http://schoenelblog2.blogspot.com/ Lettre à l'Epouse 2: L'immaculée Concetion fête une grande victoire

vendredi 9 décembre 2011

L'immaculée Concetion fête une grande victoire

Mt 25:1  Alors le royaume des cieux sera semblable à dix vierges qui, ayant pris leurs lampes, allèrent à la rencontre de l’époux. 1Pi 5:8  Soyez sobres, veillez. Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera.

Si aujourd’hui je fais une recherche sur GOOGLE avec ces mots clés « actualité eschatologique » voici le résultat :


Mon blog est donc placé entre deux types d’Eglises, que la métaphore biblique compare à deux vierges, l’une sage et l’autre folle. Mais une caractéristique commune les relie intimement. A la fin des temps elles dorment toutes les deux.  La première ronronne doucement dans la tiède douceur de ce qui n’est ni froid, ni bouillant, et qui s’apparente à la vomissure du Christ. Ils se réveilleront, mais dans la douleur. Pour les seconds, c’est la folie qui les caractérise, lisez plutôt : « Fixons alors notre regard sur Marie, icône de l'Eglise en pèlerinage dans le désert de l'histoire, mais tendue vers l'objectif glorieux de la Jérusalem céleste où elle resplendira comme Epouse de l'Agneau, le Seigneur Jésus-Christ. Comme la célèbre l'Eglise d'Orient, la Mère de Dieu est l'Odighitria, celle qui "indique le chemin", c'est-à-dire le Christ, unique médiateur pour rencontrer le Père dans la plénitude. Un poète français voit en elle "la créature dans son premier honneur et dans son épanouissement final, comme elle est sortie de Dieu au matin de sa splendeur originelle" » Je vous invite à lire le reste, c’est un morceau d’anthologie : http://www.inxl6.catholique.fr/article1104.php

Depuis que j’ai décidé de commenter l’actualité eschatologique, je suis entré en guerre ouverte contre le diable, la Bête de l’Apocalypse (l’Europe), ses apôtres et son faux prophète (le pape). Mais aujourd’hui je l’ai particulièrement mauvaise, car l’actualité eschatologique est à une intensité maximum et je reste le seul à m’époumoner à souffler dans mon shofar pour avertir et tenter de réveiller  un peuple qui sommeille, alors que l’ennemi investit la ville. Que ce passe-t-il de si grave ?

 A chaque fois que le diable fait quelque chose d’important, il cherche à le marquer de son sceau de manière indélébile. La chose est parfaitement manifeste, quand il s’agit de la Bête de l’Apocalypse. Le choix du drapeau européen qui représente la reine du ciel, fut fait le jour de l’immaculé Conception. Plus tard, la Bête fera entendre sa voix pour la première fois contre Israël toujours le même jour. Et aujourd’hui c’est l’apothéose, le jour de gloire pour Lilith. http://schoenel.unblog.fr/2009/12/08/la-bataille-de-noel-8/

Comme l’a si souvent répété Nicolas Sarkozy, « l’Europe, c’est l’euro », et bien maintenant il l’a fait vraiment. L’Union européenne va se resserrer exclusivement sur la ‘zone euro’.  Les pays de la zone euro ont entamé dans la nuit de jeudi à vendredi une vaste refondation qui, après signature d'un nouveau traité ouvert aux pays n'utilisant pas la monnaie unique, doit les porter vers une plus grande intégration budgétaire. Au terme de leur seizième sommet depuis le début de la crise de la dette fin 2009 et après plus de 10 heures d'intenses tractations, ils se sont entendus sur ce nouveau "pacte", qui repose notamment sur un contrôle plus strict des budgets nationaux, ainsi que sur une réforme limitée du futur mécanisme européen de stabilité, qui sera désormais épaulé par la BCE.

À Marseille, jeudi, le congrès du PPE a servi à camper le décor d'une négociation «de la dernière chance» au sommet européen de Bruxelles, qui s'ouvrait quelques heures plus tard. «Jamais le risque d'explosion n'a été aussi grand, a lancé Sarkozy dans son discours. L'euro n'inspire pas confiance (…) l'Europe inquiète au lieu de rassurer.» Le chef de l'État a ouvert ce congrès des partis européens de droite, en fixant un ultimatum: «Si vendredi nous n'avons pas un accord, nous n'aurons pas de seconde chance», a-t-il lancé devant les députés européens présents. «Il faut décider tout de suite. Plus nous tarderons à prendre cette décision, plus elle sera coûteuse, moins elle sera efficace (…) le temps travaille contre nous», a insisté le chef de l'État. Sarkozy dans son ton théâtral habituel, prépare le terrain.

Jeudi à Bruxelles : "C'est un sommet qui fera date", a déclaré Nicolas Sarkozy lors d'une conférence de presse qui a débuté peu après 5h00. "Nous aurions préféré une réforme des traités à 27, cela n'a pas été possible compte tenu de la position de nos amis britanniques (...) Ce sera donc un traité intergouvernemental à 17, ouvert à ceux qui voudront le rejoindre", a-t-il ajouté. La Grande-Bretagne a d'ores et déjà annoncé ne pas vouloir signer ce traité. Les dirigeants suédois, tchèques et hongrois veulent consulter leur parlement et réservent leur réponse, est-il indiqué dans les conclusions du sommet. Les institutions actuelles de l'Union européenne pourront être utilisées dans ce nouveau traité, qui sera rédigé d'ici mars et ne devra pas obligatoirement faire l'objet d'un référendum dans les pays qui le signeront, selon le texte.

Les Britanniques "n'étaient déjà pas dans l'euro, et donc nous avons l'habitude de cette situation", a commenté vendredi matin la chancelière allemande Angela Merkel, se disant malgré tout "très satisfaite du résultat" "car il n'était pas question de faire des compromis insuffisants et nous y sommes parvenus". "Le monde entier va pouvoir constater que nous avons appris de nos erreurs passées", a-t-elle ajouté. "Ce n'est pas l'Europe qui est divisée mais les Britanniques qui sont en-dehors du processus de décision. L'Europe est unie", a insisté vendredi matin la présidente lituanienne Dalia Grybauskaite à son arrivée pour la deuxième journée de ce sommet marathon.

Le président français a en outre indiqué que «sous dix-huit jours», un renforcement à hauteur de 200 milliards d'euros pour le FMI serait étudié et que la BCE serait désormais chargée de gérer le FESF et le futur Mécanisme européen de stabilité (MES). Les discussions qui vont se poursuivre aujourd'hui concerneront un traité à 17, ouvert aux Etats qui n'utilisent pas la monnaie commune. Selon le chef de l'Etat, seuls la Hongrie et le Royaume-Uni resteraient en dehors. Les parlements tchèque et suédois doivent, de leur côté, être consultés. En revanche, "le FMI va participer" aux "efforts" de la zone euro, a promis sa directrice générale Christine Lagarde. Nous sommes donc toujours parfaitement en phase avec le plan de Bâle, soit une gouvernance mondiale monétaire, dont l’axe principale sera à terme, la BRI, le FMI et la BCE, ce trio visant à imposer l’euro à l’effigie de Lilith à la place du dollar comme monnaie d’échange internationale.

La chancelière allemande, Angela Merkel, et NicolasSarkozy ont envoyé hier une lettre au président du Conseil européen, Herman VanRompuy, dans laquelle ils ‘proposent’ (imposent) de « construire une Union pour la stabilité et la croissance durable ». Avec un « U » majuscule. C’est bien une nouvelle institution, une Union dans l’Union européenne (UE) que promeuvent les deux dirigeants. Elle veillera à l’application zélée de l’austérité. Elle passera, comme le demandait le gouvernement de Berlin, par un changement des traités européens. Tous les acquis sociaux vont passer à la moulinette, afin de produire une pression financière maximum sur des ménages européens de plus en plus contraints à recourir à l’endettement et qui devront de force se soumettre au dictat de la nouvelle Union liée à l’euro.

Et maintenant vous gouterez au fouet de Lilith

Malgré la crise, il n’est pas question de changer de cap. Outre les règles budgétaires, cette « Union pour la stabilité et la croissance » aura pour tâche de faire respecter les politiques de longue date de l’UE. Elle vise à faire du neuf avec du vieux. Cette Union veillera à ce que « soient détectées et corrigées les politiques économiques et budgétaires qui ne sont pas saines », c’est-à-dire celles qui s’écartent de la « nouvelle procédure en cas de déséquilibres macroéconomiques », la stratégie UE 2020, le pacte euro plus, la conception actuelle des fonds structurels et de cohésion. En sus, le traité devrait permettre un « cadre juridique commun » sur des domaines tels que la régulation financière, l’harmonisation fiscale et le marché du travail. Or, sur ce dernier point, l’UE n’a eu d’autre politique que de promouvoir la précarité et l’austérité pour le plus grand nombre.

Si les pays non membres de la zone euro devaient ne pas accepter une modification des traités, les « États dont la monnaie est l’euro devront aller de l’avant » et s’organiseront à dix-sept. L’Europe exclusivement inféodée à la marque de la Bête se tient désormais droite sur ses pattes pour affronter le monde et le vaincre…

1 commentaire:

  1. On est seul que quand on garde les œillères sur les yeux.
    Pour l'instant, "le mouvement pour la vérité" se montre comme une réponse adaptée aux avancées du "diable" avec :
    - 911NWO.INFO par exemple.
    - liesidotorg.wordpress.com aussi.

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