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vendredi 11 avril 2014

Tétrade 2014 - 2015 article 3

Dans l’étude sur les 7 âges des Églises, je retrace l’évolution des chrétiens au travers des siècles. Une des évolutions majeures ayant eu des conséquences dramatiques, fut l’éviction des chrétiens des synagogues. A l'origine, les religieux juifs s’opposèrent avec force aux premiers chrétiens qui étaient exclusivement juifs en les considérants comme une dangereuse secte, on se souvient des persécutions de Saul de Tarse avant sa conversion. À terme, les juifs et le rabbinat exclurent définitivement les chrétiens qui progressivement ne constituèrent qu’une communauté issue du monde païen. L’olivier franc s’est donc lui-même désolidarisé de ses racines bibliques quand le rejeton de David, Yeshoua, a commencé à croître comme une faible plante (Esaïe 53). L’assemblée des chrétiens ne s’est donc pas totalement séparée volontairement d’Israël pour la remplacer dans les premiers siècles, mais a été mise à la porte des synagogues, tout en excitant les autorités romaines contre eux pour les persécuter. En agissant de la sorte, les juifs ont commis une faute énorme, d’abord contre Dieu, mais également contre eux-mêmes. Car le christianisme va se développer et progressivement supplanter le judaïsme comme religion issue de la Bible. Mais l’absence d’une culture religieuse spécifiquement axée sur la Bible, va progressivement amener le monde chrétien à prendre des libertés avec les textes, notamment sur les jours de fête qui vont à terme se mêler aux traditions païennes.

Au 4ème siècle avec l’empereur Constantin, le christianisme va devenir une religion d’État qui mêlera paganisme et christianisme en son sein. Les basiliques vont remplacer les assemblées, les évêques vont se séculariser et la messe va remplacer les traditions apostoliques. Je ne vais pas détailler ici tous les changements qui s’opérèrent à cette époque, mais vous pouvez retrouver cela en lisant l’étude sur l’âge de Pergame. Une des principales évolutions au sein de l’Église chrétienne fut l’instauration d’une eucharistie dominicale, puis d’une sainte cène quotidienne. L’évêque qui s’était mué en prêtre commémorait ainsi tous les jours le sacrifice du Christ sur un autel, ce qui dénatura totalement le sens du repas pascal traditionnel. La Pâque du Seigneur, devint le repas quotidien sacralisé par les prêtres dans les basiliques. Comme le repas principal du jour chez les Romains était servi le soir (cena), la notion de (sainte) cène s’instaura progressivement à partir du 4ème siècle, puis le culte principal se déplaça du shabbat juif vers le jour du Seigneur.

Le 3 juillet 321, ce jour est décrété jour de repos légal dans l'Empire romain par l'empereur Constantin Ier, qui, usant de son droit régalien, se sert de la notion de justitium – une institution romaine qui permettait de suspendre toute activité étatique judiciaire pour marquer un événement marquant. Constantin déclare un justitium permanent, qui prend place le « dies solis », le « jour du soleil ». À l’origine les chrétiens se réunissaient chaque semaine pour commémorer l'eucharistie (un culte d’action de grâce) de la résurrection de Jésus-Christ le premier jour de la semaine juive (le lendemain du shabbat), ce jour sera déplacé le « dies dominicus » ou « jour du Seigneur », à l'origine des mots français « dimanche ». Ce fameux jour du « Seigneur » doit être considéré pour ce qu’il était du temps de Constantin, un culte païen dédié à l’empereur lui-même symbolisé par le soleil. Cependant l’empereur l’avait ‘christianisé’ non en prétendant être un dieu, mais son élu.

Le jour du « Seigneur » le dimanche, associé au culte et la « cène » qui était devenue sainte pendant la messe, va prendre une forme définitive qui englobe toutes les traditions avec l’instauration de l’hostie au 6ème siècle. Ce nom qui vient d’une hostia (victime offerte en expiation), renvoie à la notion d’immolation animale sacrificielle et qui maintenant est représenté par le corps de Jésus victime « après laquelle nulle autre ne doit plus être immolée ». La forme de l’hostie va évoluer pour devenir une rondelle blanche au 12ème siècle, faisant réapparaître le symbole solaire sous une nouvelle forme plus aboutie. Pour mettre une touche finale à toutes ces aberrations, le catholicisme prétendra que par la « transsubstantiation », dans l'Eucharistie, le pain et le vin consacrés de la messe, sont « réellement, vraiment et substantiellement » transformés ou convertis en Corps et Sang du Christ, tout en conservant leurs caractéristiques physiques ou espèces (texture, goût, odeur : les apparences) initiales. Le mot qui apparaît dès la fin du XIe siècle chez Hildebert de Tours vers 1079, est défini comme terme du dogme par le quatrième concile du Latran (1215) et confirmé par celui de Trente (1545-1563). Puis le vin fut interdit aux fidèles par le Concile de Constance en 1415. Mais il y avait déjà longtemps que l’habitude était prise de ne pas donner la coupe aux fidèles, de peur qu’un peu de vin, c'est-à-dire un peu de sang de Christ, tombe au sol.

Avec la réforme protestante, on va revenir en arrière par rapport à la notion de transsubstantiation et le pain et le vin qui était juste pris par le prêtre, seront de nouveau distribués ensemble pendant le culte dominical. Cette tradition restera au fil des siècles jusqu’à aujourd’hui, même dans le pentecôtisme. Bien que la prière, l'action de grâces, la fraction du pain et le partage de la coupe apparaissent comme des éléments constitutifs de la célébration de la Pâque, la tradition en a fait la pratique dominicale du repas du Seigneur hérité sous Constantin. Le fait même qu’on fasse encore aujourd’hui référence à la « sainte cène » renvoie à la tradition latine dont le nom est issu et pas à la célébration de la Pâque telle que Jésus l’institua pour l’Église.

La confusion provient des repas fraternels qui étaient pris en commun du temps des apôtres et où une simple bénédiction était prononcée avant la fraction du pain. C’est ce que fit simplement Jésus après sa résurrection avec les disciples d’Emmaüs: 29  Mais ils le pressèrent, en disant : Reste avec nous, car le soir approche, le jour est sur son déclin. Et il entra, pour rester avec eux. 30  Pendant qu’il était à table avec eux, il prit le pain ; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le leur donna. 31  Alors leurs yeux s’ouvrirent, et ils le reconnurent ; mais il disparut de devant eux ( Luc 24 ). Si à cela on ajoute le repas particulier du shabbat avec aujourd’hui la prière de bénédiction sur le vin et le pain, tous les amalgames deviennent possibles. Mais personne ne sait d’où est venue cette tradition, car rien dans la Loi n’y fait référence. Deutéronome 5 : 12  Observe le jour du repos, pour le sanctifier, comme l’Éternel, ton Dieu, te l’a ordonné. 13  Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage. 14  Mais le septième jour est le jour du repos de l’Éternel, ton Dieu : tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bœuf, ni ton âne, ni aucune de tes bêtes, ni l’étranger qui est dans tes portes, afin que ton serviteur et ta servante se reposent comme toi.

Il n’y a donc qu’une seule manière de prendre le pain et le vin conformément à la demande de Jésus, c’est le jour de Pâque. Luc 22 : 15  Il leur dit : J’ai désiré vivement manger cette Pâque avec vous, avant de souffrir ; 16,  car, je vous le dis, je ne la mangerai plus, jusqu’à ce qu’elle soit accomplie dans le royaume de Dieu. 17  Et, ayant pris une coupe et rendu grâces, il dit : Prenez cette coupe, et distribuez-la entre vous ; 18,  car, je vous le dis, je ne boirai plus désormais du fruit de la vigne, jusqu’à ce que le royaume de Dieu soit venu. 19  Ensuite il prit du pain ; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le leur donna, en disant : Ceci est mon corps, qui est donné pour vous ; faites ceci en mémoire de moi. 20  Il prit de même la coupe, après le souper, et la leur donna, en disant : Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang, qui est répandu pour vous.

Comme on peut le constater, il y a une différence fondamentale entre le repas pris avec les disciples d’Emmaüs et le repas pascal. La Pâque est intimement reliée aux notions de sacrifice de l’agneau et de la délivrance de la servitude. Jésus étant l’agneau de Dieu qui enlève le péché du monde (la servitude). Décorréler le repas du Seigneur de la Pâque revient à dénaturer le sens même de Son sacrifice ce jour-là, alors qu’Il est venu précisément dans le monde pour cela. Le diable a bien compris la symbolique, c’est pour cela qu’il vida le repas pascal de sa substance en le transformant en eucharistie quotidienne qui devint la sainte cène. La tradition a fait le reste. Mais comme la mort de la Pâque est associée à la résurrection le troisième jour, il est essentiel d’en préserver le souvenir et la tradition intacte : « afin que par la mort, il anéantît celui qui a la puissance de la mort, c'est-à-dire le diable, et qu'il délivrât tous ceux qui, par crainte de la mort, étaient toute leur vie retenus dans la servitude » (Hébreux 2.14-15). Il y a une logique divine dans la célébration de Pâque et si on commence à faire n’importe quoi, n’importe quand et avec n’importe qui, de sérieux problèmes sont à attendre.

1 Corinthiens 11 : 23, Car j’ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigné ; c’est que le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain, 24  et, après avoir rendu grâces, le rompit, et dit : Ceci est mon corps, qui est rompu pour vous ; faites ceci en mémoire de moi. 25  De même, après avoir soupé, il prit la coupe, et dit : Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang ; faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez. 26,  Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne. 27  C’est pourquoi celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement, sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur. 28  Que chacun donc s’éprouve soi-même, et qu’ainsi il mange du pain et boive de la coupe ; 29,  car celui qui mange et boit sans discerner le corps du Seigneur, mange et boit un jugement contre lui-même. 30  C’est pour cela qu’il y a parmi vous beaucoup d’infirmes et de malades, et qu’un grand nombre sont morts.

La célébration de Pâque pour un chrétien est un des piliers de sa foi, cette fête rappelle qui est son Dieu et à quelle alliance il appartient. Au moment de prendre la coupe et de partager le pain, il fait corps avec le Christ et l’Épouse est parfaitement unie par l’Esprit à son Époux. C’est à ce moment que la distinction se fait entre toutes les parties, juives, chrétiennes dénominationnelles ou simplement le monde. Le jour de Pâque, l’Épouse et Jésus Christ sont UN. La Pâque et la commémoration par le pain et le vin se font en famille ou des proches en Christ où la table est dressée en Son honneur.

Mais attention, quand bien même cette réalité sonne comme une évidence pour vous, il reste un dernier obstacle liturgique à franchir, quel jour précisément la fête de Pâque se célèbre-t-elle ? Car comme le shabbat glissa sur le dimanche, la Pâque juive glissa sur les Pâques babyloniennes catholiques fêtées à d’autres dates du Vendredi saint au lundi, avec tout son cortège de traditions. Or dans la chrétienté, c’est traditionnellement les Pâques babyloniennes qui sont fêtées. Le jour de Pâque(s) a été fixé lors du concile de Nicée sous Constantin en 325 et il a lieu le premier dimanche après la pleine lune qui suit le 21 mars. Pourquoi le 21 mars ? En fait l'équinoxe de printemps était fixé, à l'origine, dans le calendrier julien (établi sous Jules César), le 25 mars (le jour du solstice d'hiver a alors lieu le 25 décembre qui deviendra Noël). Mais à l'époque du concile de Nicée, en 325, on observe que l'équinoxe tombe le 21 mars. La différence de 4 jours s'explique par l'erreur du calendrier julien qui sera corrigée avec l'adoption du calendrier grégorien (l'équinoxe tombe en effet à la fin du Moyen Âge le 11 mars). En réalité, le jour de l'équinoxe varie et peut avoir aussi lieu un 20 mars ou un 22 mars.

Le glissement des fêtes sous Constantin c’est fait selon un calendrier solaire basé sur les équinoxes et non sur le calendrier lunaire comme la Bible le commande. À l'origine, la Pâque est fixée pour les juifs au 15 du mois de Nissan. Le mois commençant le jour de la nouvelle lune, le 15 du mois correspond alors à la pleine lune. Lévitique 23 : 4 Voici les fêtes de l’Éternel, les saintes convocations, que vous publierez à leurs temps fixés. 5  Le premier mois, le quatorzième jour du mois, entre les deux soirs, ce sera la Pâque de l’Éternel. 6  Et le quinzième jour de ce mois, ce sera la fête des pains sans levain en l’honneur de l’Éternel ; vous mangerez pendant sept jours des pains sans levain.

L'équinoxe de printemps a lieu le 20 mars 2014 et 2015 (la relation avec la tétrade devient évidente); la première pleine lune, le mardi 15 avril 2014 au soir et correspond au repas de Pâque biblique. Les Pâques babyloniennes commencent avec le Vendredi saint le 18 et s’achèvent le lundi 21 avril 2014. Il est donc essentiel de distinguer les deux fêtes, car une est d’origine biblique, alors que l’autre est clairement d’origine païenne et remonte aux pratiques babyloniennes. C’est pourquoi j’appelle cela les Pâques babyloniennes. Voyez plutôt.


Le printemps est dans l’air ! Les fleurs et les lapins décorent la maison. Papa aide les enfants à peindre de beaux dessins sur des œufs teints de couleurs différentes. Ces œufs qui, plus tard, seront cachés et que les enfants essaieront de retrouver, sont mis dans de beaux petits paniers. Le délicieux arôme des brioches que maman fait cuire remplit la maison. Les quarante jours de privation de certains mets se terminent demain. Toute la famille met ses vêtements du dimanche en vue du service religieux qui se tiendra au lever du soleil pour célébrer la résurrection du Sauveur et le renouveau de la vie. Tous ont hâte de manger le jambon et toutes les garnitures qui accompagnent les mets. Ce sera une journée joyeuse. Après tout, c’est une des fêtes religieuses les plus importantes de l’année.

Pâques, n’est-ce pas ?

Vous venez de lire une description d’une ancienne famille babylonienne — 2,000 ans avant le Christ — honorant la résurrection de leur dieu Thammuz, qui a été ramené des enfers par son épouse/mère, Ishtar (du nom de laquelle la fête a été nommée, Easter, Pâques en anglais). Dans la majorité des dialectes sémitiques « Ishtar » se prononce « Easter ». Nous pourrions donc dire que les événements décrits ci-dessus constituent dans un certain sens la fête de Pâques. Bien entendu, cette occasion aurait aussi bien pu parler d’une famille phrygienne qui honorait Attis et Cybèle, ou une famille phénicienne adorant Adonis et Astarté. La description pourrait également très bien décrire une famille hébraïque hérétique qui honorait le dieu cananéen Baal et Ashtoreth (Astarté). Ou bien d’autres célébrations de mort et de résurrection et de fertilité païenne — ce qui inclut la célébration moderne de Pâques comme elle nous est parvenue par le moyen des rites de fertilité anglo-saxons de la déesse Eostre (ou Ostara). Dans tous les cas, c’est la même fête, séparée seulement par le temps et des cultures différentes. La fête d’Ishtar se célébrait à l’équinoxe du printemps où on représentait symboliquement la fertilité par des œufs et des lapins qui renvoient à l’image du renouveau printanier.

Nous avons donc deux célébrations de la fête pascale différentes selon que les dates sont déterminées par le cycle lunaire pour la Bible ou solaire pour la tradition païenne. Le choix solaire renvoie toujours à une fête païenne comme le solstice d’hiver pour la fête de Noël. Si on y ajoute l’équinoxe de printemps pour Pâques, les plus grandes fêtes « chrétiennes » représentent en fait des festivals païens ayant pris aujourd’hui une dimension mondiale et universelle à cause du commerce qu’elles représentent. Il ne faut donc pas s’étonner si dans l’Apocalypse au chapitre 18 le Seigneur s’en prend si vivement à notre société moderne qui est comparée à Babylone : 1 Après cela, je vis descendre du ciel un autre ange, qui avait une grande autorité ; et la terre fut éclairée de sa gloire. 2  Il cria d’une voix forte, disant : Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande ! Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit impur, un repaire de tout oiseau impur et odieux, 3  parce que toutes les nations ont bu du vin de la fureur de son impudicité, et que les rois de la terre se sont livrés avec elle à l’impudicité, et que les marchands de la terre se sont enrichis par la puissance de son luxe. 4  Et j’entendis du ciel une autre voix qui disait : Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n’ayez point de part à ses fléaux.

Aujourd’hui avec la connaissance qui est la nôtre, il n’est plus possible de se considérer chrétien si on pratique la fête de Noël  avec son sapin et sa bûche et célèbre les Pâques babyloniennes avec des lapins et des œufs. C’est une dénaturation totale des principes bibliques et une injure à Jésus Christ. Pratiquer ces fêtes païennes c’est faire la démonstration qu’on appartient au monde et que Satan gouverne nos vies. C’est renvoyer la nation tout entière dans la servitude du péché et des fléaux qui y sont attachés. L’Apostasie actuelle dans le monde chrétien et l’abandon par le plus grand nombre des valeurs bibliques a pour conséquence directe de faire croître le mal vers son absolu dans la forme de la Bête de l’Apocalypse qu’est l’Union européenne, de voir émerger le pape comme un faux prophète et préparer pour bientôt la voie de l’antéchrist sous sa forme physique.

Ces choses doivent venir on le sait et elles sont déjà là aujourd’hui pour la plupart. Mais il est aussi écrit que parallèlement une Église digne d’être l’Epouse du Christ se détachera de tout cela pour sortir de Babylone. L’occasion de l’affirmer avec force et conviction est de célébrer votre Pâque le 15 Nissan, soit le mardi 15 avril 2014 au soir. C’est également l’occasion de sortir de la pratique de la « sainte cène » pour revenir au repas commémoratif pascal, où prendre le pain et le vin en mémoire de Jésus Christ souligne votre attachement à la Nouvelle Alliance. Pour ce qui nous concerne, pendant une semaine nous nous retirons en famille à l’écart pour cette fête si chère à nos cœurs.

À l’Épouse fidèle dans le Christ je souhaite une bonne fête de Pâque en famille pour le 15 Nissan.

4 commentaires:

  1. Attention ! La nuit de la pleine lune sera du 14 au 15 avril et non du 15 au 16 avril ou Nissan et cette année-ci, il y a coïncidence de numérotation des jours. Le mois de Nissan a commencé le 1er avril
    L'instant précis de la Pleine lune est le 15 avril à 07 H 44 GMT, soit 09 H 44 à Jérusalem. Cet instant se situe donc bien avant le coucher du soleil du 15 avril ce qui fait du 15 avril, le jour 15 de la lunaison.
    La nuit du 14 au 15 sera donc celle de la Lune entière donc de la Pâque.
    C'est le 14 à la 9ième heure que le pain sera rompu et le vin versé. Ces deux éléments
    ainsi sanctifiés sont consommés par les baptisés pendant la nuit de la Pâque.

    Nous vous souhaitons une bonne fête de Pâque le 14 Nissan à vous et vos proches

    En Yashoua, meilleures pensées de Jérusalem,

    Daniel et Michèle Dachy

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  2. Bonjour,

    Je ne comprends pas ? Vous feterez Paque le 15 ème jours au soir, alors que dans Levétique 23: 5 il est écrit le 1er mois, le quatorzième jour du mois, au crepuscule, c'est Paque pour YHWH, et le 15 ème jour de ce mois c'est la fete des Azimes pour YHWH.
    Pourquoi, vous dites de prendre la Paque le 15 ème au soir ?

    C'est la 1ere fois que je prendrai la Paque, selon la volonté de YHWH et j'avoue que les uns disent le 14ème comme la bible le précise et les autres le 15 ème, comme vous le dites. Il y a de quoi s'arracher les cheveux !!!

    Merci de me répondre avant Paque

    Sandy

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  3. Personnellement je fais les choses dans l’ordre chronologique. Le 14ème jour est celui où l’agneau est sacrifié, le soir après avoir préparé l’agneau à lien le repas et on entre dans le 15ème jour c’est la fête des pains azymes. La logique divine a superposé la crucifixion de Jésus aux trois premières fêtes, mort, mise au tombeau et résurrection. Si on reste dans cette logique Pessa’h forme un ensemble cohérent. Prendre le pain et le vin le soir du 14 vous entraîne de toute façon dans le jour 15 qui commence avec le coucher du soleil. C’est pour cela que je parle du 15. Dans tous les cas de figure il important de se désolidariser de la Pâques catholique qui suit, mais aussi du seder qui renvoie à l’Ancienne Alliance. Je ne suis donc pas des traditions et des règles, mais une logique biblique qui me renvoie à la Parole par mes actes. Mais si vous fêtez le 14 cela ne pose pas de problème. Bonne fête.

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  4. Bonjour,

    Merci pour votre réponse, oui ! j'ai un peu de mal avec le jour qui commence au crépuscule. Pour le Shabbat c'est rentré dans ma tête. Désolé
    Bonne fête à vous!
    Sandy

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