http://schoenelblog2.blogspot.com/ Lettre à l'Epouse 2: La bête de l’Apocalypse révélée dans l’Histoire 7 et fin

vendredi 19 juillet 2013

La bête de l’Apocalypse révélée dans l’Histoire 7 et fin

La légende napoléonienne s'est constituée pour célébrer et glorifier les actions de Napoléon Bonaparte et en faire l'objet d'un mythe ou d'un culte, elle est telle que certains donnent même à l'Empereur un caractère messianique. Ainsi, Élie Faure, dans son ouvrage « Napoléon », le compare à un prophète des temps modernes. Il est vrai qu’à étudier la vie de l’homme et ses ambitions, on peut affirmer sans risque que l’empereur visait un destin au moins égal à celui d’un César romain, soit bâtir un empire et une dynastie millénaire. Après avoir combattu et vaincu les empereurs du continent, celui qu’on appelait désormais « l’Aigle », visait à briller comme le soleil au firmament, tel un dieu vivant. Il s’en donna les moyens en piétinent l’Eglise catholique et en humiliant son pape, allant jusqu’à donner une alternative spirituelle cachée à la France par le biais de la franc-maçonnerie. La capitale elle-même sera transformée pour la gloire de l’homme et du maçonnisme triomphant. Ainsi combattre Napoléon revenait à combattre sa vision du monde maçonnique. Pour clore le chapitre napoléonien, il convient de discerner entre les lignes écrites de l’Histoire, les symboles qui donnent à son épopée toute sa force et révèlent quel esprit à la fin sera le plus fort.

L’œuvre maçonnique de Napoléon Bonaparte

Durant la Révolution la plupart des loges maçonniques se mettent en sommeil. Le réveil n'aura lieu qu'avec le Directoire et surtout l'Empire. Seules quelques dizaines d'entre elles sont encore en activité après la Terreur. Avec l’ascension de Napoléon, le maçonnisme va renaître de ses cendres et croître de plus belle. Mais attention, contrairement au catholicisme qui par syncrétisme est parvenu au dogme marial, le maçonnisme n’est pas un bloc homogène suivant un seul courant de pensée. Divers courants se sont créés au fil du temps et se mélangent entre eux dans les symboles selon les circonstances et les époques, Napoléon cherchant surtout à en garder le contrôle général.

Les symboles égyptiens, présents dans certains rites sous l'influence de l'Italien Cagliostro au XVIIIe siècle, se sont, quant à eux, répandus sous l'Empire, après l'expédition militaire de Napoléon Bonaparte de 1799, qui a déclenché une véritable égyptomanie. Tandis que les loges prospéraient sous la haute surveillance de Joseph Bonaparte, de Jean-Jacques Régis de Cambacérès et des principaux maréchaux d'Empire, le culte de la civilisation égyptienne nourrissait les arts, l'iconographie et l'architecture. «On a vu apparaître des déesses et des pyramides un peu partout», explique Raphaël Aurillac, initié à la Grande Loge nationale française et auteur du Guide du Paris maçonnique (Éd.Dervy) . Des officiers napoléoniens ont d'ailleurs fondé au Caire une loge, Les Disciples de Memphis. L'un de ses membres, de retour en France, a poursuivi cette lignée égyptienne en 1815 avec la naissance du rite de Memphis, qui a fusionné ensuite avec un autre rite, celui de Misraïm, issu de traditions ésotériques. Ce qui démontre que le maçonnisme n’hérite pas d’un courant religieux passé tutélaire commun aux différentes loges, mais se créé au fil du temps et des obsessions mystiques qui portent vers les cultes à mystères.

Ainsi, quasiment exclusivement entouré de francs-maçons connus, Napoléon initié en Égypte et secondé de Jean-Jacques, Régis Cambacérès, va donner aux frères les rênes du pouvoir en France. Cambacérès Archichancelier de l'Empire en 1804, participa à la rédaction du Code Civil. Grand Maître-adjoint du Grand Orient de France de 1806 à 1815, comme suppléant du roi Joseph Bonaparte. Napoléon lui assigna la mission de "surveiller et contrôler" la maçonnerie. Plus de 1200 loges furent constituées sous son mandat. Napoléon voulut aussi l'unité de la maçonnerie. A peine le Suprême Conseil de France (avec le rite Ecossais Ancien & Accepté) nait-il en 1804 que Napoléon impose un 1805 un Concordat et une alliance avec le Grand Orient de France (avec le rite Français). La plupart des hauts dignitaires du Régime impérial furent francs-maçons, à commencer par les frères de l'Empereur (à noter que le père de l'Empereur fut également franc-maçon).

Au Louvre, Napoléon entreprit de grands travaux, car il voulut faire de l’ancienne demeure des rois de France un sanctuaire incomparable, réunissant les trésors dispersés aux quatre coins de l’Empire, et la vitrine artistique de son règne. Modernisé, aménagé, organisé en galerie de toutes les gloires de l’Europe antique et moderne, le palais fit l’objet des soins des plus grands artistes du temps. Le musée devient le prolongement architectural de la spiritualité maçonne du pontife maçon. Charles Percier et Pierre-François Fontaine vont retailler en bon maçon, la ville autour du temple maçonnique napoléonien. Dans son prolongement il débuta l’arc de triomphe de l’Étoile en 1806. Les décorations maçonniques sur les façades du Louvre et la symbolique des portes masquées en arc de triomphe, révèle une seconde volonté plus ésotérique qui lie entre eux différents monuments construits sous sa direction. Surtout si on y adjoint le Parlement entre les deux. Car c’est sous Napoléon que l'on décide de dissimuler la salle des séances ajoutée au Palais-Bourbon pour accueillir le Conseil des Cinq-Cents puis le Corps législatif et répondre symétriquement au Temple de la Gloire maçonnique par un nouveau péristyle. Ainsi tout un ensemble aligné comme un fil à plomb se met progressivement en place dans la capitale et une gigantesque allée processionnelle à la gloire de l’empereur et de ses armées se dessine au cœur de la ville.

A la fin du Premier Empire, le temple et ses symboles associés sont définitivement en place sur trois niveaux, selon les trois grades maçonniques. Le Louvre, le Parlement et le Temple de la Gloire maçonnique, puis pour finir l’Arc de Triomphe de l’Etoile. Pour le Paris du XIXème c’est déjà énorme. Ainsi en partant du Louvre et en passant par les portes subjectives de l’arc de triomphe du Carrousel, datant de 1809, jusqu’à celui de l’Etoile commencé sous son règne, on comprend que symboliquement on passe d’un temple terrestre au ciel, ou des Frères du temple au Grand Architecte. A l’arc de triomphe de l’Etoile on retrouve le nom de Babylone, la porte des dieux, ou le passage pour accéder au divin.


L’arc de triomphe de l’Etoile, ou dit autrement la porte de l’Etoile, que les Babyloniens auraient nommé porte d’Ishtar. Sa construction débute sous Bonaparte, mais sera achevée trente ans plus tard sous Louis Philippe qui érigea également l’obélisque. S'inspirant du style antique, chaque pilier est décoré d'un haut-relief représentant de grandes batailles militaires, qui sont particulièrement misent en valeur chaque 2 décembre, le jour anniversaire où brilla le soleil d’Austerlitz qui se lève encore aujourd’hui dans l’axe de l’Arc de Triomphe. Vu du ciel le pavage dessine d’ailleurs nettement la forme d’un soleil, ce qui accentue bien la volonté symbolique de le présenter comme un symbole solaire.

Sur l’arc de triomphe  de l’Etoile  les symboles se bousculent et comme un mille-feuille se superposent. Comme dans la Rome antique dont l’Empereur Napoléon reprend les symboles à son compte, un decumanus qui est une voie orientée d'est en ouest c’est formé du Louvre à l’Arc de triomphe, renvoyant à l’image de la fondation des cités romaines. Comme si on voulait refonder une nouvelle Rome et sa voie sacrée, cœur de l’Empire. Napoléon Ier, au lendemain de la bataille d'Austerlitz déclare aux soldats français : « Vous ne rentrerez dans vos foyers que sous des arcs de triomphe » et par un décret impérial en date du 18 février 1806 ordonne la construction de cet arc de triomphe consacré à perpétuer le souvenir des victoires des armées françaises. Son projet initial était d'en faire le point de départ d'une avenue triomphale traversant notamment le Louvre et la place de la Bastille. C’est une reconstitution de la Via Sacra qui voyait le défilé du général vainqueur et de ses soldats lors de la célébration de leur triomphe, dont l’arc n’est que le monument qui sert à immortaliser le haut fait militaire et surtout l’empereur victorieux.

Dans l’arc de l’Etoile, le symbole solaire est omniprésent. Jusqu’en 1854, cinq voies seulement rayonnaient de cette place. Napoléon III décida, le 13 août 1854, l’aménagement de la place de l’Etoile dont la direction fut confiée au Baron Haussmann. En 1857, on ouvrit sept autres voies. Douze avenues rayonnèrent dès lors d’une façon rigoureusement géométrique de cette place de 240 mètres de diamètre, convergeant toutes vers l’Arc de triomphe, monument qui est à l’origine du développement de tout le quartier. Entre cette place et cette rue, Hittorf édifia douze hôtels particuliers d’architecture symétrique, aux façades uniformes. Pour tout astrologue la symbolique de cette place est plus que clair : nous avons douze signes zodiacaux qui reconstituent la voûte céleste.


La symbolique solaire se retrouve aussi dans l’œuvre militaire de l’empereur qui se retrouve dans les allégories sculptées sur ses faces. Louis-Philippe reprit la pensée initiale de Napoléon et avec  Adolphe Thiers décide du choix des thèmes et des sculpteurs. Départ des volontaires de l’An II, 1793 groupe dit « La Marseillaise », Paix de Vienne 1810, Résistance de 1814, Paix de 1815. Le déroulement s’échelonne comme une année solaire déclinant ses saisons en commençant par le printemps révolutionnaire, puis un soleil au zénith par le triomphe de 1810 et à la naissance d’une nouvelle dynastie faisant référence à l’Empire romain par la naissance du roi de Rome, puis l’automne de la Résistance de 1814, le soleil y décline c’est le début de la chute avant l’hiver et la paix qui scelle la fin de l’Empire. On pourrait même ajouter que le soleil se couche avec la mort de l’empereur, faisant de l’homme un quasi-dieu antique. Ainsi l’homme éclairé par la mystique maçonnique, devient lumière lui-même et même un soleil quand il accède aux plus hautes sphères du pouvoir. C’est le degré ultime et le plus haut grade maçonnique qu’on exalte ainsi, celui du maître. C’est aussi une manière d’exalter par le rythme des saisons les grandes fêtes solsticiales maçonniques.

L’une des deux fêtes les plus importantes de la Franc-Maçonnerie est la St Jean d’été.  Cette cérémonie se situe au solstice d’été, le 21 juin, le jour le plus long de l’année, l'un des deux moments de l'année pendant lesquels le soleil atteint ses positions les plus méridionales et septentrionales, aux tropiques du Capricorne et du Cancer célestes. L’autre fête, c’est la St Jean d’hiver, au solstice d’hiver, le jour le plus court de l’année. Les francs-maçons fêtent le solstice (de "sol stare" pour marquer l'arrêt du soleil) d'hiver. Une fête païenne qui a été christianisée puisqu'on fête alors la Saint Jean d'hiver. La Saint Jean d'Été est consacrée à Saint Jean Baptiste tandis que la Saint Jean d'Hiver (27 décembre) honore Saint Jean l'Evangéliste dont l'attribut est l'aigle. Pour les Maçons, Saint Jean l'Evangéliste représenterait l'Initié. A noter qu'il fut aussi le saint patron des Templiers et d'autres ordres de chevalerie. Dans certaines Obédiences ou Loges qui utilisent la Bible, le Volume de la Loi Sacrée est ouvert sur le prologue de l'Evangile selon Saint Jean.

Que l’on prenne la vie de Jean Baptiste ou celle de Jean l’évangéliste, tous les deux ont œuvré pour un seul but, la gloire du Christ appelé aussi l’étoile du matin ou le soleil de justice. On comprend immédiatement l’analogie que recherche les francs-maçons, identifier Napoléon à un nouveau messie ou nouveau soleil, l’illuminé, car on nomme les francs-maçons les fils de la Lumière. Dans ce contexte, battre Napoléon uniquement sur le plan militaire aurait été uniquement une victoire terrestre, mais comme le combat était également spirituel, c’est sur ce plan que je vais conclure. Car ce que Dieu va anéantir au travers de l’homme c’est également son image et son symbole.

La chute de l’Aigle

Napoléon a cru s’élever au niveau des plus grands empereurs. Mais cependant son empire comme le Seigneur le décréta ne dura qu’un peu de temps. Car Napoléon était un instrument entre les mains de Dieu pour juger la grande prostituée et remodeler politiquement l’Europe entière. Pour les francs-maçons qui aiment à étudier le symbole, qu’ils méditent sur la chute de leur empereur. L’Empire ne parvint pas à faire chuter l’Angleterre en plein réveil méthodiste et sa maîtrise des mers ne sera jamais contestée. Et c’est encore par elle que le Seigneur va s’imposer sur le continent par un homme qui va symboliser cette victoire sur l’Empire.


Arthur Wellesley duc de Wellington est principalement connu en tant que vainqueur de Napoléon à Waterloo. Il va reconquérir la péninsule ibérique. Promu maréchal, Wellington conduit une nouvelle offensive en 1813, culminant à la bataille de Vitoria, nette victoire britannique qui ramène l'armée impériale en France. Il envahit la France et se heurte au maréchal Soult qui dirige la défense de Toulouse le 10 avril 1814. L'issue de cette bataille marque la fin de la campagne de 1814. Le 11, Napoléon signe le Traité de Fontainebleau, conclu le 6, et est exilé à l’île d’Elbe. Le 26 février 1815, Napoléon quitte son exil à Elbe. Débarque en France le premier mars et le vingt retrouve le contrôle du pays. Il doit alors faire face à la formation à nouveau d'une dernière coalition contre lui. Deux jours plus tard, le 18 juin, Wellington, avec l’appui des forces prussiennes commandées par Gebhard Leberecht von Blücher bat définitivement Napoléon à la bataille de Waterloo. L’Empereur français abdique une nouvelle fois le 22 juin, et est exilé par les Britanniques sur l’île Sainte-Hélène.

Le nom initial du vainqueur de Napoléon est Arthur Wesley… Qui renvoie directement au mouvement de réveil méthodiste anglais de John Wesley. La ruche maçonnique qui symbolise leur temple, vient d’être anéantie par un Esprit supérieur qui Lui construit le véritable Temple du Saint Esprit au travers de l’Epouse du Christ. Le mouvement se poursuivra en Amérique au travers des esclaves noirs qui par leurs prières incessantes briseront définitivement les chaînes de l’esclavage et permettra au puissant mouvement de réveil pentecôtiste de se répandre dans le monde. Ainsi beaucoup de guerres, d’élévations et d’abaissements d’empires, ne sont que le reflet terrestre d’un combat spirituel qui ne se voit pas.

Mais il est un autre aspect des choses qu’il faut aborder, c’est la totale disparité des courants maçonniques qui prévalaient en ce temps-là et qui manifestaient souvent leur antagonisme dans des conflits sanglants. Il y avait des francs-maçons chez les royalistes, les Jacobins ou les Montagnards, qui se détestaient et s’entretuaient sans vergogne, dans un bel élan fraternel n’est-ce pas ?  Mais la même chose existait de part et d’autre de la Manche. Cette dualité saute aux yeux pendant la Guerre d'Espagne, surtout au niveau le plus haut de la hiérarchie militaire, car le général Wellington et Joseph Bonaparte étaient tous deux francs-maçons, mais prendra une dimension supérieure à Waterloo, où le pontife maçon français va affronter une coalition de maçons européens.

La bataille de Waterloo est remarquable dans la profondeur de ses symboles. La bataille de Mont-Saint-Jean (la Saint-Jean est une des plus grandes fêtes maçonnes), dite de Waterloo, voit la fin du Premier Empire et de la grande époque des loges militaires. Les unités commandées par les frères Michel Ney (initié en 1801 à la loge "Saint Jean de Jérusalem" de Nancy, puis membre de la loge militaire "La Candeur", du 6ème Corps de la Grande-Armée), Pierre Cambronne et Emmanuel de Grouchy (loges "L'Héroïsme" à Beauvais et "La Candeur" à Strasbourg) sont vaincues par celles dirigées par les frères Arthur Wellesley de Wellington ("Wellesley Family Lodge n° 494", Trim, Irlande) et Gebhard Leberecht von Blücher (loge "Archimedes", Altenburg). Si la plupart des maréchaux d'Empire étaient maçons, nombre de leurs adversaires l'étaient donc également. Mais la franc-maçonnerie anglaise donnait la primauté aux aspects initiatiques et de bienfaisance, les francs-maçons français mettaient l'accent sur la dimension idéologique, et cette maçonnerie bonapartiste avait à son tour un caractère dual, puisqu'elle était à la fois révolutionnaire dans ses manifestations et impériale par son culte de Napoléon, croyante lors de ses adjurations au Grand Architecte de l'Univers et farouchement critique à l'égard de l'Eglise.

Nous pouvons affirmer que la franc-maçonnerie que Napoléon créa et contrôla n'a jamais été égalée en France, tant par le nombre de Loges que par celui des membres. La franc-maçonnerie bonapartiste a servi aussi bien à la promotion de l'Empire et du culte de l'Empereur qu'à la diffusion des idées de la Révolution. La maçonnerie, écrivent Faucher et Ricker, est devenue le soutien fidèle et dévoué du pouvoir, le lieu de rencontre des notables et des membres de la bonne société. Mais on peut dire, ajoutent-ils, que la journée du 18 juin 1815  à Waterloo qui a vu mourir d'un coup plus de francs-maçons qu'aucune autre, est aussi la fin, non seulement de l'Empire, mais encore de la franc-maçonnerie bonapartiste. Le 22 juin 1815, sera le jour de la  seconde abdication de Napoléon Ier et c'est également le jour du solstice d'été… Ainsi la septième tête de la bête aura tenu que peu de temps, comme le Seigneur l’avait annoncé.

Ainsi que cela soit par le tsar Alexandre 1er qui se tourna vers le méthodisme ou du duc de Wellington Arthur Wesley, qui renvoie directement au nom de John Wesley initiateur du mouvement de réveil méthodiste anglais, on décèle la main de l’Eternel qui en définitive est le seul qui élève et abaisse les rois dans ce monde. L’Histoire nous apprend aussi que les royaumes qui s’imposeront dans le monde après l’épopée napoléonienne, seront au 19ème siècle l’Angleterre méthodiste et au 20ème siècle l’Amérique pentecôtiste. Là où l’Esprit de Dieu se développe est la grandeur et l’élévation au sein des nations. Mais pour ceux qui suivent l’esprit antéchrist de la bête de l’Apocalypse la fin est aussi funeste qu’humiliante, afin que la seule gloire ne revienne en définitive qu’à Jésus-Christ.

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