2012 sera bien l’année de la fin d’un monde, pas comme celui du film éponyme, mais celui qui se rattache aux valeurs chrétiennes. En partant de l’EST vers l’OUEST, comme un jour nouveau qui suit la course du soleil et voit poindre la lumière pour finir dans les ténèbres, cette année annonce un temps nouveau, celui ou tous les hommes de confession majoritairement dites chrétiennes, vont de la Russie orthodoxe en passant par la France catholique et les Etats-Unis protestants, élire leur chef, oindre leur mashiah comme auraient dit les anciens prophètes d’Israël.
Un nouveau tsar en Russie, un roi au palais élyséen et un pontife à la maison blanche, vont par leurs valeurs morales et politiques s’opposer au Roi des rois et Seigneur des seigneurs. Ainsi des pays libres et démocratiques vont se prononcer en leur âme et conscience pour choisir les hommes qui vont avoir une influence énorme sur le destin du monde. Ces choix vont en dire long sur l’état moral et spirituel de ces Nations. Le battage médiatique qui entoure ces élections va également servir à séparer le grain de l’ivraie, et séparer les boucs des brebis qui savent encore reconnaitre leur Maître. Car il est absolument impossible de se prétendre chrétien et élire en même temps des hommes dont le comportement et les actes sont parfaitement antéchrists. Car vous porterez clairement comme une marque au fer rouge sur votre front, la pensée politique que vous soutenez, et sur votre main la marque indélébile du bulletin de vote que vous aurez mis dans l’urne funéraire de votre propre mort spirituelle.
Pas de surprise dimanche à l'issue du premier tour de l'élection présidentielle russe. Le Premier ministre Vladimir Poutine a été élu 64% des suffrages. Après une campagne sans meeting, ni débat, ou les médias d’opposition étaient muselés et sans adversaire crédible. En plus les représentants de certains candidats, des opposants, les organisations d'observation électorale Golos et Ligue des électeurs ainsi que des médias indépendants ont recensé quantité de fraudes, la routine à Poutine en somme.
La première nation à passer de la lumière à la nuit, sera donc la Russie orthodoxe qui joue la parodie de l’élection démocratique, pour remettre sur son trône l’ex tsar de Russie, Vladimir Poutine. Poutine dont le culte de son image a fait office de campagne, expliquant par cela comment un espion se met au service de sa propre majesté. Poutine, encore écolier, rêvait déjà de devenir espion du Kremlin, et se renseigna auprès du KGB - il voulait s'engager sur-le-champ - où on lui conseilla de s'inscrire à la faculté de droit. En 1975, enfin, diplômé de l'université, ce jeune homme de petit taille, costaud et sportif, fut "appelé" par le KGB, parce qu'il était un des meilleurs étudiants. Ainsi intégra-t-il les services de contre-espionnage de sa ville natale où il allait s'occuper tout particulièrement des opposants: la suite de cette histoire est donc bien moins romantique.
Il comprit vite que la fonction d'espion n'était pas un métier comme les autres... De nos jours, le futur chef du Kremlin n'hésite pas à présenter les agents du KGB comme l'élite qui défend les intérêts supérieurs de la Russie. Cependant, ces "gardiens du Temple" ont bel et bien conservé leurs méthodes. Les écoles spéciales des services secrets russes enseignent le sang-froid, l'art de la dissimulation, de la mise en scène, sans oublier le double, voire, le triple langage. Le désir le plus intime du jeune Poutine était de devenir un James Bond repensé à la russe.
Il fut préparé à se rendre à l'étranger et reçut un nom de code, Platov, sans doute en souvenir du célèbre chef de guerre cosaque de l'époque napoléonienne. L'apprenti espion s'initia alors à l'allemand - qu'il parle sans accent -, ainsi qu'à plusieurs dialectes. Puis il fut finalement affecté à Dresde, au cœur du dispositif d'espionnage soviétique qui travaillait en étroite collaboration avec la police politique d'Allemagne de l'Est, la Stasi. Avec la réunification allemande et le démantèlement des installations du KGB en RDA, le lieutenant-colonel Poutine retourne à Léningrad pour y reprendre son service opérationnel dans la Direction locale du KGB sous la couverture du poste du conseiller aux affaires internationales du recteur de l’Université de Léningrad Anatoli Sobtchak (qui a été son professeur à la faculté de Droit). En août 1996 il est nommé à Moscou adjoint au directeur des affaires de la. Pavel Borodine. En mars 1997, il entre dans l’administration présidentielle. En 1999 commence une fulgurante ascension, qui va porter cet homme peu connu et d'apparence plutôt terne au sommet du pouvoir en Russie. En août, il est nommé président du gouvernement par Boris Eltsine, Stepachine ayant été écarté. Devenant de ce fait le second personnage de l'État, la nomination de Poutine par le président russe est vue en Europe comme la désignation du successeur d’Eltsine au Kremlin en la personne de Vladimir Poutine. Le 31 décembre 1999, après la démission surprise de Boris Eltsine, Poutine, en sa qualité de président du gouvernement, devient président par intérim. Vladimir Poutine est officiellement élu président de la Fédération de Russie le 26 mars 2000 dès le premier tour de l'élection présidentielle anticipée avec 52% des suffrages.
Orthodoxe pratiquant, Vladimir Poutine s'est souvent illustré par sa croyance en Dieu. Ainsi, il pose souvent dans des temples orthodoxes, ce qui fait de lui une personnalité politique très respectée dans l'électorat conservateur et religieux. En 2007, Poutine, alors président de la Russie, rend une visite au Vatican, au pape Benoît XVI, dans le but de faciliter un rapprochement entre l'Église orthodoxe russe et l'Église catholique romaine, se posant de cette façon comme un président dont le dialogue des religions est une priorité. La rencontre entre le pape et les hiérarques orthodoxes russes est une étape importante dans le dialogue catholique-orthodoxe. Il avait aussi rencontré Jean-Paul II à deux reprises en 2000 et 2003.
Poutine vit et agit comme un agent secret. Il se fabrique une image favorable que les médias amis relaient, mais dans l’ombre les pratiques de Platov persistent. Anna Politkovskaïa a été assassinée le 7 octobre 2006 à Moscou, jour de l'anniversaire du chef de l'Etat Vladimir Poutine, comme 20 autres journalistes depuis 2000. Sa femme et ses enfants disparaissent des écrans médiatiques. Comptes offshore, prête-noms, contrats bidon... Des témoins révèlent comment le numéro un russe serait devenu immensément riche. http://fr.wikipedia.org/wiki/Anna_Politkovska%C3%AFa
La Russie est un acteur eschatologique majeur, dans le sens où sa position vis-à-vis des juifs favorisera grandement la constitution d’un Etat juif au 20 ème siècle. La première vague de massacres désignés comme pogroms eut lieu entre 1881 et 1884. Alexandre III, qui succède à son père Alexandre II assassiné, met fin à la politique libérale de ce dernier. Conseillé par son ancien précepteur, Konstantin Pobedonostsev, devenu procureur du Saint-Synode, il mène dès son avènement une politique réactionnaire et antisémite. Les Juifs sont rendus responsables de l'assassinat du tsar précédent. La politique du gouvernement au sujet des Juifs tient dans ce programme : « Un tiers des Juifs sera converti, un tiers émigrera, un tiers périra ».
En 1881 éclatent plus de cent pogroms : les principaux sont ceux d'Elisabethgrad le 15 avril 1881, de Kiev le 26 avril, d'Odessa du 3 au 5 mai 1880, de Varsovie, alors possession russe entre décembre 1881 et janvier 1882 et de Balta le 22 mars 1882. Les populations locales chrétiennes, soutenues et souvent incitées par la police du tsar, attaquent les communautés juives de la ville ou du village avec l'approbation des autorités civiles et religieuses. Aux destructions et pillages des biens des Juifs s'ajoutaient les viols et les assassinats. La troupe n'arrive souvent que trois jours après le début du pogrom. Le gouvernement russe utilise les pogroms pour limiter les droits économiques des Juifs et les expulser des villages.
Alors que la Russie traverse une grave crise révolutionnaire, une deuxième vague de pogroms frappe les populations juives entre 1903 et 1906. Les plus importants sont ceux de Kichinev le 6 avril 1903, de Jitomir en mai 1905 et de Bialystok le 1er juillet 1906. À Kichinev, où la presse et les autorités alimentent des rumeurs antisémites depuis plusieurs mois, c'est le meurtre d’un jeune chrétien, Michael Ribalenko, qui met le feu aux poudres. Accusés de crime rituel, les juifs subissent un pogrom de trois jours, le gouverneur ayant donné l'ordre à la police de ne pas intervenir. Après le pogrom d'avril 1903, les Juifs de Kichinev organisent des comités d'autodéfense. Cela n'empêche pas 19 d’entre eux de périr lors de nouvelles attaques les 19 et 20 octobre 1903.
Après la Révolution russe d'octobre 1917, les Juifs de Russie ont continué à être persécutés par les tsaristes et on compte des milliers de victimes de pogroms pendant la guerre civile de 1918 à 1921, en particulier des Juifs d'Ukraine et de Pologne orientale, certains les accusant d'être à l'origine du bolchévisme, donc de la Révolution d'Octobre et parlent alors de judéo-bolchévisme. Des bandes de paysans en lutte contre l'Armée rouge massacrent les Juifs avec l'appui de quelques troupes ukrainiennes. En Russie même, l'Armée blanche de Denikine est à l'origine de plusieurs pogroms dont celui de Fastov le 15 septembre 19195. Pour l'année 1919, les historiens ont recensé 6 000 morts dans les pogroms anti-juifs en Russie.
En tout, la Russie a été pendant cette période le lieu de pogroms majeurs et 349 mineurs, qui auraient fait plus de 60 000 morts. Les pogroms ont une double conséquence : l'émigration massive de 600 000 Juifs au cours des vingt dernières années du XIXe siècle, vers les États-Unis essentiellement, et la création du mouvement sioniste qui favorisera les premières vagues d’immigration en Palestine. Ez 34 : 13 Je les retirerai d’entre les peuples, je les rassemblerai des diverses contrées, et je les ramènerai dans leur pays ; je les ferai paître sur les montagnes d’Israël, le long des ruisseaux, et dans tous les lieux habités du pays. Les premiers immigrants russes construiront les kibboutzim qui seront l’ossature du futur Etat d’Israël.
Les russes poursuivront leur œuvre, en armant les ennemis d’Israël après l’indépendance du pays. Ainsi les guerres successives contre Israël renforceront la cohésion nationale et permettront l’annexion de territoires nouveaux, qui forment aujourd’hui les frontières du pays. C’est donc comme ennemi d’Israël que la Russie se distinguera et subira les pires châtiments qu’une nation puisse imaginer, notamment en ayant des chefs cruels et sans scrupule à sa tête. Eze 36:22 C’est pourquoi dis à la maison d’Israël: Ainsi parle le Seigneur, l’Eternel : Ce n’est pas à cause de vous que j’agis de la sorte, maison d’Israël ; c’est à cause de mon saint nom, que vous avez profané parmi les nations où vous êtes allés. 23 Je sanctifierai mon grand nom, qui a été profané parmi les nations, que vous avez profané au milieu d’elles. Et les nations sauront que je suis l’Eternel, dit le Seigneur, l’Eternel, quand je serai sanctifié par vous sous leurs yeux. 24 Je vous retirerai d’entre les nations, je vous rassemblerai de tous les pays, et je vous ramènerai dans votre pays.
Ezéchiel n’annonce pas seulement le retour des juifs sur leur terre, mais également le jugement des nations qui se seront acharnées contre Ses fils. Ainsi les armées des rois du nord, symbolisés par Gog et Magog seront amenés jusqu’en Israël pour y être détruites. La Russie poursuit donc sa voie antéchrist avec constance, aujourd’hui en armant l’Iran et en lui permettant de développer une industrie nucléaire pour produire l’arme atomique. L’élection de Poutine est donc en soi, un signe eschatologique par la pérennisation de sa politique anti israélienne, dont la fin est aussi clairement annoncée que celle de la restauration d’Israël qu’ils combattent depuis si longtemps.
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