Ce sun-day 12, la flamme olympique des JO 2012 va s’éteindre
et toutes les tribus planétaires vont retourner chez elles, certaine auréolées
de gloire en tête de tableau, alors que pour beaucoup d’autres, seul l’exploit
individuel d’un athlète entretiendra la fierté local un éphémère instant. Incontestablement
les JO sont devenus un phénomène planétaire, suivit par 5 milliards d’individus. Ce qui en fait un formidable outil de propagande et une immense
machine à cash qui brasse désormais des milliards. Ces quatre dernières années, les revenus olympiques ont
augmenté de 47%, atteignant 8 milliards de dollars.
Avec un CIO au fonctionnement opaque, mais qui sait entretenir
la flamme de ses valeurs au travers du temps. Comme à Latour en 2010 (Virton),
où le comte Jacques Rogge, actuel président du Comité international olympique
(CIO), &tait venu inaugurer, la nouvelle scénographie du musée Baillet Latour et
une stèle olympique, sur la tombe du comte Henri de Baillet Latour.
Le comte Henri de Baillet-Latour entouré
de Adolf Hitler et Rudolf Hess, lors de la cérémonie d'ouverture
des Jeux olympiques d'hiver de 1936.
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Ce dernier,
décédé en 1949, fut lui aussi président du CIO de 1925 à 1942, succédant à
Pierre de Coubertin. En tant que président du CIO, il avait éprouvé une "grande
joie à la suite des merveilleux Jeux Olympiques à Berlin 1936". A l'époque
le comte Henri de Baillet-Latour déplorait les méfaits des Juifs et écrivait en
1940 : "(...) Terrible bataille
entre barbares (soviétiques) et les Finlandais [...]. Cette guerre que les
Bolcheviques attendaient depuis 1920 devint un fait réel grâce à l'aide des
Juifs, pour le seul bénéfice de la Russie. Treize millions de chrétiens
aux mains des rouges en Ukraine; le contrôle de la Baltique perdu pour
l'Allemagne; les états baltes imprégnés de culture germanique depuis quelque
1000 ans sont aujourd'hui sous l'influence de la Russie rouge." Le
comte Jacques Rogge
Le CIO qui sait honorer le souvenir des directeurs qui
se sont illustrés dans la collaboration avec les nazis, sait également oublier les souvenirs qui le dérangent. Le Comité international olympique (CIO)
a tenu sa promesse et n’a pas fait respecter une minute de silence pendant la
cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques vendredi 27 juillet. Au lieu de cela,
il y a eu deux moments de recueillement. Aucun des deux n’a été pour les 11
athlètes israéliens assassinés lors des Jeux olympiques de Munich en 1972. D’abord,
la cérémonie a fait une pause pour «un moment de souvenir pour tous les
peuples de tous les pays» afin d’honorer «ceux tombés
pendant les deux guerres mondiales et tous les autres conflits»
selon les mots des commentateurs de la BBC. Après ce moment générique pour la
guerre, la cérémonie a fait une nouvelle pause de réflexion silencieuse «pour
respecter notre mur de la mémoire pour les amis et les familles de ceux
présents dans le stade qui ne peuvent pas être ici ce soir». Le président du
CIO, Jacques Rogge, a justifié la décision de ne pas honorer les victimes des
attentats terroristes de Munich en expliquant que «la cérémonie d’ouverture a
une atmosphère qui n’est pas adaptée à la mémoire d’un incident aussi
tragique.»
Le bel esprit
olympique
Si le CIO sait entretenir le passé, il sait aussi
préparer l’avenir. L’incroyable manière dont a évolué la gestion des droits de
propriété intellectuelle par le CIO, donne une parfaite idée de l’esprit
satanique qui anime cette instance. Jeux,
olympique, Londres, médaille, 2012, il est interdit aux médias d’utiliser deux de ces mots
dans la même phrase sous peine d’amende. Pas seulement pour les
médias, d’ailleurs, puisque certains établissement londoniens tels que
l’Olympic Bar ou le London Olympus Hotel ont été sommés de changer de noms.
C’est parce que sur le modèle du Patriot Act, existe un Olympics Game Act qui entend règlementer la
liberté d’expression pendant la durée des jeux. Idem pour l’utilisation des
symboles tels que les anneaux olympiques. Un boulanger a été obligé d’enlever
de sa vitrine des pains qu’il avait réalisés en forme d’anneaux ; une
fleuriste a subi la même mésaventure pour des bouquets reprenant ce symbole et
une grand-mère a même été inquiétée parce qu’elle avait tricoté pour une poupée
un pull aux couleurs olympiques, destiné à être vendu pour une action de
charité !
Si vous êtes spectateurs, lisez bien les clauses
détaillées sur vos billets d’entrée. Ainsi n’escomptez pas rediffuser des
vidéos ou des photos sur les réseaux sociaux, des cellules de surveillance ont
été mises en place pour épier des sites comme Twitter, Facebook, Youtube,
Facebook ou Instagram. Un ptit creux entre deux compètes ? Pas de
souci Mac DO est venu avec ses frites sur lesquelles il a l’exclusivité,
même s’il a fallu faire une exception pour les fish’n chips nationales. Et ne
vous habillez pas n’importe comment si vous tenez à entrer. Adidas étant le
sponsor officiel, on tolèrera que vous portiez des Nike mais après faut pas
déconner ! Les autres, du balai ! Idem si vous avez un tee-shirt
Pepsi, pas question, Coca-Cola tient à régner en maître. Et comme toute
connotation politique n’est pas mieux vue, ne comptez pas arborer votre T-shirt
rapporté de Cuba à l’effigie du Che. Pas de politique dans le sport, non
mais ! (petite astuce : si vous tenez vraiment à votre Che Guevara
sur la poitrine vous n’avez qu’à dire que pour vous cela correspond à une
religion. Ça au moins on ne voit pas qui pourrait l’interdire…). Enfin laissez
à la maison vos clés 3G ou wifi sous peine de confiscation : British
Telecom a décroché une exclusivité sur l’accès wifi et les spectateurs devront
payer (mais uniquement par carte Visa, sponsor oblige !).
Liste non exhaustive, et nous vous invitons à lire
l’article intégral qui a été notre source pour ce billet sous la plume de
Netmamou (blogs.mediapart) mais agrémenté de vidéos à l’appui sur le
site : http://scinfolex.wordpress.com/2012/07/27/comment-la-propriete-intellectuelle-a-transforme-les-jeux-olympiques-en-cauchemar-cyberpunk/
Le sceau de l’infamie
N’importe quel chrétien honnête, se rendrait rapidement
compte que les jeux olympiques revêtent un profond caractère antéchrist en
faisant un minimum de recherches. Personnellement aucun des 7 articles écrits
contre ces jeux n’a été préparé à l’avance, j’ai juste suivi l’inspiration du
moment en faisant des recherches rapides sur le net. Je pourrais encore écrire
plein d’autres choses sur le sujet, mais je souhaite finir sur une note
spirituelle, pour démontrer jusqu’où le diable peut aller pour corrompre les
hommes.
Lorsque le logo des London Olympics fût révélé en juin
2007 et qui coûta 400000£ il a été mal accueilli par le public du fait de son
prix et de son pauvre design par les créateurs de Cosmic Mind (esprit cosmique).
En dépit de la pression du public, l’International Olympic Committee a décidé
de garder ce logo, sans aucune flexibilité. En d'autres termes, ce logo était
particulièrement important. Pourquoi?
Officiellement la symbolique représentée sur les
médailles est une expression
architecturale, une métaphore de la ville moderne qui ressemble délibérément à
un bijou, constitué par des cristaux en croissance géologique. La ville
dans son principe est au cœur de l’idée du logo, mais il y a eu d’autres
interprétations sur le sens symbolique du logo, certains ont dit qu’il masquait
une Swastika en faisant tourner de 90° l’image et en la superposant, ou encore
qu’il s’agit d’un acte sexuel. Mais en un coup d'œil on peut facilement former
les nombres 2012, mais pourquoi cette typo? Clairement on a voulu superposer l’image
de la ville de Londres avec la date de 2012.
Mais si on peut superposer ainsi les images, rien n’interdit
de penser que l’on peut aller plus loin dans l’idée de la ville et du symbole. Si on peut facilement voir le nombre 2012, à
quoi sert le ‘point’ aléatoire? Le logo, représentant 2012 d'une façon
particulière, dissimulerait en fait le mot «zion». Ce qui provoque d’ailleurs
la fureur des iraniens, car depuis le 28 février 2011, la presse iranienne
rejette avec véhémence le logo des Jeux Olympiques de Londres 2012. Extrait : "la
conception est rudimentaire et niaise. Le logo montre le mot ZION écrit en
couleur rose – une couleur très appréciée par les adeptes de la déviance
sexuelle occidentale (homosexuels)". Selon Téhéran, on lit le mot “Zion” (Sion, en
anglais), qui désigne la cité de Jérusalem, capitale de l’Etat juif, dont la
République islamique d’Iran récuse l’existence.
Au moins sur ce point, les fanatiques iraniens font
preuve de bien plus de clairvoyance que beaucoup d’occidentaux bercés par l’illusion
d’un hypothétique idéal olympique. Personnellement je ne m’étonne pas de la
confusion du genre entre Sion et London. Spirituellement, cette ville remplie
de symboles maçonniques comme les autres grandes capitales occidentales, est
avant tout la capitale de la finance mondiale, la nouvelle religion planétaire
universelle qui voue un culte effréné à Mammon.
Les Jeux Olympiques entrainent systématiquement une
ouverture sur le monde très importante de la part du pays hôte. Les retombées
des JO en termes de notoriété pour le pays organisateur et le pouvoir en place
sont considérables. Tout d'abord, la manière dont un pays va accueillir et
"utiliser" les Jeux va modifier son image et la place qu'il occupe
pays sur la scène internationale. Sur le plan intérieur, la nécessaire
mobilisation de la population autour du projet pourra avoir des conséquences
politiques importantes. Les jeux olympiques constituent donc une vitrine vers
l'extérieur et un instrument de mobilisation vis à vis de la population. La
force de cet outil a été bien comprise et utilisée dans l'histoire des Jeux.
Nous gardons tous en mémoire les jeux de Berlin par exemple ou ceux de
Moscou dans lesquels la lutte entre le régime soviétique et américain a
occulté les Jeux eux-mêmes.
Ainsi la valeur spirituelle, politique et économique est
sublimée par l’organisation des jeux et du nombre élevé de médailles que la Grande-Bretagne
emporte en 2012. Troisième nation après les superpuissances américaine et
chinoise, Londres veut vraiment être la Nouvelle Jérusalem de l’ère
olympique moderne. Dans ce combat sur les valeurs qui inverse le sens qu’en
décrivent les livres de la Bible, Israël cette année s’interroge encore pourquoi
depuis le début des épreuves sportives, aucune équipe, aucun athlète n’a été
capable de décrocher ne serait-ce qu’une médaille. Bien que la chose semble
évidente quand on lit mes articles.
Trop dur pour les autorités israéliennes qui ont annoncé
mercredi qu'un comité spécial serait formé pour tenter de déterminer les
raisons de l'échec des équipes israéliennes aux Jeux Olympiques de Londres. Malgré
des ressources financières plus grandes que jamais cette année, l'équipe
israélienne risque de rentrer des jeux les mains vides, a commenté le ministre
israélien de la Culture et des Sports, Limor Livnat. Pourtant Israël devrait
savoir qu’il n’est pas un pays comme les autres. Cette fois clairement l’Eternel
est intervenu pour affirmer Son autorité sur celle des dieux du stade. L’absence
de médaille pour la fille de Sion est la preuve au contraire de l’amour et de l’attachement
de son Dieu pour Son pays, qu’Il protège des forces occultes qui règnent sur
les jeux et l'amalgame avec le nom de Sion.
Le monde occidental chrétien et en particulier Londres
cette année, viennent donc d'entrer en guerre ouverte avec le Seigneur
lui-même. Le poids des médailles emportées cette année par les nations vont
peser spirituellement bien lourd, par les malédictions qu’elles vont
propager, à cause de l’immense charge symbolique contenue dans les breloques. On
n’enflamme pas la colère de Dieu sans que cela ne porte à conséquence et on
pourra le mesurer à sa juste valeur après les jeux.
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