De temps en temps je rafraichis la mémoire spirituelle de
l’Epouse du Christ pour lui rappeler que la base de ses réflexions doit être
spirituelle et non terrestre. Il est beaucoup question de la crise européenne
de la dette en ce moment et du sauvetage de la zone euro. D’un point de vue
spirituel, l’euro devrait être considéré comme un artéfact spirituel ou la projection
visible d’une domination spirituelle maléfique. Dans le cas de l’euro il ne s’agit
pas d’une représentation de Mammon comme simple représentation de l’argent en
général, mais plutôt, comme aime à nous le rappeler tellement nos politiciens
éclairés par leur porteur de lumière, Lucifer, une idée de l’Europe comme
concept politique. Car de plus en plus on nous répète que ce fut une erreur de
mettre en place la monnaie sans prévoir une fédéralisation des pays de la zone.
Toute les négociations actuelles concernant le pacte budgétaire européen, n’a
qu’un but, donner à la Bête de l’Apocalypse, une tête unique, un chef, un
messie en hébreu, qui dirige politiquement la zone. Les différences culturelles
empêchant les rapprochements, le diable les contraint désormais financièrement
en les enfonçant dans des dettes impayables à se fédérer autour de lui.
La Banque centrale européenne (BCE) résiste. Ni la menace
de sortie de la Grèce de la zone euro, ni les risques de contagion aux autres
Etats membres ne l'ont encore convaincue d'intervenir. La voix la plus audible
jusqu'ici a été celle de Jean-Claude Trichet, l'ancien président de
l'institution, qui a plaidé pour un « fédéralisme d'exception » lors
d'un discours à Washington. En clair, selon lui, lorsqu'un Etat membre menace
de faire faillite, l'Union européenne doit prendre le contrôle de ses finances
publiques. La position officielle de la BCE, elle, se résume à « préférer »
que la Grèce reste dans l'euro. L'heure est néanmoins à fourbir les boucliers.
La BCE devient par la force des choses le ‘sauveur’ en dernier recours.
Il est évident que le mode de consommation occidental et
son modèle économique basée sur une croissance sans fin sont le vrai problème
actuel, mais il n’en est jamais fait mention. Toute une génération a vécu
au-dessus de ses moyens, accumulant une montagne de dette qui nous écrase
désormais. Mais ni un changement du modèle de consommation ou celui du
financement de la dette est envisagé. Car il serait possible de produire
durablement ou de financer les Etats directement par la banque centrale avec un
taux 0, donc sans intérêts, mais alors il deviendrait difficile pour Satan de
réduire en esclavage sa civilisation corrompue par l’argent.
On impose donc un modèle économique et une monnaie qui
sont le reflet du Maître, Baal et de son corps, la monnaie. Car dans l’antiquité
l’or était considéré comme le corps des dieux et la monnaie qu’on en tirait, l’expression
de leur autorité. Les premières pièces furent frappées dans des temples et les
idoles qui y étaient représentées gardaient le trésor des royaumes à l’abri de
leurs regards. Ainsi quand le besoin s’en faisait sentir, on puisait dans le
trésor du temple l’or nécessaire pour financer une guerre, des travaux ou un
tribut. Ce principe valait à Jérusalem du temps de Jésus, où les pharisiens et
les saducéens se disputaient l’autorité sur le temple justement à cause de l’immense
profit qu’ils en tiraient. On connait la suite de l’histoire…
Pour que l’Europe connaisse à nouveau la croissance
économique, Messieurs Attali et Lamy proposent les projects bonds. On parle là
d’investir plus de 1000 milliards d’euros. Comment sera financé cet énorme
gâteau, qui aiguisera les appétits des lobbyistes et des corrupteurs ? Il
le sera par de l’endettement ! Oui, nous allons financer la « relance
de l’économie » par de la dette, la source du problème. Mais pour que cela
fonctionne, il faudra fédérer les ressources et les dépenses futurs, afin qu’une
administration commune gère toute la zone et les budgets des Etats, pour éviter
les dérives à la grecque. Un "eurobond" ou
"euro-obligation" unifierait le principe de l’endettement et celui de
l’autorité de tutelle satanique sur toute la zone euro. Le nouveau Président de
la Banque Centrale européenne, Mario Dragon, pardon Draghi, c’est la même chose en italien, va donc mettre
en place le plan décidé par son maitre à la BRI. La marque de la Bête sera donc
bien appliquée au fer rouge sur toutes les mains européennes. Mais qu’est-ce
que l’euro ?
Comment faire reposer la gouvernance d’un continent
entier, peuplé de 400 millions d’individus, sur la couronne d’une seule
reine ? En substance la reine mentionnée ici est, la reine du ciel et mère
de Dieu, Vierge immaculé représentant le corps mystique de l’Eglise. Tout
un édifice communautaire complexe, d’airain et d’argile, scellant des alliances
fragiles repose sur une base aussi étroite qu’une simple pièce de monnaie
frappée du sceau de la reine du ciel, symbole de son autorité suprême.
Je voulais reprendre un ancien article écrit sur mon
premier blog, mais bizarrement l’article sur les pièces en euro a disparu, je
vais donc réactualiser les connaissances sur ces choses cachées, car j’aime
bien que la lumière brille dans les
ténèbres, moi. On va donc commencer par le drapeau européen, les pièces en euro puis
les billets. Comme toutes les pièces européennes sont frappées du symbole des
douze étoiles mariales, il convient de revenir à l’idée de base qui a motivé ce
choix.
Le drapeau européen
Sans avoir besoin de lancer un sondage, il est probable
que bien peu de citoyens appartenant à l'U.E. (anciennement la C.E.E.)
connaissent l'historique du choix du drapeau Européen et la nature de
l'inspiration de son auteur, un strasbourgeois, Arsène HEITZ,
travaillant au service du courrier du Conseil de l'Europe, qui à lui seul a
conçu une vingtaine de projets sur les 101 présentés entre 1950 et 1955! « C'est
à moi qu'on a demandé de dessiner le Drapeau de l'Europe. J'ai eu subitement
l'idée d'y mettre les douze étoiles de la Médaille Miraculeuse de la rue du Bac,
sur fond bleu, couleur de la Sainte Vierge. Et mon projet fut adopté à
l'unanimité, le 8 décembre 1955, fête de l'Immaculée Conception. »
Ces aveux, du créateur même du drapeau européen, ne
peuvent que conforter une signification qui n’est ni d'inspiration maçonnique, ni ésotérique, ni
technocratique, mais bel est bien inspirée par l'église catholique romaine. Les
douze étoiles ne correspondaient pas, à ce moment-là, au nombre des nations. Le
Parlement Européen était «conçu pour» douze nations, mais le drapeau de
l'Europe est le drapeau du « Conseil de l'Europe », et ce Conseil n'a jamais
comporté douze nations : il en a comporté successivement six, neuf, puis
quinze... et actuellement bien plus. Les
discussions, réunions, commissions et sous-commissions furent innombrables,
pendant plus de cinq ans, de 1949 à 1955. Finalement, c'est le 8 décembre 1955
que le dessin de M. Heitz fut retenu... à l'unanimité !
En effet, les douze étoiles n'ont rien à voir avec le
nombre des nations tel qu'on a pu le croire à une époque mais fait directement
référence aux douze étoiles de " la médaille miraculeuse de Notre Dame
" de la rue du Bac à Paris.
Evidemment, il fallait éviter d'évoquer la signification religieuse des douze étoiles et du fond bleu, en vertu de la sacro-sainte laïcité. En 1950, c'était M. Paul M.G Lévy qui était le premier Directeur au Service de Presse du Conseil de l'Europe. C'est donc lui qui fut chargé de faire aboutir le projet de Drapeau. Cet homme très cultivé ne savait pas dessiner. Mais il connaissait M. Arsène Heitz, homme très simple, employé au service du courrier, mais très artiste pour peindre et dessiner. Tous deux étaient de bons catholiques. M. Paul M.G. Lévy avait une réunion de 3 jours, fixée aux 7, 8 et 9 décembre, pour faire adopter tout un ensemble de projets. Tous les documents sont datés du 9 décembre, puisqu'on signe l'ensemble à la fin de la réunion. Mais tout alla si vite et si bien que cette assemblée termina son travail le 8 décembre, jour où furent apposées les signatures particulières. Et en sortant de la salle, le gendre de Paul Claudel poussa du coude M. Lévy en murmurant: «Mais c'est aujourd'hui la fête de la fête de L'immaculée Conception! » Et tous deux ont retrouvé sans le vouloir le fameux introït du 15 août : « Un signe grandiose est apparu dans le ciel, une femme revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et sur sa tête une couronne de 12 étoiles. » (Apocalypse XII, 1). Arsène Heitz, lui, homme simple, parlait des 12 étoiles de la Médaille Miraculeuse. M. Lévy, professeur d'économie politique, parlait du chapitre 12 de l'Apocalypse.
Le drapeau a été officiellement présenté au public le 13
Décembre 1955...
Le 13 Décembre, à (6 + 6 + 6) ou 18 jours de la fin de l'année, est la fête de Sainte Lucie, Lucie signifie "lumière" en latin. Sainte Lucie fut fêtée dès le Moyen Age en Scandinavie, sur sa tête repose une couronne de bougies allumées (elle porte des lumières), ce qui lui laissait les mains libres pour transporter mets et boissons et éclairer son chemin la nuit (là encore en portant une torche, elle porte la lumière).
Le 13 Décembre, à (6 + 6 + 6) ou 18 jours de la fin de l'année, est la fête de Sainte Lucie, Lucie signifie "lumière" en latin. Sainte Lucie fut fêtée dès le Moyen Age en Scandinavie, sur sa tête repose une couronne de bougies allumées (elle porte des lumières), ce qui lui laissait les mains libres pour transporter mets et boissons et éclairer son chemin la nuit (là encore en portant une torche, elle porte la lumière).
Les apparitions de la vierge, rue du
Bac.
Les fameuses étoiles européennes sont donc la
reproduction de celles figurant sur la médaille miraculeuse de Notre-Dame,
emblème de la chapelle du Sacré-Cœur de Jésus construite en 1815. Ici, au 140,
rue du Bac (Paris-7e), Catherine Labouré, une fille de paysans de 23 ans entrée
dans les ordres, aurait par trois fois vu la Sainte Vierge en 1830.
Marie lui aurait demandé de faire réaliser une médaille la représentant entourée
des douze étoiles citées dans l’Apocalypse. Catherine Labouré aperçoit le 27
novembre 1830 une apparition de la Vierge, debout, les pieds posés sur un globe
terrestre, où s'agite un serpent de couleur verdâtre. La Vierge avait le pied
posé sur le serpent. Elle dit : "Cette boule représente le monde entier,
la France, chaque personne en particulier."
La Vierge tenait entre ses mains un globe plus petit surmonté d'une croix d'or. Tout à coup les doigts de ses mains se remplissent d'anneaux porteurs de diamants qui jettent des rayons de lumière de tous côtés.
La Vierge tenait entre ses mains un globe plus petit surmonté d'une croix d'or. Tout à coup les doigts de ses mains se remplissent d'anneaux porteurs de diamants qui jettent des rayons de lumière de tous côtés.
Le contexte historique de la médaille
de la Rue du Bac.
Les apparitions de la Vierge s’inscrivirent dans un
contexte bien particulier, qui s’apparente plus à une reprise en main directe
par le prince de ce monde qui voit la domination sans partage, pendant plus
mille ans, de "son" église être battu en brèche spirituellement,
d’abord par la réforme protestante, puis au XVIII siècle par le réveil
méthodiste de John Wesley. Auxquels il faut rajouter les évènements
révolutionnaires français du début du XVIII siècle qui jetèrent l’Europe dans
un grand chaos. En France on assiste à la destruction des cathédrales, des
églises et des couvents. Partout, écrit Châteaubriand, on peut apercevoir les
ruines des églises et des couvents; les hommes, d’une certaine manière, se
divertissaient à se promener sur de telles ruines. Tout l’épiscopat, ajoute
Montalembert, se trouve en persécution, les prêtres sont envoyés à la
guillotine ou exilés.
Les révolutionnaires cherchent à convaincre les hommes que la religion est une folie, une erreur, qui se base sur l’ignorance et sur la superstition. La vague révolutionnaire alla jusqu’à chasser le pape de la ville éternelle, siège séculaire du vicaire de Rome. Le 24 novembre 1848, portant le "Saint Sacrement" sur son cœur, Pie IX fuyait de Rome pour sauver sa vie dans l’exil et ne pas priver l’église de son chef. A Rome la révolution chantait victoire : on proclama la république, le gouvernement fut confié à un triumvirat. “Le peuple est l’unique maître”, hurlait la foule devenue féroce.
Les révolutionnaires cherchent à convaincre les hommes que la religion est une folie, une erreur, qui se base sur l’ignorance et sur la superstition. La vague révolutionnaire alla jusqu’à chasser le pape de la ville éternelle, siège séculaire du vicaire de Rome. Le 24 novembre 1848, portant le "Saint Sacrement" sur son cœur, Pie IX fuyait de Rome pour sauver sa vie dans l’exil et ne pas priver l’église de son chef. A Rome la révolution chantait victoire : on proclama la république, le gouvernement fut confié à un triumvirat. “Le peuple est l’unique maître”, hurlait la foule devenue féroce.
C’est dans ce contexte catastrophique que "Marie" apparut plusieurs fois au XVIII siècle afin de sauver "son" église, il y a urgence car l’église catholique romaine est en passe de s’effondrer.
Tandis que le pape exilé observait de la forteresse de
Gaète cette terrible situation, le cardinal Lambruschini se présenta à lui en
disant : «Saint Père, Votre sainteté n’assainira de nouveau le monde qu’en
déclarant l’immaculée conception de Marie comme dogme de foi.
Le 2 février 1849, de Gaète il adresse aux évêques catholiques la lettre
encyclique «Ubi Primum», dans laquelle il ordonne que partout on élève de
ferventes prières et que l’on prépare ce qui est nécessaire pour la solennelle
définition de "l’Immaculée Conception de Marie". Plus de 500 évêques,
cardinaux, patriarches répondirent au Saint Père qu’ils attendaient avec
anxiété le jour de la définition dogmatique de l’Immaculée Conception.
L’épiscopat répondit : «Parle, oh! Pierre, par la bouche de Dieu, et nous
écouterons humblement». Où est le pape là est l’Eglise et la forteresse de
Gaète devint une nouvelle Rome chrétienne. Des millions de cœurs s’unirent en
prière et s’adressèrent à l’immaculée conception pour sauver le Pape exilé,
pour anéantir les phalanges des ennemis de l’Église.
Le 12 avril 1850 Pie IX retourna à Rome. Aux salves s’unissait la jubilation de la population qui criait ses vivats. Le Capitole, la Coupole de Saint Pierre et toute la ville était en liesse. Ce changement subit Pie IX l’attribua à celle qu’il avait appelée en aide dans la forteresse de Gaète; et se convainquit que le dogme de l’immaculée conception était ce remède que Dieu avait ordonné pour notre époque. Et finalement le 8 décembre 1854, en présence de 200 évêques, Pie IX lui-même dans la basilique Saint-Pierre posait sur le chef de Marie la couronne sans tache, définissait le dogme catholique de l’immaculée conception. Le règne du Christ Roi s'acheva et commença celui de la "Reine du Ciel".
On ignore souvent que les apparitions de la Chapelle de
la Rue du Bac ont préparé également les 18 (3 X 6) apparitions de Lourdes en
1858. "La dame de la grotte m'est apparue telle qu'elle est
représentée sur la médaille miraculeuse" en disant « je
suis l’Immaculée Conception » a déclaré Bernadette qui portait sur elle la
médaille de la Rue du Bac. Un immense mouvement de foi maritale s’en suivit en
France.
Le 8 décembre 1854 prépara le 18
juillet 1870. Après le dogme de l’Immaculée Conception, devait
venir le dogme de l’infaillibilité du pape. Et
ainsi l’immaculée conception anéantit l’hérésie de ceux qui ne reconnaissent
pas une telle infaillibilité, elle fit en sorte que le prisonnier du Vatican
devint le centre autour duquel gravitât le monde; et il fut le promoteur
principal du renouveau catholique. Le maître reprit fermement les rênes des
destinées humaines en Europe avec tant d’autorité qu’il poussa son audace
jusqu’à en imprimer sa marque sur l’étendard européen.
Il est évident que c’est la "Vierge Marie" qui sauva du naufrage l’église catholique romaine au XVIII siècle, sans elle aucun renouveau spirituel catholique n’eut été possible.
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