Chez les Coubertin, l'instruction qu'ont reçue ses parents est
traditionnelle; celle-là même que l'église
catholique conseille fortement aux familles bourgeoises, par le biais des
Jésuites, voire des
précepteurs particuliers, et
des frères des
écoles catholiques.
Au niveau social
des Coubertin, aristocratie
moyenne, on ne
saurait d'ailleurs mieux confier
l'éducation d'un garçon
qu'à un grand
ordre religieux (Jésuites, Oratoriens etc.). L'éducation que
va recevoir Pierre
de Coubertin sera
surtout le fait
des Jésuites du Collège
Saint-Ignace de la
rue de Madrid
(Paris). La base
de l'instruction sera celle,
immuable, faite de
latin, de grec,
et d'études littéraires. Les sciences ne sont pas encore tenues pour
élément de base de la culture. Thomas d'Aquin rendra célèbre l'adage selon
lequel « la philosophie est la servante de la
théologie » (Philosophia ancilla theologiae) dans la mesure
où la philosophie, en réfléchissant sur les conditions d'un usage cohérent des concepts
et du langage, permet à la théologie de rendre raison de manière fondée et
rationnelle des vérités de foi qui sont, par définition, inaccessibles à la
raison mais non contraires à celle-ci. Il y a donc collaboration hiérarchisée
entre la servante et la maîtresse, toutes deux subordonnées à la science
divine, mais chacune à son rang : la théologie comme science supérieure
parce qu'elle tient directement ses principes de la Révélation et se sert des
conclusions de toutes les autres sciences, tandis que la philosophie, dont les
fins sont ordonnées à celle de la théologie, tient ses principes de la seule
raison. Ainsi le catholicisme opéra le syncrétisme de la philosophie grecque et de la religion, cherchant partout les relais
de sa politique idéologique et la trouvant notamment dans l’esprit du jeune
baron De Coubertin.
Le rang, celui
du 'Faubourg St-Germain',
exige en outre qu'une
éducation esthétique soit dispensée aux adolescents. C'est ainsi que
Pierre de Coubertin sera un excellent pianiste, un dessinateur et aquarelliste
doué, un très bon cavalier. En outre, par choix personnel, il se passionnera
pour la gymnastique, la boxe, l'aviron et l'escrime à cheval (qu'il essaiera en
vain d'imposer dans le programme des Jeux).
L'enseignement du Père Caron, maître de rhétorique du
collège de la rue de Madrid, va être déterminant dans la formation du jeune
Coubertin. D'une part, Pierre découvre la philosophie grecque, et tout
spécialement, le stoïcisme (qui imprégnera tant les concepts du néo-olympisme).
D'autre part, il s'enthousiasme pour l'histoire de l'Hellade. Il devient un
philhellène convaincu et actif. Son goût pour l'histoire moderne va se révéler
après son baccalauréat (1880), quand il sera, durant une année, auditeur libre
à l'École des Sciences politiques. La culture : une longue durée historique
Pour Coubertin (cf. "histoire Universelle" 1921), en-deçà de
l'histoire événementielle, coule le flot jamais tari des cultures et des
civilisations. Cette notion de la longue durée culturelle, qui perdure, quels
que soient les aléas de l'histoire, est la clef qui donne accès à la
compréhension politique de l'œuvre Coubertinienne.
Il aura la révélation de sa vocation au cours de ses
voyages en Angleterre dans les années 1880. Il y découvre l’importance de la
formation par le sport, et surtout qu’il y a « tout un plan de formation
morale et sociale dissimulée sous le couvert des sports scolaires ».
Coubertin va alors devenir un missionnaire du sport, avec deux objectifs
centraux : introduire le sport à l’école, et restaurer les Jeux
olympiques. Dans la réalisation de ce deux objectifs, il se heurte à des difficultés
que nous avons peine à imaginer aujourd’hui, comme par exemple l’opposition
d’une partie du corps médical. Mais Coubertin n’abandonne pas. Il multiplie les
publications et crée plusieurs associations dont le but est d’encourager la
pratique du sport. Il organise aussi de nombreuses manifestations destinées à
faire connaître ses idées. Bref, il devient un formidable homme de
communication. Afin de réintroduire les Jeux olympiques, il fit preuve d’audace
et de ténacité : il engloutit d’ailleurs dans cette affaire la moitié de
sa fortune et mourut ruiné en 1937.
À partir de 1875, des fouilles, menées par l’archéologue
allemand Ernst Curtius, avaient eu lieu à Olympie. L’idée commence alors à germer : pourquoi ne pas recréer
les jeux puisqu’on vient de mettre au jour le site historique ? Le 25
novembre 1892, Coubertin annonce le rétablissement des Jeux olympiques. Là
encore, l’incompréhension est grande. Il se heurte notamment à ceux qui
voudraient faire de ces rencontres sportives une exacte reconstitution des jeux
antiques, ou à ceux qui voudraient que les Jeux soient des compétitions
scolaires. Coubertin retient la date de 1896 pour les premiers Jeux. Il crée un
Comité international olympique (CIO) de 14 membres qu’il présidera jusqu’en
1925. Dès 1894, il fixe le programme des Jeux : des courses (100 m, 800 m,
etc.), de la gymnastique, de l’escrime, de la lutte, du tir mais aussi de
l’aviron, de la natation, de la « vélocipédie » et même du tennis.
Pour Pierre de Coubertin, « les Jeux Olympiques sont
une grande leçon de philosophie que l’humanité se donne à elle-même. Ils sont
le reflet du bonheur, de la perfection et de l’amour ». Sa définition de
l’Olympisme tient en quatre principes : être une religion, c’est-à-dire
une adhésion à un idéal de vie supérieure, d’aspiration au
perfectionnement ; représenter une élite d’origine totalement égalitaire
en même temps qu’une "chevalerie" avec toutes ses qualités
morales ; instaurer une trêve des armes "fête quadriennale du
printemps humain" ; glorifier la beauté par la "participation
aux jeux des Arts et de la pensée".
Le milieu social et surtout l’éducation, ont été les
vecteurs favorisants "l’idéal olympique" du baron. Pourquoi le sport est-il si
important pour Coubertin ? C’est là que les choses deviennent un peu délicates
... Pour lui, le sport est le moyen de former une élite au service de la
nation. On trouve dans sa bouche des expressions qui n’ont rien à envier à
celles qui seront utilisées plus tard par les nazis : « Le type (d’éducation) que j’esquisse en ce
moment est un type d’élite. (...) Il y a deux races distinctes : celle des
hommes au regard franc, aux muscles forts, à la démarche assurée, et celle des
maladifs à la mine résignée et humble, à l’air vaincu. Et c’est dans les
collèges comme dans le monde : les faibles sont écartés, le bénéfice de cette
éducation n’est applicable qu’aux forts », dit-il dans une conférence de 1887.
Cette conception de l’homme et du sport évoluera de l’individu à la nation,
voire à la race avec l’apothéose des jeux de Berlin, qui mirent en pratique la
vision sportive de Coubertin.
Ses idées réactionnaires, il s’oppose notamment à la
participation des femmes aux compétitions, le mettent en minorité au sein du
CIO dont il démissionne en 1925. Il meurt d’une crise cardiaque en 1937 à
Genève. Enterré à Lausanne, son cœur est inhumé près des ruines
d’Olympie.
Même s’il n’est pas l’auteur de ce qui deviendra son
credo « l’important c’est de participer », phrase qui lui a été
inspirée par un sermon de l’évêque de Pennsylvanie : « l’important
dans la vie ce n’est point le triomphe, mais le combat, l’essentiel ce n’est
pas d’avoir vaincu mais de s’être bien battu »
Vers un nouvel
idéal olympique à l’image du CIO
Le rêve d’établir un règne de mille ans totalitaire et
païen, établissant à sa tête un nouveau messie et le pape comme leader
religieux, s’est écroulé avec la fin du nazisme. L’idéal olympien de Coubertin
qui voulait contribuer à cela, va donc devoir être entièrement revu et corrigé
pour s’adapter à la nouvelle donne mondiale. Il va falloir trouver au diable un
nouveau champion olympique, qui servira de nouveau prophète et définira un
nouvel axe de développement pour les jeux.
L’idéal de race ayant été balayé, de nouvelles valeurs ‘éducatives’
liées à l’idéal sportif olympien vont devoir être trouvées. Après Coubertin éduqué
à la mode jésuite, viendra le temps de Samaranch et de l’Opus Dei dont il fait partie.
Juan Antonio Samaranch a été président du CIO (comité international olympique) pendant
vingt-et-un ans. Il avait quitté ce poste en juillet 2001. Seul le baron Pierre
de Coubertin, "père" des Jeux olympiques de l'ère
moderne, était resté en fonction plus longtemps que lui (1896-1925). En 1991,
il avait reçu du roi d'Espagne Juan Carlos le titre de marquis pour son
implication dans le mouvement olympique et l'attribution des JO 1992 à
Barcelone. Samaranch, fils d’un riche entrepreneur du textile fut tour à tour
adjoint au maire de Barcelone, chef des sports de la délégation provinciale de
la Phalange et des Jeunesses phalangistes, responsable de la Délégation
nationale aux sports et président de la province de Catalogne sous le régime de
Franco avant de présider le CIO de 1980 à 2001.
Il fut un franquiste zélé et il
existe nombre de preuves de ses sympathies fascistes. Ainsi en 1956,
écrivait-il par exemple une lettre au ministre franquiste Antonio Elola
paraphée : « Toujours à tes ordres, je te salue le bras tendu. ».
En 1967, il fut nommé ministre des Sports par Franco lui-même. Au lendemain de
la mort du Caudillo, en novembre 1975, celui qui était alors président de la
province de Catalogne eut ces paroles : « Tout est fini et tout
continue, car l’exemple de Franco accompagnera toujours notre effort ».
Samaranch en uniforme fascisteà genoux, devant le dictateur, le général Franco en 1967. Ils ont prétendu avoir Dieu de leur côté. |
Il a négocié avec le premier ministre Adolfo Suarez un
poste d'ambassadeur à Moscou où les prochains Jeux olympiques s'y disputent et
où il peut alors briguer la présidence du CIO grâce aux relations qu'il tisse
avec les dirigeants du bloc de l'Est et le réseau de son ami et bras droit Horst
Dassler, patron d'Adidas. Juan Antonio Samaranch est utilisé à cette époque par
le KGB, non pas en tant qu'espion mais comme agent d'influence ou à l'occasion
un instrument actif au service des soviétiques, le KGB ayant comme moyen de
pression le fait qu'il ait voulu envoyer illégalement en Espagne par la valise
diplomatique des icônes russes. Ainsi, il sauve les Jeux olympiques de Moscou
malgré le boycott occidental ; il s'abstient de lutter contre le dopage
institutionnalisé du bloc de l'Est ; il couvre des dirigeants sportifs,
issus de l'ancien bloc de l'Est, liés à un scandale de corruption aux JO de
Salt Lake City, il fait jouer ses réseaux pour obtenir que la ville russe de Sotchi
accueille les Jeux olympiques d'hiver de 2014. L’esprit olympique dans toute
sa splandeur…
Samaranch n’a pas seulement le goût pour les fastes
fascistes, il en a pour le faste tout simplement. Président du CIO, il
demandait qu’on l’appelle « votre excellence » et exigeait une
limousine avec chauffeur ainsi qu’une suite présidentielle lors de ses
déplacements. Afin de remplir les caisses du CIO et d’augmenter d’autant le
train de vie de ses membres, il décréta que le sport ne pouvait plus vivre sans
sa commercialisation et mit ses idées en application avec force bousculant les
derniers oripeaux symboliques dont les JO prétendaient encore se draper. On lui
doit les JO d’Atlanta en 1996 dénommé Jeux Coca Cola à cause du parrainage
exclusif qu’il octroya à cette compagnie. Ce membre éminent de l’Opus Dei fut
également impliqué dans nombre des affaires de corruption qui éclaboussèrent le
CIO.
Le CIO s’est structuré sous sa houlette comme une
véritable multinationale, avec ses banquiers, ses juristes et ses experts en
marketing. Divisé en 15 départements, il emploie plusieurs centaines de
personnes. Depuis Los Angeles, on sait en effet que l’organisation de JO peut
devenir très rentable et non plus coûter de l’argent à la ville organisatrice.
Le CIO a su parfaitement profiler ses intérêts dans ce contexte. Il est
propriétaire de la marque « Jeux Olympiques » et de tous les symboles
qui s’y attachent (drapeau, devise, hymne,…). Il perçoit le tiers des colossaux
droits de télévision. Il faut savoir que rien que pour les droits de
retransmission aux États-Unis de ces JO de Pékin 2008, NBC a déboursé 894
millions de dollars et ceux des jeux d’hiver de 2010 à Vancouver et d’été
de 2012 à Londres et lui couteront un chèque de 2,201 milliards de dollars
(1,880 millions d’euros), soit une progression de 32,6% par rapport au dernier
contrat.
On estime la totalité des droits de retransmission pour
les Jeux de Pékin et les Jeux d’hiver de Turin en 2006 à 2,5 milliards de
dollars (dont 1,74 milliards de dollars pour Pékin). Pour ceux de 2010 et 2012,
le CIO compte gagner plus de 3 milliards de dollars. On le constate, la devise
olympique Citius-Altius-Fortius(plus vite, plus haut, plus fort)
s’applique bien à ses droits. Le CIO touche par ailleurs 3 % de chaque
contrat commercial lié aux JO et 10 % des bénéfices constatés à l’issue
des Jeux. En 2008, le sponsoring a rapporté 866 millions de dollars au CIO.
Pour Pékin, le budget avoué est de 42 milliards de dollars et l’on ne s’étonne
donc pas que contrairement aux timides déclarations, la course au gigantisme ne
s’arrête pas puisque le premier bénéficiaire en est le CIO lui-même. L’essentiel
des biens du CIO sont répartis dans deux fondations de droit suisse qu’il
contrôle.
Les JO sont l’expression la plus parfaite de
l’instrumentalisation du sport à des fins réactionnaires et de
colonisation idéologique. Ainsi que le note Jean-Marie Brohm, dans son
apparition et tout au long de son processus d’institutionnalisation, le sport -
improprement qualifié de « moderne » par ceux qui voudraient faire
croire à une continuité, à une unité avec des sports dits antiques, médiévaux,
traditionnels ou encore exotiques - est « consubstantiellement intégré au
mode de production capitaliste et à l’appareil d’État bourgeois ». Le
sport de compétition est en effet porteur de toutes les « valeurs »
capitalistes qu’il contribue à plébisciter en les présentant comme
« naturelles » : lutte de tous contre tous, sélection des
« meilleurs » et éviction des « moins bons »,
transformation du corps en une force essentiellement productive, recherche du
rendement maximum et de son exploitation optimale (la performance). Les
principes constituants du sport comme sa terminologie (compétition, rendement,
performance, record) reflètent d’ailleurs les catégories dominantes du
capitalisme industriel.
Dans le même temps, le sport sert à l’occultation des
conflits politiques et sociaux, au contrôle social des populations et à la
justification des inégalités sociales en diffusant l’idée qu’efforts et
sacrifices permettent de facto d’accéder à l’élite. Poison parmi les
poisons, il sert également à l’édification d’une identité nationale basée sur
l’affrontement, l’opposition à l’autre. Pour le sociologue Jacques Ellul, ce
n’est dès lors pas non plus un hasard si le sport a toujours été l’enfant chéri
des gouvernements dictatoriaux, fascistes et nazis, mais aussi du socialisme
(dit) réalisé, « au point de devenir un élément constitutif indispensable
de ces régimes ». On comprend aisément que le capitalisme totalitaire des
chinois ait absolument voulu recevoir les jeux à Pékin.
Tout ceci trouve sa traduction limpide lorsque l’on
regarde crument la liste de celles et ceux qui aujourd’hui encore organisent -
contrôlent – les JO (et partant instrumentalisent le sport
« moderne » tout entier). On y retrouve un mélange fait
d’aristocratie, d’élite politique droitière (parfois extrême) et de
représentants de la sphère économique (médias, construction, finance,
armement,…).
La mutation du CIO et de l’esprit des jeux peut être mise
en parallèle avec l’œuvre de Samaranch et de l’Espagne en ce temps-là. Pour
sortir de la crise économique apparue en 1956, Franco s’entoure progressivement
de ministres appartenant à l’Opus. Lorsqu’il songe à rétablir la monarchie, en
la personne de Don Juan de Bourbon, pour lui succéder, l’Opus Dei mise sur son
fils, Juan Carlos, qui est entre les mains d’un précepteur de l’Œuvre, Anael
Lopez Amo. En 1969, Franco proclame Juan Carlos héritier de la Couronne.
Quelques mois plus tard, le triomphe de l’Opus est complet : sur 19
ministres du neuvième gouvernement du général Franco, 12 sont membres de l’Opus
Dei. Le tournant politique de l’Œuvre est engagé. Cette conquête du pouvoir se
poursuivra avec la nomination de Jean Paul II et la chute du communisme. Mais c’est
une autre histoire…
L’idéal des jeux, entraîne conjointement celui des
intérêts financiers qui l’accompagne. L’argent qui a gangréné le monde
politique a également totalement pollué celui du sport. C’est le principe même
des valeurs humaines les plus nobles qui est totalement corrompu par la
vénalité. Le catholicisme qui a depuis toujours été corrompu par son goût pour
le faste et la gloire, a su entraîner le monde dans sa débauche, en corrompant
toutes les instances qu’elle contrôle, celle du CIO ne faisant plus exception
désormais.
Bonjour,
RépondreSupprimerJ'aime vraiment votre blog mais je dois avouer que j'ai quelque fois du mal à vous suivre vu le langage soutenu avec lequel vous vous exprimez.
Est-il possible que vous écriviez de façon plus simple car j'ai vraiment l'impression de passer à côté de quelque chose de très précieux.
Soyez béni :)
Si c’est en référence à la philosophie et la religion, la faute en revient à l’Eglise catholique qui par le biais du père de la théologie, Thomas d'Aquin, a considérablement compliqué et intellectualisé les choses simples de la Bible. Pour justifier l’injustifiable, le catholicisme tord par touches intellectuelles successives le sens premier du message biblique, pour l’amener là où il le veut. Par exemple, on détourne les croyants de l’amour du Christ pour les amener progressivement vers la Vierge Marie, en expliquant pourquoi il faut le faire dans le dogme marial. Avec les jeux olympiques c’est la même chose, on s’approprie le concept intellectuellement, puis on le modèle dans un but précis. Avec Coubertin on est clairement réactionnaire et avec Samaranch le mercantilisme a pris le dessus. De toute façon on est loin de l’idéal de paix olympique qui est une utopie et totalement en opposition aux valeurs bibliques, références païennes, culte à la gloire de l’homme, vénalité.
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerDe mon côté, votre mode d'expression me convient tout à fait, vous faites d'ailleurs figure d'exception dans ce monde virtuel peuplé d'illettrés _pour ne pas dire analphabètes. C'est un pur plaisir de vous lire, doublé d'une vraie satisfaction intellectuelle invitant à se questionner davantage, je tenais donc à vous en remercier.
En fait j'attends depuis l'ouverture des JO de Londres que vous nous délivriez votre appréciation sur la teneur symbolique de cette cérémonie 2012, dont la démultiplication et la puissance des messages "subliminaux" m'ont littéralement frappée, et marquée maintenant encore.
Mais peut-être attendez-vous la phase de clôture de ces jeux pour mieux nous présenter votre analyse d'un point de vue eschatologique.
Je demeure dans l'attente impatiente de vous lire, ce sujet me semblant tout particulièrement imbriqué dans le déroulement de l'actualité mondiale.
Oui, je partage votre avis concernant cela mais c'est plutôt par rapport aux mots que vous employez. J'ai quelque fois du mal à vous comprendre car vous employez souvent des mots que je n'ai jamais entendu (pardonnez mon manque de culture, je suis encore jeune lol).
RépondreSupprimerPar exemple, des mots tels que : "le dogme marial" ; "réactionnaire" ; "mercantilisme" ; "vénalité" sont des mots que je ne connais pas.
Mais bon, finalement ce n'est pas grave, j'apprendrai de nouveaux mots en lisant vos articles.
Merci, et soyez vraiment encouragé dans l'oeuvre de Yeshoua notre Dieu :)