Le drapeau et la monnaie ne sont pas les seuls symboles
religieux bibliques que l’Europe a adopté pour défier Dieu. Depuis son inauguration
le 14 Décembre 1999, le Parlement européen a suscité bien des questions
concernant sa structure. La tour principale, dite bâtiment « Louise Weiss« ,
semble singulière et moderne. Mais pourquoi semble-t-elle inachevée? Les
promoteurs disent qu’elle reflète la nature « inachevée de
l’Europe ». Cependant, une recherche plus approfondie sur le sujet révèle
le symbolisme profond et sombre de l’édifice. Exposer la véritable source
d’inspiration qui transparait derrière le bâtiment Louise Weiss, c’est exposer
les croyances religieuses des initiateurs de la tour en les confrontant à la
Bible.
Satan n’a pas mis longtemps à réagir à la naissance du
nouvel Etat d’Israël en 1948. Dans la foulée, le 5 mai 1949 à Londres, le
Conseil de l’Europe en sera le pendant, dont le siège est à Strasbourg depuis
l’origine, est la plus ancienne organisation européenne et aujourd’hui la plus
vaste, puisqu’il regroupe 47 pays dont la Fédération de Russie, depuis 1996. Le
Vatican y a rang d’observateur (et d’inspirateur).
Le parlement
européen, construit à Strasbourg est édifié suivant une représentation de
la tour de Babel d’un tableau de Pieter Bruegel l’Ancien. La description de
l'architecture de la tour par Bruegel, avec ses nombreuses arches et d'autres
exemples de l'ingénierie romaine fait penser de manière délibérée au Colisée.
Ainsi le Colisée de Rome inspira Brueghel pour réaliser sa Tour de Babel, et
les deux ont servi de source d’inspiration pour le Parlement Européen de
Strasbourg ! Ce bâtiment a été conçu pour donner l’impression qu’il s’agit
d’une énorme tour inachevée comme représentée sur le tableau dont il s’inspire.
Pour renforcer cette perception, l’armature extérieure du bâtiment est flanquée
de structures qui invoquent des échafaudages. Elle est pourtant achevée et
fonctionnelle depuis décembre 2000, et abrite le parlement européen.
Il y a quelques années, quand les hommes politiques européens voulaient faire
connaître l’objectif qui soutenait la création de l’Union européenne pour nous
convaincre d’en faire partie, ils lancèrent une publicité basée sur ce tableau
de la tour de Babel réalisé en 1563. Si nous regardons l’affiche éditée et
présentée un peu partout en Europe, c’est la représentation de la tour de Babel
de Pieter Bruegel l’Ancien accompagnée du slogan « Plusieurs langues, une seule
voix ». Ce message est l’inverse du jugement de Dieu sur les hommes qui
construisirent la Tour de Babel : l’Eternel dit « Voici, ils forment un seul peuple et ont tous une même langue, et c’est
là ce qu’ils ont entrepris ; maintenant rien ne les empêcherait de faire tout
ce qu’ils auraient projeté. Allons ! Descendons, et là confondons leur langage,
afin qu’ils n’entendent plus la langue, les uns des autres. » (Gn 11 : 6 et
7)
Ce lien avec la tour de Babel est repris dans le graphisme
du drapeau européen à 12 étoiles d’or sur fond bleu; ici ces 12 étoiles à cinq
branches servent de couronne céleste à la tour. Notons qu’elles sont
renversées, identiques à celles utilisées par les adeptes de l’occultisme et du
satanisme. Comme pour les pièces, les valeurs bibliques sont inversées et on
pourrait « lire » que la tour repose sur la couronne si on retourne
l’affiche. Cette tour est l’expression des fils de la rébellion d’après le
déluge, qui voulurent défier Dieu : Gen 11 : 4 Ils
dirent encore : Allons ! Bâtissons-nous une ville et une tour dont le
sommet touche au ciel, et faisons-nous un nom, afin que nous ne soyons pas
dispersés sur la face de toute la terre. L'expression «La Tour de
Babel" n'apparaît pas dans la Bible , il est toujours dit, "la ville
et sa tour" ( אֶת - הָעִיר וְאֶת - הַמִּגְדָּל ) ou tout simplement
"la ville" ( הָעִיר ). Selon la Bible étymologie, la ville
reçut le nom de "Babel", du mot hébreu "Balal" qui signifie
la confusion. Ainsi, comme la ville est identifiée par sa tour, une tour peut identifier
une ville. On revient au principe de l’urbis originel. Le plus ancien exemple
d'édifice sur terrasse pouvant être interprété comme un temple est attesté à Eridu,
la ville fondée par la lignée de Caïn. La ville et la tour est donc aussi un
principe civilisateur qui se développe dans la confusion. La semence du serpent
cherche donc à reformer un seul peuple et une langue, pour former un royaume
qui liera le ciel et la terre…
Mais pourquoi se référer au Colisée pour former la tour
de Babel. Il faut savoir et se souvenir que le Colisée de Rome fut bâti pour
célébrer la destruction du temple juif de Jérusalem en 70 ap. J.-C., et qu’il
fut ouvert en l’an 80 ap. J.-C. avec des jeux qui durèrent cent ans. La plupart
des 10 000 hommes qui y participèrent furent tués et 5 000 bêtes y furent
massacrées. Un grand nombre des premiers chrétiens y moururent martyrs et
furent jetés en pâture aux bêtes sauvages. Le Colisée avec l’arc de Titus
forment un ensemble cohérent représentant la victoire de Rome sur les Juifs.
Cette idée sera reprise dans les édifices représentant l’Europe.
A Strasbourg eut lieu le premier massacre et holocauste
des Juifs en Europe, le 14 février 1349. L’Histoire rapporte qu’ils furent
collectivement accusés d’avoir provoqué la Peste Noire en empoisonnant les
réserves d’eau de la région et que 2 000 hommes, femmes et enfants furent
regroupés dans un cercle et brûlés vifs. N’ayant d’autre choix, quelques-uns
acceptèrent le baptême et furent épargnés. Mais, par la suite, la plupart des
survivants furent massacrés quand la Peste Noire parvint aux portes même de
Strasbourg. Puis, le 12 septembre 1349, Charles IV, l’empereur du Saint Empire
Romain, publia un décret qui affranchissait la ville de toute culpabilité pour
cet holocauste de Juifs et du pillage de leurs biens. Il n’en demeure pas moins
que deux appels au son du cor se firent entendre toutes les nuits jusqu’à la
Révolution Française, perpétuant la mémoire de la soi-disant trahison des Juifs
innocents. Pensez à l’intérêt prophétique que peut avoir la tour de Babel de
Strasbourg si celle-ci est bâtie sur les cendres de ces Juifs ? Israël et
l’Europe dont les dates anniversaires se suivent sont les pendants prophétiques
et terrestres des chapitres 12 et 13 de l’Apocalypse. Les architectes à Strasbourg ont réussi l’exploit de
réaliser dans un seul bâtiment, la réunion du Colisée en ovale au centre de la
tour de Babel, mais il faut s’élever pour s’en apercevoir.
Il y a une autre caractéristique architecturale très
intéressante dans le Parlement Européen de Strasbourg, l’épicentre de la cour
ouverte du nouveau Parlement Européen, met en valeur une ligne sombre qui va en
s’élargissant jusqu’à ce qu’elle atteigne une large ouverture créée dans le mur
d’enceinte extérieur et qui pointe vers la Cathédrale de Strasbourg à distance.
Or, l’archevêque de Strasbourg à l’époque du massacre se révéla être antisémite
par excellence. Le chœur de la cathédrale de Strasbourg est orné en son centre
d’un vitrail moderne, représentant la Sainte Vierge, à qui est dédiée la
cathédrale. On retrouve dans ce vitrail, don du Conseil de l’Europe, les douze
étoiles du drapeau européen sur fond bleu, couleur de la Sainte Vierge. Un lien
architectural lie donc les deux édifices. Mais le parlement de Strasbourg n’est
pas le seul à entretenir pareille ambiguïté.
Le siège de la BCE
à Frankfort
Les contours d’une nouvelle Europe politique et
économique se dessine, avec ses bâtiments hautement symboliques, comme le Conseil
de l’Europe à Strasbourg et bientôt le siège de la BCE à Frankfort. La charge
spirituelle inscrite dans la symbolique de leur architecture est très
révélatrice de l’esprit qui anime la Bête qui sort de la mer. Tour de Babel et le
Colisée pour le conseil de l’Europe, les Twin Towers et Grossmarkthalle pour le
siège de la BCE.
En attendant la fin inéluctable du dollar, la BCE
reconstruit les Twin Towers en Europe, histoire de démontrer au monde, que le
nouvel ordre mondial monétaire se trouve à Frankfort maintenant. La Banque
centrale européenne a donné son feu vert à la construction d’un nouveau
bâtiment de 48 étages qui abritera ses locaux à Francfort pour un coût d’un
milliard d’euros. Pour la première fois de son histoire, l’institution
financière européenne sera dotée d’un siège permanent. Le bâtiment, qui sera
situé à l’extrémité est de Francfort, comprend deux tours entrelacées autour de
l’ancien marché de fruits et légumes de la ville qui avait servi aux nazis de
point de rassemblement des prisonniers juifs pendant la Seconde Guerre
mondiale.
Les visiteurs accéderont au siège par la Grossmarkthalle,
l’ancien marché de gros de Francfort, ce qui prête à polémique en cette période
de commémoration de la libération des camps nazis. Construit en 1928, ce
bâtiment servait, sous le régime hitlérien, à regrouper les juifs avant leur
déportation. 13500 juifs furent menés dans les caves du marché de gros avant
d’être envoyés dans les camps de la mort. Ce bâtiment est un monument
historique qui sera intégré dans la structure des tours jumelles de la BCE, et
particulièrement son entrée. Franchement là Lilith se surpasse dans la
symbolique et renvoie à l’image du billet de cinq euros. J’espère qu’ils
conserveront la plaque commémorative à l’entrée de la BCE.
Texte de la plaque : Die Großmarkthalle war von 1941 bis 1945 Sammelpunkt für die
Deportation jüdischer Männer, Frauen und Kinder aus Frankfurt und Umgebung. Auf
Anordnung der Gestapo war ihnen mitgeteilt worden, sie sollten „evakuiert“ oder
„zum Arbeitseinsatz nach Osten“ gebracht werden. Man raubte ihnen die letzte Habe
und mißhandelte sie in den Kellern der Halle. Dann wurden sie wie Vieh in
Güterwaggons geladen. Die Ziele der Transporte waren Orte der Vernichtung.
Le marché de gros était le point de ralliement de 1941 à
1945 pour la déportation des Juifs, hommes, femmes et enfants de Francfort. Par
ordonnance de la Gestapo, on leur avait dit qu’ils devraient être «évacuée» ou
utilisé «comme main-d’œuvre à l’Est ». Ils les ont dépouillés de leurs
dernières possessions et maltraités dans les caves du marché. Puis ils ont été
embarqués comme du bétail dans les wagons. Les destinations des transports
étaient des lieux d’extermination.
Bâtiments reflet
des institutions
Selon le chapitre 13 de l’Apocalypse, pardon, selon l'article 13 du traité sur l'Union européenne, les institutions
européennes sont les suivantes : le Parlement européen, le Conseil
européen, le Conseil de l'Union européenne (souvent appelé simplement « le
Conseil »), la Commission européenne, la Cour de justice de l'Union
européenne, la Banque centrale européenne et la Cour des comptes européenne.
Les 7 institutions de l'Union européenne sont les institutions qui
régissent la Bête de l’Apocalypse, pardon, l'Union européenne.
Dans les œuvres constructives de l’ange, nous trouvons
cette belle représentation de la déesse Justitia tenant une balance dans ses
mains. L’allégorie de l’équité a du inspirer Richard Rogers, véritable
architecte vedette, pour la conception de la Cours européenne des droits de l’Homme. Dans une perspective révélant
deux ailes déployées, les formes arrondies des salles de conférence du tribunal
ressemblent à deux balances surdimensionnées soutenues par un ange que l’on
devine aux bouts des ailes. Cette construction, achevée en 1995, associée au
bâtiment Louise Weiss et au Palais de l’Europe, constitue le fameux «
triangle » architectural institutionnel, au cœur du quartier
européen de Strasbourg. Mais c’est Bruxelles le véritable centre
institutionnel de l’Europe.
Le siège du
parlement à Bruxelles
Bruxelles, siège de la plupart des institutions de
l'Union, est considérée de facto comme la capitale de l'Union européenne
(UE). Pourquoi Bruxelles ? Car elle a un rapport direct avec Apocalypse
12. Les douze étoiles représentées sur le drapeau européen, représentent la
couronne mariale usurpée à l’Epouse véritable du même chapitre. La femme apparaissant
couronnée dans le ciel, symbolise la victoire de l’Eglise, l’Epouse du Christ,
sur le monde. La royauté change donc de main, ce qui est représenté par le fils
qui doit paître toutes les nations avec une verge de fer. La chose est
présentée différemment au chapitre 4 sous la forme imagée des 12 apôtres et 12
tribus d’Israël : Ap 4 : 10 les vingt-quatre vieillards se prosternent
devant celui qui est assis sur le trône, et ils adorent celui qui vit aux
siècles des siècles, et ils jettent leurs couronnes devant le trône, en disant:
11 Tu es digne, notre Seigneur et notre
Dieu, de recevoir la gloire et l’honneur et la puissance ; car tu as créé
toutes choses, et c’est par ta volonté qu’elles existent et qu’elles ont été
créées. La couronne qui représente l’autorité suprême est gagnée par la foi
de l’Epouse et remise au terme des jours à Jésus afin qu’Il règne sur le monde.
Mais il faut reprendre l’intégralité de
l’histoire avant de revenir à Bruxelles.
Apocalypse 12 : Un
grand signe parut dans le ciel : une femme enveloppée du soleil, la lune
sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête. 2 Elle était enceinte, et elle criait, étant en
travail et dans les douleurs de l’enfantement. 3 Un autre signe parut encore dans le
ciel ; et voici, c’était un grand dragon rouge, ayant sept têtes et dix
cornes, et sur ses têtes sept diadèmes. 4
Sa queue entraînait le tiers des étoiles du ciel, et les jetait sur la
terre. Le dragon se tint devant la femme qui allait enfanter, afin de dévorer
son enfant, lorsqu’elle aurait enfanté. 5
Elle enfanta un fils, qui doit paître toutes les nations avec une verge
de fer. Et son enfant fut enlevé vers Dieu et vers son trône. 6 Et la femme s’enfuit dans le désert, où elle
avait un lieu préparé par Dieu, afin qu’elle y fût nourrie pendant mille deux
cent soixante jours. 7 Et il y eut guerre dans le ciel. Michel et
ses anges combattirent contre le dragon. Et le dragon et ses anges
combattirent, 8 mais ils ne furent pas
les plus forts, et leur place ne fut plus trouvée dans le ciel. 9 Et il fut précipité, le grand dragon, le
serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il
fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui. 10 Et j’entendis dans le ciel une voix forte qui
disait : Maintenant le salut est arrivé, et la puissance, et le règne de
notre Dieu, et l’autorité de son Christ ; car il a été précipité,
l’accusateur de nos frères, celui qui les accusait devant notre Dieu jour et
nuit. 11 Ils l’ont vaincu à cause du
sang de l’agneau et à cause de la parole de leur témoignage, et ils n’ont pas
aimé leur vie jusqu’à craindre la mort.
Le retour de l’autorité à l’Epouse, représente également un
retour au jardin d’Eden où la nouvelle Eve représentée par l’Eglise, revient à
l’Arbre de vie en se refusant au serpent et à l’Arbre de la connaissance. L’histoire
s’achève là où elle commença. Mais Satan ne l’entend pas ainsi et part en
guerre pour récupérer son bien ravit à Eve il y a 6000 ans. C’est là que les
symboles reprennent leurs places. Les grandes armoiries de la ville
représentent, « De gueules au saint
Michel d’or terrassant le démon de sable. » Le message est clair. En
faisant de Bruxelles sa capitale institutionnelle, Satan envoie un message
signifiant que l’autorité et la gouvernance c’est lui et qu’il n’est pas
vaincu. Mieux, les lions symboles d’Ishtar et de la Reine du ciel babylonienne,
tiennent bien la couronne que la Reine du ciel entend conserver et que le fond
rouge renvoyant à Edom et l’enfer ne seront pas sa destinée finale. Symboliquement
le choix de Bruxelles est véritable déclaration de guerre à Dieu, l’Eglise et
les anges restés fidèles.
Mais ne pouvant vaincre Israël et l’Eglise véritable, ce
blog en est la preuve, Satan poursuit son combat ailleurs. Ap 12 : 17 Et
le dragon fut irrité contre la femme, et il s’en alla faire la guerre aux
restes de sa postérité, à ceux qui gardent les commandements de Dieu et qui ont
le témoignage de Jésus. Associé à la Grande Prostituée d’Apocalypse 17,
Satan va reconstituer un empire qui est la continuité de ceux sur lesquels il régna
auparavant, c’est la symbolique de la Bête avec sept têtes sur laquelle la
Prostituée est assise. Cette image va être reprise sous la forme de l’enlèvement
d’Europe par Zeus, qui représente en fait la traversée de la mer Méditerranée
par la culture phénicienne, elle-même héritière de la culture babylonienne. Ce
symbole on le retrouve dans la sculpture figurant devant le Conseil des
Ministres de l'Europe à Bruxelles.
Cette représentation figure également sur un immense tableau à l’intérieur des
nouveaux locaux du Parlement Européen à Bruxelles. Mais elle n’est pas nouvelle,
dès 1948 nous la retrouvons sur un billet de 5 marks.
Sept années plus tard, le 9 décembre 1991, le magazine "Time" présente une belle femme assise sur un taureau noir, et brandissant le drapeau européen bleu à douze étoiles d'or. En mai 2000, le magazine "Der Spiegel" reprit le même thème en page de couverture. Le 16 septembre 1996, le magazine "The Australian" fit paraître un article présentant la future monnaie européenne, décrite comme la "monnaie de l'espérance". Donc dès la constitution du nouvel Etat d’Israël, l’idée fondatrice d’un nouvel empire associé à l’Eglise catholique s’est faite jour pour contrer l’œuvre divine. Le travail de reconstitution de l’empire de Satan tendant à s’achever, Lilith peut se dévoiler.
La semeuse dans sa
gloire
Ce travail d’étude reposant sur les symboles monétaires religieux
en Europe, je terminerais sur la dernière apparition de notre semeuse
nationale. Emises par La monnaie de Paris, des nouvelles pièces en argent de 10
et 25 euros (et leur grande sœur en or de 250 euros) sont à disposition depuis
le mois de mai 2009, mois de la vierge Marie. (2 millions de 10 euros, 250.000
de 25 euros et 25.000 pièces de 250). Une évolution nouvelle apparaît par
rapport aux pièces de 1 et 2 euros officielles.
Sur l’avers :
La Semeuse semble marcher dans les cieux pieds nus, une robe longue ouverte sur
ses jambes nues (Lilith se dévoile), les cheveux au vent s’échappant du bonnet
phrygien, la démarche altière, plongeant sa main gauche dans le sac en
bandoulière posé sur son épaule droite, quelques étoiles sont disséminées
derrière elle, le soleil n’est plus levant comme par le passé, mais s’élevant
rayonnant de tous ses feux.
Les cultes antiques et païens de la mère et l’enfant sont
aux évangiles celui du Père et du Fils, ils sont de parfaits contraires. Sur
nos pièces française apparaît donc la Reine du ciel portant Attis comme son
fils. Mais dans les pièces en or, le symbole va plus loin, car la semence est
comme projetée vers le soleil. Dans cette image le bonnet phrygien renvoie
plutôt à Mithra appelé, Sol Invictus (en latin, Soleil Invaincu), qui est une
divinité solaire apparue dans l’Empire romain au III siècle. Elle reprend
des aspects de la mythologie d’Apollon et connaît une grande popularité dans
l’armée romaine. L’empereur Aurélien (270-275) lui assure une place officielle
à Rome et proclame que le Soleil Invaincu est le patron principal de l’Empire
romain et fait du 25 décembre (jour suivant le solstice d’hiver) une fête
officielle (dies natalis solis invicti), notre Noël contemporain.
Le dieu Soleil est l’image de l’homme fait dieu par le
diable qui s’oppose à Jésus la lumière du monde. Sur les nouvelles pièces, le
Soleil s’élève désormais rayonnant, ce qui signifie dans la mythologie que le
Soleil comme dieu est honoré en portant la couronne radiée. Pour Satan celui
qui doit être le messie des hommes, leur guide, est désormais couronné et peut
s’élever pour rayonner (régner) sur les nations (les étoiles). Cette semence de
la femme est en fait la semence du serpent. Elle signifie aussi, que l’antéchrist
peut désormais gouverner, car les institutions le lui permettent.
Au revers :
au milieu de la valeur faciale est inscrit le mot « euro », entourée
de deux branches comme couronné, l’une de chêne, l’autre de laurier, évoquant
le sigle de l’Euro
Dans le monde méditerranéen antique la couronne n’est
qu’un simple rameau de feuillage dont les deux extrémités sont reliées. Les
rameaux sont réels ou en or, portée comme ornement sur la tête, mais non pas
comme une couronne, selon le sens que nous attachons à ce mot, c’est-à-dire
comme emblème de la royauté ; car chez les anciens, un diadème (diadema) tenait
la place de la couronne moderne. La couronne de laurier par exemple était
utilisée comme récompense ou dignité militaire. Outre sa fonction honorifique
elle est un signe de consécration aux dieux antiques. Dans le sacrifice,
sacrificateur et victime sont couronnés. On pense que les dieux se détournent
de ceux qui se présentent sans être couronnés.
Les statues des dieux sont couronnées, elles sont souvent
réalisées dans des végétaux consacrés, attributs des dieux. Ainsi on offre à
Zeus des couronnes de chêne, à Apollon des couronnes de laurier, à Aphrodite
des couronnes de myrte, le Soleil comme dieu est honoré de la couronne radiée.
Quand les impératores romains s’emparent de villes en
recevant la félicitas de la dea Roma, de la ville par excellence, Rome,
souveraine et indestructible, invincible et invaincu, ils reçoivent en
récompense la couronne tourrelée. Les desservants du culte, portent
une couronne en rapport avec le culte qu’ils desservent. A Rome les prêtres
chargés du culte de la divinité agricole Dea Dia sont couronnés d’épis de blé.
Aux olympiades les vainqueurs aux jeux sont couronnés de laurier et le jour de
leur mariage les époux portent une couronne de myrte. L’or coronaire qui se
substitue au feuillage, rappelle aux hommes que l’impérator doit être considéré
comme le représentant des dieux sur terre.
L’euro couronné de chêne et de laurier est donc le signe
que le père des dieux (Zeus) a choisi Europe pour son épouse qu’il
couronne, et son fils (Apollon) pour qu’il la guide. Les trois hexagones mêlés rappelle le nombre 666 qui est
la gématria de kelohim (comme Elohim) de Genèse 3 :5 où le serpent séduit
Eve En lui assurant qu’elle sera comme Dieu si elle mange du fruit de l’arbre
de la connaissance du bien et du mal.
Nous sommes ici parfaitement dans le cadre d’Apocalypse
12 et 13 où l’Epouse de Christ apparaît couronnée et où simultanément vient la Bête qui veut aussi être couronnée. Le conflit est donc en cours et les propos
de Paul résonnent dans notre actualité. 2 :2 Thessaloniciens 3 Que personne ne vous séduise d’aucune
manière ; car il faut que l’apostasie soit arrivée auparavant, et qu’on
ait vu paraître l’homme du péché, le fils de la perdition, 4 l’adversaire
qui s’élève au–dessus de tout ce qu’on appelle Dieu ou de ce qu’on adore,
jusqu’à s’asseoir dans le temple de Dieu, se proclamant lui–même Dieu. 5
Ne vous souvenez–vous pas que je vous disais ces choses, lorsque j’étais encore
chez vous ? 6 Et maintenant vous savez ce qui le retient, afin qu’il
ne paraisse qu’en son temps. 7 Car le mystère de l’iniquité agit
déjà ; il faut seulement que celui qui le retient encore ait disparu.
8 Et alors paraîtra l’impie, que le Seigneur Jésus détruira par le
souffle de sa bouche, et qu’il anéantira par l’éclat de son avènement. 9
L’apparition de cet impie se fera, par la puissance de Satan, avec toutes
sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, 10 et avec
toutes les séductions de l’iniquité pour ceux qui périssent parce qu’ils n’ont
pas reçu l’amour de la vérité pour être sauvés.
Lilith (la semeuse) nous apprend que ce qui la retient
n’agit plus, la foi en Christ du plus grand nombre, et que l’impie peut s’élever désormais. En effet
les églises sont devenues des lieux de plaisirs où les filles de joies qui se
sont autoproclamées prêtresses de Christ ont transformé en lupanar évangélique
la maison du Seigneur. Soirées de bals où la musique rock chantée par les stars
du système évangélique ont remplacé les antiques Bââl et Astartée, les
assemblées n’ont plus la puissance de la foi en Jésus Christ pour contenir
l’adversaire, au contraire elle sont devenues son instrument.
Malheur, malheur sur elles, car elles ont autant à
craindre l’impie qui vient que les fils de l’huile, les deux témoins, qui
visiteront les écuries d’Augias dénominationelles, non pour les nettoyer mais
pour libérer les captifs de Christ qu’elles retiennent encore.
Bonjour,
RépondreSupprimeril y'a quelque chose que je ne saisi pas avec Bruxelles," Le message est clair. En faisant de Bruxelles sa capitale institutionnelle, Satan envoie un message signifiant que l’autorité et la gouvernance c’est lui et qu’il n’est pas vaincu".
En quoi Bruxelles est un endroit stratégique pour satan ?
J'ai aussi un autre question, pourriez vous me donner le lien sur l’étude du 1er jour de la création. vous en citez dans le 6e jour mais on a pas plus de détail.
Merci.
En plaçant à Bruxelles, capitale dont les armoiries renvoient à la défaite de Satan en Apocalypse 12, les institutions de sa gouvernance, l’adversaire cherche à démontrer que c’est lui qui règne et que donc il n’est pas vaincu. La couronne mariale tirée du même chapitre est une autre forme de rébellion contre Dieu et son autorité. Ce n’est pas par hasard que le diable choisi ces symboles.
RépondreSupprimer« pourriez vous me donner le lien sur l’étude du 1er jour de la création. vous en citez dans le 6e jour mais on a pas plus de détail. »
Il y avait une période où l’Esprit me conduisait à pénétrer la Parole en profondeur, mais il faut considérer cela comme des essais, des commentaires et une forme d’éducation personnelle. Car pendant que j’écrivais, le Seigneur m’enseignait et me guidait dans un cheminement de pensée très particulier. Le problème c’est que je considère cela comme très brouillon et surtout trop complexe pour beaucoup. J’ai donc repris tout cela en le réécrivant de manière plus pédagogique et plus claire. Mais il faut du temps, car entre les études hebdomadaires du shabbat, le blog, la réécriture du site, l’étude sur les cathédrale qui n’est pas achevée, les études qui s’insèrent dans le blog comme la dernière sur la monnaie, les choses avancent de front, mais à leurs rythmes. Sur le site à terme, les anciennes études vont disparaitre au profit d’études retravaillées et adaptées pour être lues sur des liseuses électroniques. Je dois agir ainsi car je me rends compte que certains travaux d’étude deviennent très important en volume et donc sont inadaptés à la lecture via internet, ils doivent pouvoir être lu comme des livres. Mais comme je me refuse de commercialiser ce sur quoi je travaille, la gratuité et l’accès à la source devant rester ouvert, j’ai opté pour des formats facilement téléchargeables, comme Word ou PDF adapté pour les ebook. De surcroît, la partie audio doit rester complémentaire, car tout n’est pas dans l’écrit mais aussi dans le verbe. L’avantage de l’audio, c’est qu’il évite le copier/coller, car certaines études finissent sur des sites où jamais elles ne devraient être. Les Lettres à l’Epouse sont donc un ensemble qui doit permettre à chacun individuellement de progresser dans sa foi, sans que l’auteur soit mis en avant, car elles appartiennent à ceux qui les lisent.
Votre analyse est intéressante.
RépondreSupprimerJe reviendrai vers vous.