Plus l’engeance socialo-maçonnique s’agite dans ses mensonges et plus elle s’enfonce dans la contestation sociale. La manière dont ce gouvernement manipule les opinions vire au grotesque. Aujourd’hui tout ne serait plus selon Najat Vallaud-Belkacem que rumeurs, peurs, fantasmes, hystérisation, etc. Mais plus ils en rajoutent et plus se multiplie à la vitesse grand V sur la toile les preuves du contraire. Il n’y a plus que la presse papier qui ne survit plus que grâce aux subventions de l’Etat qui essaie de relayer les mensonges gouvernementaux. Mais face à la désinformation continue et une propagande digne de la Pravda, le divorce avec les politiques et les médias est clairement acté, les manifestations en continu en témoignent. Face à l’artillerie lourde des moyens médiatiques et étatiques, des individus souvent seul et sans moyen réussissent à fédérer autour d’eux des millions de personnes écœurées par le spectacle politique. Ce qui est encore plus remarquable c’est que c’est souvent des femmes qui mènent ces combats, Frigide Barjot, Christine Boutin et maintenant Farida Belghoul qui devient la contremarque de Belkacen. Il est également intéressant d’observer la manière dont par le discrédit on cherche à démolir les personnes plus que leurs arguments, Eric Zemmour le démontre largement en lisant l’article de ce blog et surtout les commentaires qui le suivent. La suite de la polémique dans la video qui suit: http://www.itele.fr/magazines/ca-se-dispute-zemmour-domenach/theorie-du-genre-info-ou-intox-14-71875
En attendant la bête immonde de l’Union européenne vient de voter une de ces lois (rumeur et fantasme bien réels) antéchrist dont elle sait si bien travestir l’idéologie satanique en avancée sociétale et progrès des libertés. Dimanche 2 février, dans les cortèges de la Manif pour tous contre l'ouverture du mariage aux personnes de même sexe, beaucoup s'inquiétaient d'un texte qui vient d'être voté au Parlement européen, mardi 4 février : le « rapport Lunacek », initiative de la députée autrichienne écologiste Ulrike Lunacek, qui propose une « feuille de route » contre l'homophobie et les discriminations liées à l'orientation sexuelle. Le document a été adopté par 394 voix pour et 176 voix contre et 72 abstentions. Les opposants au mariage homosexuel dénoncent un texte élaboré par le « lobby LGBT » avec pour objectif d'imposer l'agenda gay aux législations des vingt-huit Etats membres. Dans ce document, il est suggéré que le choix devrait être donné en matière de procréation aux personnes LGBT sans discrimination, que les cours d'éducation sexuelle doivent apporter "un regard favorable sur les personnes LGBT", que les hôpitaux disposent de service ad hoc pour prendre en charge les opérations de changement de sexe, que le droit familial des états membres prévoit "la possibilité que les enfants aient plus de deux parents", ou encore que "les autorités locales ou régionales" facilitent "l'organisation d'événements tels que les défilés de type Gay Pride".
Le côté positif des mouvements de révolte contre le gouvernement socialiste, c’est que l’on comprend de mieux en mieux le rôle primordial qu’il veut faire jouer à l’Education Nationale pour rééduquer la nation. L’immigration massive, la marche forcée vers l’Union, la laïcité, le féminisme, le mariage homosexuel ou aujourd’hui la théorie des genres. Tout ce qui peut caractériser un individu et développer en lui une spécificité particulière doit être gommé pour le fondre dans un moule commun qui formaterait la norme de l’homme moderne. Ni riche ni pauvre, ni blanc ni noir, ni français ni allemand, ni homme ni femme, ni catholique ni musulman, ni de droite ni de gauche, etc. Un être gris acculturé, irréligieux et amoral, rêvant de la réussite sociale comme étant aboutie dans un métier de fonctionnaire pris en charge de la naissance à la mort par l’Etat qui l’aurait généré comme une matrice sociétale. Un rêve Orwellien qui prendrait corps à l’image de l’Eglise de Laodicée qui n’est ni froide ni bouillante.
Cet univers de cauchemar fonctionnerait si l’économie le lui permettait, ce qui n’est plus le cas. La longue période de croissance des 30 glorieuses permises par la reconstruction, suivies des 30 piteuses permises par le surendettement, touche à sa fin. Ce qui signifie que l’Etat ne peut plus tout et doit revoir ses priorités face à ses finances qui se réduisent comme peau de chagrin. Du coup le rêve socialo-maçonnique d’une société orwellienne vole en éclat. Comme on ne peut plus acheter la paix sociale, les différences refont surface, balayant des décennies « d’avancées » sociales. On retrouve alors les valeurs de la famille et de la religion qui remplacent le mythe de l’Etat providence et ses libéralités.
Face à un Etat qui inspire désormais le dégoût, la nation se cherche de nouveaux repères, comme le pape pour le côté moral ou Marine le Pen comme égérie antisystème. Ce qui signifie que les vrais problèmes pour la véritable Epouse du Christ sont encore à venir. Car le délire socialo-maçonnique mourra probablement aux prochaines élections et c’est là et seulement là, que les choses véritablement sérieuses vont commencer.
La bataille sociétale en cours pour l’éducation et la famille nous renvoie donc directement aux fondements de l’enseignement biblique. Le plus grand commandement dans les Ecritures est : « Tu dois aimer le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta force. » (Deutéronome 6:5). En revenant au verset 2 on peut lire : « Vous apprendrez ainsi, tout au long de votre existence, à respecter le Seigneur votre Dieu et à obéir aux lois et aux commandements que je vous ai communiqués, pour vous et pour vos descendants, afin que vous jouissiez d'une longue vie. ». Les versets d’après : « Les commandements que je te communique aujourd'hui demeureront gravés dans ton cœur. Tu les enseigneras à tes enfants ; tu en parleras quand tu seras assis chez toi ou quand tu marcheras le long d'une route, quand tu te coucheras ou quand tu te lèveras. » (versets 6-7).
L’histoire hébraïque nous montre que le père devait instruire ces enfants avec diligence dans les voies et les paroles du Seigneur pour leur propre développement et bien-être spirituel. Le père obéissant aux commandements des Ecritures fait justement cela. Le point essentiel de ce passage est que les enfants soient élevés dans « l’éducation et la discipline du Seigneur » : telle est la responsabilité d’un père dans son foyer. Ce qui nous amène au passage du livre des Proverbes, 22:6-11, principalement au verset 6 qui dit ceci : « Instruis l'enfant selon la voie qu'il doit suivre ; et quand il sera vieux, il ne s'en détournera pas. ». L’instruction indique la première éducation qu’un père et une mère donnent dès la jeune l’enfance. Cette éducation doit ouvrir l’enfant à une conduite de vie qui lui est destinée. Initier l’éducation d’un enfant de cette manière est de toute importance, à l’image de l’arbre qui continue à pousser selon son inclinaison initiale.
La Bible est donc claire. Le père comme représentant de l’autorité familiale a le devoir d’enseigner sa famille dans le principe de la crainte de l’Eternel. Le shabbat fut donné pour cela et tout le décalogue s’articule autour de lui. Il ne s’agit pas de reproduire la tradition juive avec des reprises de la parasha qui ne font qu’entretenir une tradition. Mais rendre au shabbat tout son sens selon la fondation établie par le Christ puis les apôtres. Dans ce shabbat le Seigneur est convié à la table familiale pour y répandre Son Esprit et sa Parole. Le père redevient le chef familial et peut prodiguer un enseignement inspiré par la nécessité du moment et pour chacun des membres de la famille. Ceci oblige les hommes à entrer dans leur rôle spirituel sans le déléguer par facilité à un pasteur ou un groupe. C’est la meilleure réponse qu’une famille chrétienne puisse donner face aux désordres actuels dans l’Eglise et notre société.
En attendant la bête immonde de l’Union européenne vient de voter une de ces lois (rumeur et fantasme bien réels) antéchrist dont elle sait si bien travestir l’idéologie satanique en avancée sociétale et progrès des libertés. Dimanche 2 février, dans les cortèges de la Manif pour tous contre l'ouverture du mariage aux personnes de même sexe, beaucoup s'inquiétaient d'un texte qui vient d'être voté au Parlement européen, mardi 4 février : le « rapport Lunacek », initiative de la députée autrichienne écologiste Ulrike Lunacek, qui propose une « feuille de route » contre l'homophobie et les discriminations liées à l'orientation sexuelle. Le document a été adopté par 394 voix pour et 176 voix contre et 72 abstentions. Les opposants au mariage homosexuel dénoncent un texte élaboré par le « lobby LGBT » avec pour objectif d'imposer l'agenda gay aux législations des vingt-huit Etats membres. Dans ce document, il est suggéré que le choix devrait être donné en matière de procréation aux personnes LGBT sans discrimination, que les cours d'éducation sexuelle doivent apporter "un regard favorable sur les personnes LGBT", que les hôpitaux disposent de service ad hoc pour prendre en charge les opérations de changement de sexe, que le droit familial des états membres prévoit "la possibilité que les enfants aient plus de deux parents", ou encore que "les autorités locales ou régionales" facilitent "l'organisation d'événements tels que les défilés de type Gay Pride".
Le côté positif des mouvements de révolte contre le gouvernement socialiste, c’est que l’on comprend de mieux en mieux le rôle primordial qu’il veut faire jouer à l’Education Nationale pour rééduquer la nation. L’immigration massive, la marche forcée vers l’Union, la laïcité, le féminisme, le mariage homosexuel ou aujourd’hui la théorie des genres. Tout ce qui peut caractériser un individu et développer en lui une spécificité particulière doit être gommé pour le fondre dans un moule commun qui formaterait la norme de l’homme moderne. Ni riche ni pauvre, ni blanc ni noir, ni français ni allemand, ni homme ni femme, ni catholique ni musulman, ni de droite ni de gauche, etc. Un être gris acculturé, irréligieux et amoral, rêvant de la réussite sociale comme étant aboutie dans un métier de fonctionnaire pris en charge de la naissance à la mort par l’Etat qui l’aurait généré comme une matrice sociétale. Un rêve Orwellien qui prendrait corps à l’image de l’Eglise de Laodicée qui n’est ni froide ni bouillante.
Cet univers de cauchemar fonctionnerait si l’économie le lui permettait, ce qui n’est plus le cas. La longue période de croissance des 30 glorieuses permises par la reconstruction, suivies des 30 piteuses permises par le surendettement, touche à sa fin. Ce qui signifie que l’Etat ne peut plus tout et doit revoir ses priorités face à ses finances qui se réduisent comme peau de chagrin. Du coup le rêve socialo-maçonnique d’une société orwellienne vole en éclat. Comme on ne peut plus acheter la paix sociale, les différences refont surface, balayant des décennies « d’avancées » sociales. On retrouve alors les valeurs de la famille et de la religion qui remplacent le mythe de l’Etat providence et ses libéralités.
Face à un Etat qui inspire désormais le dégoût, la nation se cherche de nouveaux repères, comme le pape pour le côté moral ou Marine le Pen comme égérie antisystème. Ce qui signifie que les vrais problèmes pour la véritable Epouse du Christ sont encore à venir. Car le délire socialo-maçonnique mourra probablement aux prochaines élections et c’est là et seulement là, que les choses véritablement sérieuses vont commencer.
La bataille sociétale en cours pour l’éducation et la famille nous renvoie donc directement aux fondements de l’enseignement biblique. Le plus grand commandement dans les Ecritures est : « Tu dois aimer le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta force. » (Deutéronome 6:5). En revenant au verset 2 on peut lire : « Vous apprendrez ainsi, tout au long de votre existence, à respecter le Seigneur votre Dieu et à obéir aux lois et aux commandements que je vous ai communiqués, pour vous et pour vos descendants, afin que vous jouissiez d'une longue vie. ». Les versets d’après : « Les commandements que je te communique aujourd'hui demeureront gravés dans ton cœur. Tu les enseigneras à tes enfants ; tu en parleras quand tu seras assis chez toi ou quand tu marcheras le long d'une route, quand tu te coucheras ou quand tu te lèveras. » (versets 6-7).
L’histoire hébraïque nous montre que le père devait instruire ces enfants avec diligence dans les voies et les paroles du Seigneur pour leur propre développement et bien-être spirituel. Le père obéissant aux commandements des Ecritures fait justement cela. Le point essentiel de ce passage est que les enfants soient élevés dans « l’éducation et la discipline du Seigneur » : telle est la responsabilité d’un père dans son foyer. Ce qui nous amène au passage du livre des Proverbes, 22:6-11, principalement au verset 6 qui dit ceci : « Instruis l'enfant selon la voie qu'il doit suivre ; et quand il sera vieux, il ne s'en détournera pas. ». L’instruction indique la première éducation qu’un père et une mère donnent dès la jeune l’enfance. Cette éducation doit ouvrir l’enfant à une conduite de vie qui lui est destinée. Initier l’éducation d’un enfant de cette manière est de toute importance, à l’image de l’arbre qui continue à pousser selon son inclinaison initiale.
La Bible est donc claire. Le père comme représentant de l’autorité familiale a le devoir d’enseigner sa famille dans le principe de la crainte de l’Eternel. Le shabbat fut donné pour cela et tout le décalogue s’articule autour de lui. Il ne s’agit pas de reproduire la tradition juive avec des reprises de la parasha qui ne font qu’entretenir une tradition. Mais rendre au shabbat tout son sens selon la fondation établie par le Christ puis les apôtres. Dans ce shabbat le Seigneur est convié à la table familiale pour y répandre Son Esprit et sa Parole. Le père redevient le chef familial et peut prodiguer un enseignement inspiré par la nécessité du moment et pour chacun des membres de la famille. Ceci oblige les hommes à entrer dans leur rôle spirituel sans le déléguer par facilité à un pasteur ou un groupe. C’est la meilleure réponse qu’une famille chrétienne puisse donner face aux désordres actuels dans l’Eglise et notre société.
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