http://schoenelblog2.blogspot.com/ Lettre à l'Epouse 2: Mêmes causes, mêmes effets

mercredi 13 août 2014

Mêmes causes, mêmes effets

Dans la prophétie de Zacharie, nous voyons que Jérusalem sera le centre de tous les conflits de la fin des temps : "Voici, je ferai de Jérusalem une coupe d'étourdissement pour tous les peuples d'alentour, et aussi pour Juda dans le siège de Jérusalem. En ce jour-là, je ferai de Jérusalem une pierre pesante pour tous les peuples ; tous ceux qui la soulèveront seront meurtris ; et toutes les nations de la terre s'assembleront contre elle" (Zacharie 12 :2-3).

Le verset 2 dit que Jérusalem sera une coupe d'étourdissement pour tous les peuples voisins. Le verset 3 affirme qu'elle sera aussi une pierre pesante pour tous les peuples, poussant toutes les nations de la terre à entrer en conflit contre elle. Depuis la création de l'Etat d'Israël, en 1948, suite à une résolution des Nations Unies de 1947, Jérusalem a été une source constante de conflit entre Israël et les peuples environnants, mais a aussi impliqué "toutes les nations", par le moyen des Nations Unies, ainsi que des diverses conférences internationales organisées pour trouver une solution à ce conflit.

Jérusalem n’est que le centre eschatologique d’un conflit entre Dieu et le reste du monde. Jérusalem est la capitale d’un pays qui par extension entre dans le cadre général qui concerne la ville. Ce qui concerne Jérusalem, concerne Israël. Toucher à Israël revient à toucher la prunelle de Dieu aujourd’hui et à chaque cause touchant Son pays, une réponse divine proportionnée est renvoyée au monde entier. En juin 2013 j’écrivais une série d’articles sur les enracinés de Gaza.
Extrait ; Quand une partie d’Israël exigea un retrait des implantations de Gaza, c’est en fait comme s’ils arrachaient les profondes racines bibliques enfoncées dans le pays. Les plaies ne pouvaient être que proportionnelles à l’acte insensé qui motiva ce geste politique. J’ai expliqué aux déracinés de Gaza que leur expulsion de Gaza eut des répercussions qui ébranlèrent le monde entier en commençant par les États-Unis qui incitèrent aux démantèlements. La crise des subprimes suivit immédiatement celle des expulsés du Goush Katif et se furent alors des millions d’Américains qui furent à leur tour expulsés de leurs maisons. Il y a une relation directe entre les évènements, mais ce monde aveugle ne discerne plus rien de spirituel, surtout les chrétiens.

Ni les chrétiens, ni les juifs et bien sûr le reste du monde n’a pointé sur la résilience des deux évènements, le démantèlement des colonies juives dans la bande de Gaza et la crise des subprimes. Quand on ne veut pas comprendre, on persiste et on signe. Aujourd’hui on recommence et bis repetita !

De plus en plus de produits israéliens sont boycottés

Les mangues, pamplemousses, grenades et autres fruits exportés par Israël ne trouvent pas acheteurs depuis plusieurs semaines en Europe, selon les grossistes qui fournissent les grandes chaînes de supermarchés.

« Ces grandes surfaces n’ont pas fait de communication officielle sur le sujet pour le moment, mais le message a été transmis par téléphone aux grossistes qui les approvisionnent en Scandinavie, en Grande-Bretagne, en France, en Belgique et en Irlande », rapportent les spécialistes.


Les exportateurs israéliens se plaignent d’« un puissant lobby musulman dans ces pays », et bon nombre de grandes surfaces craindraient une réaction de colère ou un mouvement de boycott.
Amir Porat, directeur marketing de Edom Fruits, qui exporte principalement des mangues et des grenades se plaint : « les importateurs me disent qu’ils ne peuvent pas vendre de produits israéliens. L’un d’entre eux m’a dit qu’il a été bloqué par plusieurs grandes surfaces tant au Danemark, qu’en Suède et en Belgique. Et la semaine dernière, il m’a dit que les mangues qui avaient été emballées aux Pays-Bas comme d’habitude, puis expédiées par bateau en Irlande ont été renvoyées parce qu’il n’était pas question d’accepter des produits israéliens. »

« L’ambiance sur le marché est inconfortable en ce moment. Nous avons déjà traversé pas mal de guerres et de périodes tendues. Mais c’est année, je sens une gêne chez les consommateurs qui sont sous pression. J’ai même entendu parler de tonnes de mangues qui sont restées parquées dans le sud de la France sans être vendues. Les grandes chaînes de supermarché ne parlent pas officiellement de boycott, mais tout le monde a peur de vendre des fruits israéliens.

Nous espérons seulement que les choses ne vont pas empirer. »
Ben Cohen, un exportateur de grenades explique : « Les exportateurs de grenades ont reçu des emails d’acheteurs en Grande-Bretagne et d’autres pays, nous demandant de garantir que ces fruits ne venaient en aucun cas des territoires occupés.

Mais au cours de conversations informelles, ils nous ont déclaré qu’actuellement il n’y avait pas d’espace pour des fruits israéliens, parce que les grandes surfaces ne sont pas intéressées. Ils préfèrent acheter les grenades à la Turquie et à l’Égypte. Mais en fait, ils parlaient des produits israéliens en général.

Ceci nous amené à annuler tous nos projets concernant la Grande-Bretagne, la Belgique et la Scandinavie ».

Et voilà l’Europe pro arabe face à l’embargo russe

La Russie organise sa riposte aux sanctions occidentales décidées la semaine dernière. Après les fruits polonais, la viande roumaine, Moscou a décidé d'interdire pour un an l'importation de produits agroalimentaires de tous les pays la sanctionnant.

La mesure est maintenant généralisée. Moscou interdit l'importation de produits agroalimentaires venant de tous les pays la sanctionnant. Dans un communiqué, Vladimir Poutine déclare vouloir protéger les intérêts nationaux de la Russie. Cette nouvelle riposte représente un gros manque à gagner pour l'Union européenne. La Russie est, en effet, le deuxième importateur de produits agroalimentaires européens.

L'embargo est très large. Il concerne le boeuf, le porc, la volaille, le poisson, le fromage, le lait, les légumes et les fruits. Il vise les importations en provenance des États-Unis, de l'Union européenne, de l'Australie, du Canada et de la Norvège. La mesure est applicable à partir de ce jeudi et pour une durée d'un an, a précisé le premier ministre russe Dmitri Medvedev.

Xavier Beulin, président du principal syndicat agricole français, a lui, exprimé jeudi l'inquiétude de ses adhérents après la suspension par Moscou de ses importations agroalimentaires en provenance d'Europe: "C'est un système à double détente" a-t-il expliqué: "la Russie se ferme aux importations, mais aussi les produits qui n'iront plus à l'exportation (hors UE) vont se rabattre sur les pays européens et créer une situation de crise".

On peut donc s’attendre que les millions de shekels de produits israéliens boycottés vont se transformer en milliards de produits européens boycottés. Pour un pays agricole comme la France en voie d’islamisation, l’effet domino est garanti. L’impéritie du gouvernement accentuant encore les choses. Mais bon, quand on ne veut pas comprendre….

2 commentaires:

  1. Ce que tu feras à Israël te reviendra comme un boomerang... Abdias 1.15

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  2. RV
    J'avais connaissance de ces infos mais je n'avais pas fait le rapprochement !
    Quel discernement !
    Merci soyez Bénis

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