois de retard", constate aussi Patrick Caperra, du Pôle économique de la chambre d'agriculture des Hautes-Pyrénées. "Normalement on sème début mai. Mais ça n'a pas été possible, on n'a eu que deux jours d'accès possible aux parcelles en avril et en mai: on a pris 200% de pluviométrie par rapport à la normale".
En Touraine, près de 5.000 ha de céréales (blé, orge et surtout colza) sont endommagés, avec des sols gravement frappés et des cultures "hachées" par 15 minutes de grêlons gros comme des balles de ping-pong.
"Certaines parcelles ont encore la possibilité de se reprendre si les sols arrivent à s'essuyer", estime Edward de Saint-Denis, chez Plantureux (courtage en matières premières agricoles).
Le problème, ajoute-t-il, c'est celui de "la verse: les couchées au sol par l'orage, avec le risque de germination et de maladie au contact de la terre humide".
Le mois dernier, 70.000 ha avaient déjà été perdus dans les régions du centre-est en raison des inondations, selon l'Assemblée des Chambres d'Agriculture.
Dans de nombreuses régions trop arrosées, les éleveurs sont aussi à la peine: ils ont dû rentrer les bêtes en zone inondée et les foins n'ont pu être faits, ce qui risque de créer, si ce n'est une pénurie, au moins une forte tension sur les approvisionnements en fourrage, prévient François Thabuis, président du syndicat des Jeunes Agriculteurs (JA).
Dans l'Yonne, selon Francis Letellier, président de la FDSEA, "la production des cerises dont la récolte commençait à peine a été détruite de 50 à 80% par la grêle et le reste risque d'éclater avec la pluie".
 

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