Les titres de gloire de notre Seigneur Jésus Christ sont
nombreux et variés. Il en est qui sont bien connus, qui nous sont d'un prix
particulier, tels que l'Agneau de Dieu, le Berger, le Rocher des siècles. Il en
est d'autres qui sont moins familiers, tel le titre de Germe.
Ce titre se rencontre cinq fois dans la parole de Dieu. Ce sont les prophètes qui en font mention, soit Esaïe, Jérémie et Zacharie. On a attiré l'attention plus d'une fois sur la correspondance de leurs messages avec ce que les évangiles révèlent de la gloire du Seigneur Jésus.
Esaïe annonce qu' « en ce jour-là, il y aura un germe de l'Eternel pour splendeur et pour gloire... pour les réchappés d'Israël » (4 : 2). C'est Christ qui est appelé le germe de l'Eternel. Sa divinité en fait est déclarée en ces quelques mots, comme elle est présentée dans l'évangile selon Jean, l'évangile du Fils de Dieu.
Jérémie annonce à son tour : « Voici, les jours viennent, dit l'Eternel, et je susciterai à David un Germe juste ; et il régnera en roi » (23 : 5). Et un peu plus loin : « En ce temps-là, je ferai germer à David un Germe de justice... David ne manquera pas d'un homme assis sur le trône de la maison d'Israël » (33 : 15 , 17). N'avons-nous pas là le message de Matthieu qui présente la personne du Roi-Messie ?
Quant à Zacharie, il transmet les paroles de l'Ange de l'Eternel : « Voici, je ferai venir mon serviteur, le Germe » (3 : 8). C'est par l'évangile selon Marc que nous apprenons à connaître Celui qui a été sur cette terre le serviteur parfait.
Zacharie encore parle du Germe en disant : « Voici un homme dont le nom est Germe... il portera la gloire, et il s'assiéra, et dominera sur son trône » (6 : 12). Les activités royales et sacerdotales seront unies dans les jours du millénium en une seule et même personne, et cette personne ne sera personne d'autre que l'Homme Christ Jésus. On sait que c'est dans l'évangile selon Luc que les beautés morales et la perfection de son humanité sont mises en évidence.
Ce titre se rencontre cinq fois dans la parole de Dieu. Ce sont les prophètes qui en font mention, soit Esaïe, Jérémie et Zacharie. On a attiré l'attention plus d'une fois sur la correspondance de leurs messages avec ce que les évangiles révèlent de la gloire du Seigneur Jésus.
Esaïe annonce qu' « en ce jour-là, il y aura un germe de l'Eternel pour splendeur et pour gloire... pour les réchappés d'Israël » (4 : 2). C'est Christ qui est appelé le germe de l'Eternel. Sa divinité en fait est déclarée en ces quelques mots, comme elle est présentée dans l'évangile selon Jean, l'évangile du Fils de Dieu.
Jérémie annonce à son tour : « Voici, les jours viennent, dit l'Eternel, et je susciterai à David un Germe juste ; et il régnera en roi » (23 : 5). Et un peu plus loin : « En ce temps-là, je ferai germer à David un Germe de justice... David ne manquera pas d'un homme assis sur le trône de la maison d'Israël » (33 : 15 , 17). N'avons-nous pas là le message de Matthieu qui présente la personne du Roi-Messie ?
Quant à Zacharie, il transmet les paroles de l'Ange de l'Eternel : « Voici, je ferai venir mon serviteur, le Germe » (3 : 8). C'est par l'évangile selon Marc que nous apprenons à connaître Celui qui a été sur cette terre le serviteur parfait.
Zacharie encore parle du Germe en disant : « Voici un homme dont le nom est Germe... il portera la gloire, et il s'assiéra, et dominera sur son trône » (6 : 12). Les activités royales et sacerdotales seront unies dans les jours du millénium en une seule et même personne, et cette personne ne sera personne d'autre que l'Homme Christ Jésus. On sait que c'est dans l'évangile selon Luc que les beautés morales et la perfection de son humanité sont mises en évidence.
Tel est le tableau de la gloire de Jésus, le Germe, selon le témoignage des
prophètes, corroboré par celui des évangélistes. Mais Christ doit mourir pour
communiquer la vie : «À moins que le grain de blé, tombant en terre, ne
meure, il demeure seul ; mais s’il meurt, il porte beaucoup de fruits» (Jean
12:24). À la croix, s’accomplit la prophétie : « La vérité germera de la
terre, et la justice regardera des cieux» (Ps. 85:11) Alors, Christ se lève en
vie de résurrection, Souverain Sacrificateur pour l’éternité : «Notre
Seigneur a surgi de Juda.... un autre sacrificateur se lève... dans la
puissance d’une vie impérissable» (Héb. 7:14-16)
Bien évidemment, si j’entame ainsi la troisième partie de
mon étude de Shavouot, c’est que lorsqu’on parle de moisson, il faut aussi au
départ penser à la semence. La moisson divine a cette particularité, c’est qu’elle
part d’une semence unique et spirituelle, car fondée sur l’Esprit de Dieu. La
Bible révèle par le biais de la Genèse comment le plan de Dieu se déroule. Au-delà
des grandes images qui nous enseignent, Adam est présenté comme une semence
divine quand Dieu lance à Satan, qu’entre Sa semence et celle du serpent
le Seigneur suscitera une inimitié. Ainsi les fils de Dieu sont une semence
divine, une génération dont l’Eternel est le Père. On comprend qu’à partir d’un
grain unique la terre entière devient le champ de la moisson. Mais ce qui est
issu de la terre comme Adam (le terreux), retourne à la terre si son esprit ne
reste pas attaché à Dieu. Par le premier Adam c’est le principe de la mort qui
est révélé, il faut donc une autre semence, un autre Adam pour révéler le
principe de la vie. Seule cette semence
divine remplie de l’Esprit Saint peut être considérée comme les prémices de la
moisson.
1 Corinthiens 15 : 21 Car, puisque la mort est venue
par un homme, c’est aussi par un homme qu’est venue la résurrection des morts. 22 Et comme tous meurent en Adam, de même aussi
tous revivront en Christ, 23 mais chacun
en son rang. Christ comme prémices, puis ceux qui appartiennent à Christ, lors
de son avènement…
35 Mais quelqu’un dira : Comment les
morts ressuscitent-ils, et avec quel corps reviennent-ils ? 36 Insensé ! ce que tu sèmes ne reprend
point vie, s’il ne meurt. 37 Et ce que
tu sèmes, ce n’est pas le corps qui naîtra ; c’est un simple grain, de blé
peut-être, ou de quelque autre semence ; 38 puis Dieu lui donne un corps comme il lui
plaît, et à chaque semence il donne un corps qui lui est propre. 39 Toute chair n’est pas la même chair ;
mais autre est la chair des hommes, autre celle des quadrupèdes, autre celle
des oiseaux, autre celle des poissons. 40
Il y a aussi des corps célestes et des corps terrestres ; mais
autre est l’éclat des corps célestes, autre celui des corps terrestres. 41 Autre est l’éclat du soleil, autre l’éclat de
la lune, et autre l’éclat des étoiles ; même une étoile diffère en éclat
d’une autre étoile. 42 Ainsi en est-il
de la résurrection des morts. Le corps est semé corruptible ; il
ressuscite incorruptible ; 43 il
est semé méprisable, il ressuscite glorieux ; il est semé infirme, il
ressuscite plein de force ; 44 il
est semé corps animal, il ressuscite corps spirituel. S’il y a un corps animal,
il y a aussi un corps spirituel. 45
C’est pourquoi il est écrit : Le premier homme, Adam, devint une
âme vivante. Le dernier Adam est devenu un esprit vivifiant. 46 Mais ce qui est spirituel n’est pas le
premier, c’est ce qui est animal ; ce qui est spirituel vient ensuite. 47 Le premier homme, tiré de la terre, est
terrestre ; le second homme est du ciel. 48 Tel est le terrestre, tels sont aussi les
terrestres ; et tel est le céleste, tels sont aussi les célestes. 49 Et de même que nous avons porté l’image du
terrestre, nous porterons aussi l’image du céleste.
En Jésus Christ est révélé ce qu’est réellement Adam, un
fils de Dieu né sur la terre mais destiné à régner dans le ciel. C’est le
principe de l’arbre de vie. Une semence terrestre qui croît vers le ciel et
porte les fruits de la vie, les fruits de l’Esprit. Ainsi avec Jésus nous avons
retrouvé Adam et l’Arbre de la vie, mais restauré sans la corruption dans le
jardin d’Eden où la première alliance fut établie entre Dieu et l’homme. Le
Livre entièrement déroulé se referme sur sa première page. L’Apocalypse, c’est
le livre de la Genèse développé dans sa création. C’est le mystère de Shavouot
révélé dans la fête des prémices.
Merci, c'est exactement cela, et c'est exactement ce même message que je reçois depuis 2 jours par le Seigneur, Il est le point de départ de toute chose et donne vie à toute chose. La semence (enfouie dans la terre durant son ensevelissement pendant les 3 jours de Pessah, permet de donner vie à une gerbe, si la graine ne meurt...comme citée plus haut dans votre message. Si à Pessah on offrait à Dieu la gerbe des prémices (l'orge) et à Shavouot Dieu demande une nouvelle offrande (prémices avec la gerbe de blé), c'est que notre point de départ est bien la mort et la résurrection du Seigneur pour arriver à une nouvelle offrande (des vies régénérées par Son Esprit Saint, des disciples nés de nouveau par le souffle de l'Esprit Saint (nouvelle offrande donc agrée par Dieu Lui même). Ce qui me fait revenir à ma question d'il y a 2 jours. La gerbe des prémices de Pessah n'est elle pas offerte en signe de la résurrection du Seigneur comme le confirme aussi votre étude sur les fêtes de l’Éternel où vous écrivez que la fête des prémices se passe le même jour de sa résurrection, tout comme il meurt le soir de Pâque, et est enseveli le er jour des pains sans levains. Afin qu'à la fin du compte de l'Omer, une nouvelle offrande soit présentée par la régénération et la puissance de l'Esprit Saint. C'est un Seigneur vivant qui opère cela, sa mort nous sert de libération, c'est la germe, la semence de vie, mais sa résurrection nous fait naitre de nouveau par l'ESPRIT. Donc le compte de l'Omer ne commence t'il pas de la résurrection du Seigneur à l'envoie de l'Esprit Saint.
RépondreSupprimerSauf si comme vous m'avez répondu les 3 jours de fêtes sont consécutives et que l'Omer commence dès la mise en terre de la semence qui commence sa germination (au sol, puisqu'il est dit qu'il est aussi descendu dans le séjour des morts pour libérer des âmes). Donc, au lendemain de son ensevelissement, au lendemain de la fête des pains sans levain. (Qui correspond aussi au 3 jours, signe de Jonas) Alors il faut revoir l’étude sur la fête des prémices des moissons et sa résurrection. Bien Cordialement, et merci beaucoup pour toutes vos études qui m'ont beaucoup appris. Et pour votre temps de réponse.
RépondreSupprimer"Alors il faut revoir l’étude sur la fête des prémices des moissons et sa résurrection."
RépondreSupprimerPourquoi?
"Donc le compte de l'Omer ne commence t'il pas de la résurrection du Seigneur à l'envoie de l'Esprit Saint. "
Si le Seigneur à voulu faire coïncider les fêtes et les évènements liés à la crucifixion, cela parait logique.
Je vous cite, donc j'aimerai mieux comprendre, vous êtes précis et parlez de jour exacte, donc le Seigneur est ressuscité au lendemain de la fête des pains sans levain, si la Gerbe est offerte à cette date car la fête se fait le jour même de la présentation (V12 à 16). C'est dans ce sens que je parle par rapport à votre étude.
RépondreSupprimerAvez vous une adresse e mail, afin de ne pas indisposer votre blog...merci
Je vous cite :
Les Fêtes de l'Eternel sont au nombre de sept : quatre sont fixées au printemps, et trois à l'automne.
Les quatre fêtes du printemps ont correspondu, au jour exact, à un événement précis de la vie du Seigneur et de l'Eglise :
- Jésus-Christ est mort le jour même de la Fête de la Pâque juive.
- Il a été enseveli le premier jour de la Fête des pains sans levain.
- Il est ressuscité le jour même de la Fête des Prémices.
- L'Esprit-Saint est descendu sur l'Eglise le jour même de la Fête de Pentecôte.
Je comprends mieux le problème.
RépondreSupprimer- Jésus-Christ est mort le jour même de la Fête de la Pâque juive.
- Il a été enseveli le premier jour de la Fête des pains sans levain.
- Il est ressuscité le jour même de la Fête des Prémices.
En fait je progresse par petites touches successives. Comme j’étudie de nombreux sujets différents, cathédrales, franc-maçonnerie, fêtes de l’Eternel, euro, etc ., je peaufine et corrige les erreurs ou approximations au fur et à mesure de mon avancement et compréhension des choses. Il faut corriger ainsi :
- Jésus-Christ est mort et enterré le jour même de la Fête de la Pâque juive.
- Son corps est en terre le jour de la Fête des pains sans levain.
- Il est ressuscité le jour même de la Fête des Prémices.
Il y a un lien de messagerie sur le site.