Le deuil de l'Epouse

Une fois de plus le Hamas intensifie ses actions contre Israël, les révolutions islamiques et le soutien financier accru des pays du Golfe, n’étant pas étranger à ce regain de tension.  Une pluie de roquettes tirées en aveugle sur les populations civiles israéliennes, est tombée ces derniers jours sur le sud du pays. En réponse aux tirs incessants de roquettes depuis la bande de Gaza – plus de 700 cette année, et plus de 120 depuis samedi – Tsahal a lancé une opération de grande envergure contre des infrastructures et des responsables terroristes dans la bande de Gaza. L’opération, appelée “Pilier de Défense”, a deux objectifs principaux : protéger les civils israéliens et porter un coup sévère aux infrastructures terroristes dans la bande de Gaza. L'aviation israélienne a tuée notamment Ahmad Jaabari, le chef des opérations militaires du mouvement islamiste. Celui-ci promet "l'enfer" à l'Etat hébreu. Voir les communiqués de l’armée de défense d’Israël.

Quand Israël est guerre, l’Epouse du Christ est en deuil, du moins devrait-elle l’être. Car n’oublions pas que nous avons été entés sur l’olivier franc. Tout chrétien véritable est donc directement lié au destin d’Israël et à son peuple. La renaissance d’Israël étant un des signes eschatologiques les plus visibles, notre engagement doit donc être totale et sans faille pour ce pays, comme s’il s’agissait de notre propre patrie. Il convient donc de lutter également un bon soldat du Christ, dans la prière, la communication, car la première des guerres est dans le verbe, ou plus activement dans l’engagement, comme avec SAREL, (suivez le lien à droite).

Car naturellement l’ennemi ne reste pas inactif. Alors que les islamistes affichent ouvertement leur haine envers les juifs et Israël, les médias occidentaux leur emboitent le pas en les soutenants dans la désinformation. Quand on parle d’ « agression » contre Gaza, rien est dit ou presque sur les tirs incessants de roquettes depuis samedi. Quand on parle « d’assassinat » contre un chef terroriste, rien n’est dit des populations visées en aveugle. La guerre de l’information est vitale dans tous les conflits.

Vous n’avez pas besoin d’être soldat dans Tsahal pour aider Israël à se défendre. Vous pouvez vous battre pour Israël dans la guerre de l’information. Ce qui compte, c’est la vérité et c’est là que vous intervenez. Le monde devrait savoir que la population civile du sud d’Israël vit constamment depuis 2001 (et plus particulièrement depuis 2005) sous la menace des roquettes de Gaza, zone aujourd’hui entièrement contrôlée par l’organisation terroriste du Hamas. Les attaques de roquettes, dont la presse se fait l’écho ces derniers jours, ont commencé il y a bien plus longtemps que ça. Poursuivez la lecture ICI.

Mais la guerre n’est pas uniquement en Israël, elle nous touche également dans nos foyers ici en Occident. Une guerre qui ne dit pas son nom, mais qui est terriblement réelle et intense. Elle permet à la bête de l’Apocalypse de prendre forme en Europe. Elle entre dans les églises et les communautés chrétiennes au travers de troupes de fausses prophétesses ou de nouveau « ministères » au féminin. Elle engage sa bataille spirituelle principale à la période de Noël, la fête antéchrist par excellence. Elle gagne ses batailles politiques comme avec le mariage gay, elle fait des ravages au milieu de nos enfants confrontés à la drogue, à des jeux vidéo toujours plus violents, des addictions diverses et perverses, au satanisme, aux dérives sexuelles, etc…

Nous sommes face à une offensive généralisée et de grande envergure. Satan lance ses troupes tous azimuts et gagne de nombreux combats, notamment parce que l’Epouse du Christ n’est pas en veille et encore moins au combat. Je vous rappelle que nous devons être dans une lutte active, car Christ nous donne les moyens de cette lutte. Un ancien article écrit en 2010 vous rafraichira la mémoire.

2 Timothée 2: 3  Souffre avec moi, comme un bon soldat de Jésus-Christ. 4  Il n’est pas de soldat qui s’embarrasse des affaires de la vie, s’il veut plaire à celui qui l’a enrôlé ; 5  et l’athlète n’est pas couronné, s’il n’a combattu suivant les règles.