Alors que Benoît XVI proclamait, samedi 19 décembre à Rome, les «vertus héroïques» de son prédécesseur Jean Paul II (1920-2005), qui font de lui un «vénérable» - dernière étape avant la béatification attendue du pape polonais, il a créé la surprise en proclamant également comme «vénérable» son prédécesseur plus lointain, Pie XII, pape de 1939 à 1958. La béatification du pape très contesté de la Deuxième Guerre mondiale n'est donc plus qu'une question de mois. Or, depuis longtemps, la communauté juive presse Benoît XVI et le Vatican de surseoir à cette béatification de Pie XII, dont le pontificat fut entâché, par la passivité et les silences du Vatican face à la Shoah. On aurait aussi pu y adjoindre Pie XI qui signa un concordat avec Hitler, on est plus à cela près. Mais ne nous attendons a rien d’autre de la grande prostituée, qui est dans son rôle pour fabriquer des mensonges toujours plus gros, afin de préparer la béatification de son vivant, du faux prophète qui accompagnera l’antéchrist.
Plutôt que de nous occuper des papes et de leur chrétienté de façade destinée à la presstitution, les médias feraient mieux de parler de celui qui réellement en tant que pasteur s’opposa activement aux nazis. Au moment de la montée en puissance du pouvoir nazi, qui noyaute peu à peu l'Église allemande, le pasteur Martin Niemöller, pourtant partisan du régime hitlérien et ancien commandant des Corps francs, appelle les pasteurs hostiles aux mesures antisémites à s'unir au sein d'une nouvelle organisation, le « Pfarrernotbund », la « Ligue d'urgence des pasteurs », qui respecterait les principes de tolérance énoncés par la Bible et la profession de foi réformatrice. Cet appel a un grand écho : à la fin de l'année 1933, 6 000 pasteurs, soit plus d'un tiers des ecclésiastiques protestants, ont rejoint ce groupe dissident. La « Ligue d'urgence des pasteurs », soutenue par des protestants à l'étranger, adresse au synode une lettre de protestation contre les mesures d'exclusion et de persécution prises envers les Juifs et envers les pasteurs refusant d'obéir aux nazis. Malgré les protestations, Martin Niemöller est déchu de ses fonctions de pasteur et mis prématurément en retraite au début du mois de novembre 1933. Mais la grande majorité des croyants de sa paroisse décide de lui rester fidèle, et il peut ainsi continuer à prêcher et à assumer ses fonctions de pasteur. Niemöller fut arrêté en 1937 et envoyé au camp de concentration de Sachsenhausen. Il fut ensuite transféré en 1941 au camp de concentration de Dachau. Libéré du camp par la chute du régime nazi, en 1945, il se consacre par la suite, jusqu'à sa mort en 1984, à la reconstruction de l'Église protestante d'Allemagne et prend de plus en plus de distance avec les milieux conservateurs de ses origines pour devenir un militant pacifiste.
Poème attribué à Niemöller:
« Lorsque les nazis sont venus chercher les communistes,
je n’ai rien dit,
je n’étais pas communiste.
Lorsqu’ils ont enfermé les sociaux-démocrates,
je n’ai rien dit,
je n’étais pas social-démocrate.
Lorsqu'ils sont venus chercher les syndicalistes,
je n’ai rien dit,
je n’étais pas syndicaliste.
Lorsqu'ils sont venus chercher les juifs,
je n’ai rien dit,
je n’étais pas juif.
Lorsqu’ils sont venus me chercher,
il ne restait plus personne
pour protester. »
Si je reprends le poème du bon pasteur qui a agi par rapport aux papes qui n’ont rien fait, c’est que l’histoire se répète aujourd’hui avec les musulmans. Le Journaliste et écrivain Thierry Desjardins a poussé un coup de gueule sur son blog que tous les pasteurs baptisés à l’eau tiède de Laodicée devraient lire.
La guerre de religion a commencé : nous pleurons, avec nos larmes de crocodile habituelles, les Coptes massacrés à Alexandrie et les chrétiens assassinés à Bagdad. Mais nous restons les bras ballants…. Aujourd’hui, la grande mode est d’évoquer, d’invoquer à tout bout de champ « les années les plus sombres de notre histoire ». C’est souvent absurde et parfois odieux. Mais s’il y a une leçon qu’il ne faut jamais oublier, c’est bien celle de Munich. Churchill avait dit : « Ils ont préféré le déshonneur à la guerre et ils auront les deux ». Il ne faut jamais tenter de pactiser avec ceux qui vous ont déclaré la guerre.
Israël. Aujourd’hui sans attendre la fin de la trêve le Hamas à repris les tirs sur Israël. Israël avait pourtant proposé dès mercredi soir une prolongation pour une durée illimitée du cessez-le-feu entré en vigueur mardi matin, sous réserve qu'elle ne soit assortie d'aucune condition. 10H16 « Ce matin, après la reprise des tirs de roquettes contre Israël, les forces armées ont ciblé des sites terroristes dans la bande de Gaza », a indiqué l’armée dans un communiqué, peu après que le Premier ministre Benjamin Netanyahu lui a ordonné de riposter vigoureusement aux nouvelles attaques du Hamas.
Irak. La plus grande ville chrétienne d’Irak, Qaraqosh, se trouve à présent aux mains de l’Etat Islamique en Irak et au Levant (EIIL). Les combattants djihadistes se sont emparés de la ville et de ses environs dans la nuit de mercredi à jeudi après que les forces kurdes ont quitté la zone. A minuit, ces dernières ont informé l’évêque de la ville qu’elles n’étaient plus en mesure de défendre la localité. Qaraqosh est une ville de 50.000 habitants à majorité chrétienne et située entre Mossoul, la principale ville tenue par l’EIIL, et Erbil, la capitale de la région autonome du Kurdistan. De nombreux chrétiens de Mossoul y avaient trouvé refuge après la prise d’assaut de leur ville par les djihadistes. Des dizaines de milliers de personnes se sont enfuies, ont déclaré des témoins et responsables locaux à l’AFP. « Je sais maintenant que les villes de Qaraqosh, Tal Kayf, Bartella et Karamlesh ont été vidées de leurs habitants et sont maintenant sous le contrôle des insurgés », a déclaré Mgr Joseph Thomas, archevêque chaldéen de Kirkouk et Souleimaniyeh. « Des dizaines de milliers de personnes terrifiées sont chassées de chez elles au moment où nous parlons. Selon Radio Vatican, 150.000 chrétiens seraient en fuite sur les routes d’Irak dans l’espoir de rejoindre des villes du Kurdistan irakien où ils pourraient bénéficier d’une protection.
Alors que les musulmans de Gaza réclament la terre d’Israël pour eux-mêmes, ceux d’Irak chassent sans vergogne tous ceux qui ne se convertissent pas à l’Islam. Mais les chrétiens ne sont pas les seules victimes des barbares djihadistes. La minorité yézidie en train d’être attaquée et massacrée par les djihadistes de l’Etat islamique dans le nord de l’Irak. Face à l’avancée des djihadistes, les populations yézidies s’enfuient. Selon les humanitaires des Nations unies, plusieurs dizaines de milliers de personnes seraient actuellement réfugiées dans les montagnes désertiques de Sinjar, privées d’eau et de ravitaillement. Des dizaines d’enfants auraient déjà trouvé la mort par déshydratation.
Malgré tout ce qui est répété faussement en Occident, le vrai visage de la religion musulmane est révélé et on est loin de la tolérance tant vantée dans nos médias. Il apparaît de manière claire que si l’islam devient la religion principale d’un pays, la tolérance vis-à-vis des minorités disparaît, donc des chrétiens. La France qui a ouvert ses portes à des millions de musulmans va maintenant pouvoir tester en grandeur nature les limites de sa propre tolérance.
Quel bon pasteur français écrira alors ceci :
« Lorsque les musulmans ont manifesté avec les communistes pour Gaza,
je n’ai rien dit,
je n’étais pas communiste.
Lorsque les socialistes du gouvernement ont laissé les musulmans proférer des paroles antisémites à Paris,
je n’ai rien dit,
je n’étais pas socialiste.
Lorsqu'ils sont venus chercher les syndicalistes pour manifester avec eux contre Gaza,
je n’ai rien dit,
je n’étais pas syndicaliste.
Lorsqu'ils ont pris à partie les juifs,
je n’ai rien dit,
je n’étais pas juif.
Lorsqu’ils m’ont pris à partie,
il ne restait plus personne
pour protester. »
Plutôt que de nous occuper des papes et de leur chrétienté de façade destinée à la presstitution, les médias feraient mieux de parler de celui qui réellement en tant que pasteur s’opposa activement aux nazis. Au moment de la montée en puissance du pouvoir nazi, qui noyaute peu à peu l'Église allemande, le pasteur Martin Niemöller, pourtant partisan du régime hitlérien et ancien commandant des Corps francs, appelle les pasteurs hostiles aux mesures antisémites à s'unir au sein d'une nouvelle organisation, le « Pfarrernotbund », la « Ligue d'urgence des pasteurs », qui respecterait les principes de tolérance énoncés par la Bible et la profession de foi réformatrice. Cet appel a un grand écho : à la fin de l'année 1933, 6 000 pasteurs, soit plus d'un tiers des ecclésiastiques protestants, ont rejoint ce groupe dissident. La « Ligue d'urgence des pasteurs », soutenue par des protestants à l'étranger, adresse au synode une lettre de protestation contre les mesures d'exclusion et de persécution prises envers les Juifs et envers les pasteurs refusant d'obéir aux nazis. Malgré les protestations, Martin Niemöller est déchu de ses fonctions de pasteur et mis prématurément en retraite au début du mois de novembre 1933. Mais la grande majorité des croyants de sa paroisse décide de lui rester fidèle, et il peut ainsi continuer à prêcher et à assumer ses fonctions de pasteur. Niemöller fut arrêté en 1937 et envoyé au camp de concentration de Sachsenhausen. Il fut ensuite transféré en 1941 au camp de concentration de Dachau. Libéré du camp par la chute du régime nazi, en 1945, il se consacre par la suite, jusqu'à sa mort en 1984, à la reconstruction de l'Église protestante d'Allemagne et prend de plus en plus de distance avec les milieux conservateurs de ses origines pour devenir un militant pacifiste.
Poème attribué à Niemöller:
« Lorsque les nazis sont venus chercher les communistes,
je n’ai rien dit,
je n’étais pas communiste.
Lorsqu’ils ont enfermé les sociaux-démocrates,
je n’ai rien dit,
je n’étais pas social-démocrate.
Lorsqu'ils sont venus chercher les syndicalistes,
je n’ai rien dit,
je n’étais pas syndicaliste.
Lorsqu'ils sont venus chercher les juifs,
je n’ai rien dit,
je n’étais pas juif.
Lorsqu’ils sont venus me chercher,
il ne restait plus personne
pour protester. »
Si je reprends le poème du bon pasteur qui a agi par rapport aux papes qui n’ont rien fait, c’est que l’histoire se répète aujourd’hui avec les musulmans. Le Journaliste et écrivain Thierry Desjardins a poussé un coup de gueule sur son blog que tous les pasteurs baptisés à l’eau tiède de Laodicée devraient lire.
La guerre de religion a commencé : nous pleurons, avec nos larmes de crocodile habituelles, les Coptes massacrés à Alexandrie et les chrétiens assassinés à Bagdad. Mais nous restons les bras ballants…. Aujourd’hui, la grande mode est d’évoquer, d’invoquer à tout bout de champ « les années les plus sombres de notre histoire ». C’est souvent absurde et parfois odieux. Mais s’il y a une leçon qu’il ne faut jamais oublier, c’est bien celle de Munich. Churchill avait dit : « Ils ont préféré le déshonneur à la guerre et ils auront les deux ». Il ne faut jamais tenter de pactiser avec ceux qui vous ont déclaré la guerre.
Israël. Aujourd’hui sans attendre la fin de la trêve le Hamas à repris les tirs sur Israël. Israël avait pourtant proposé dès mercredi soir une prolongation pour une durée illimitée du cessez-le-feu entré en vigueur mardi matin, sous réserve qu'elle ne soit assortie d'aucune condition. 10H16 « Ce matin, après la reprise des tirs de roquettes contre Israël, les forces armées ont ciblé des sites terroristes dans la bande de Gaza », a indiqué l’armée dans un communiqué, peu après que le Premier ministre Benjamin Netanyahu lui a ordonné de riposter vigoureusement aux nouvelles attaques du Hamas.
Irak. La plus grande ville chrétienne d’Irak, Qaraqosh, se trouve à présent aux mains de l’Etat Islamique en Irak et au Levant (EIIL). Les combattants djihadistes se sont emparés de la ville et de ses environs dans la nuit de mercredi à jeudi après que les forces kurdes ont quitté la zone. A minuit, ces dernières ont informé l’évêque de la ville qu’elles n’étaient plus en mesure de défendre la localité. Qaraqosh est une ville de 50.000 habitants à majorité chrétienne et située entre Mossoul, la principale ville tenue par l’EIIL, et Erbil, la capitale de la région autonome du Kurdistan. De nombreux chrétiens de Mossoul y avaient trouvé refuge après la prise d’assaut de leur ville par les djihadistes. Des dizaines de milliers de personnes se sont enfuies, ont déclaré des témoins et responsables locaux à l’AFP. « Je sais maintenant que les villes de Qaraqosh, Tal Kayf, Bartella et Karamlesh ont été vidées de leurs habitants et sont maintenant sous le contrôle des insurgés », a déclaré Mgr Joseph Thomas, archevêque chaldéen de Kirkouk et Souleimaniyeh. « Des dizaines de milliers de personnes terrifiées sont chassées de chez elles au moment où nous parlons. Selon Radio Vatican, 150.000 chrétiens seraient en fuite sur les routes d’Irak dans l’espoir de rejoindre des villes du Kurdistan irakien où ils pourraient bénéficier d’une protection.
Alors que les musulmans de Gaza réclament la terre d’Israël pour eux-mêmes, ceux d’Irak chassent sans vergogne tous ceux qui ne se convertissent pas à l’Islam. Mais les chrétiens ne sont pas les seules victimes des barbares djihadistes. La minorité yézidie en train d’être attaquée et massacrée par les djihadistes de l’Etat islamique dans le nord de l’Irak. Face à l’avancée des djihadistes, les populations yézidies s’enfuient. Selon les humanitaires des Nations unies, plusieurs dizaines de milliers de personnes seraient actuellement réfugiées dans les montagnes désertiques de Sinjar, privées d’eau et de ravitaillement. Des dizaines d’enfants auraient déjà trouvé la mort par déshydratation.
Malgré tout ce qui est répété faussement en Occident, le vrai visage de la religion musulmane est révélé et on est loin de la tolérance tant vantée dans nos médias. Il apparaît de manière claire que si l’islam devient la religion principale d’un pays, la tolérance vis-à-vis des minorités disparaît, donc des chrétiens. La France qui a ouvert ses portes à des millions de musulmans va maintenant pouvoir tester en grandeur nature les limites de sa propre tolérance.
Quel bon pasteur français écrira alors ceci :
« Lorsque les musulmans ont manifesté avec les communistes pour Gaza,
je n’ai rien dit,
je n’étais pas communiste.
Lorsque les socialistes du gouvernement ont laissé les musulmans proférer des paroles antisémites à Paris,
je n’ai rien dit,
je n’étais pas socialiste.
Lorsqu'ils sont venus chercher les syndicalistes pour manifester avec eux contre Gaza,
je n’ai rien dit,
je n’étais pas syndicaliste.
Lorsqu'ils ont pris à partie les juifs,
je n’ai rien dit,
je n’étais pas juif.
Lorsqu’ils m’ont pris à partie,
il ne restait plus personne
pour protester. »
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