Le président de la BCE Mario Draghi a dévoilé jeudi 10
janvier à Francfort le nouveau billet de 5 euros, qui sera mis en circulation à
partir du 2 mai, première coupure d'une nouvelle série de billets baptisée
"Europe". La différence majeure entre la deuxième série et la
première (apparue au lancement de l’euro le 1er janvier 2002) est l'apparition
sur les billets d'un portrait, celui d'Europe, une princesse de la mythologie
grecque séduite et enlevée par le dieu Zeus métamorphosée en taureau, qui a
donné son nom au continent. Le visage d'Europe choisi provient d'un vase
antique en céramique du 4ème siècle avant notre ère qui fait partie de la
collection du musée du Louvre à Paris.
Non seulement on baptise d’un nouveau nom la nouvelle série
des billets européens, mais de surcroit on y appose la figure d’Europa reprise
depuis un vase grec, pour bien affirmer l’encrage de ce pays en Europe et dans
l’euro. Quand bien même la Grèce ferait faillite, elle restera dans l’euro
vaille que vaille. Je me suis senti bien seul au plus fort de la crise
européenne, quand j’affirmais haut et fort que jamais le diable n’acceptera de
laisser tomber un symbole aussi fort que la Grèce sur son billet, alors que
tout le monde pronostiquait la fin prochaine de l’euro et l’éclatement de la
zone. Cependant depuis ma grande solitude, l’euro reprend des couleurs au sens propre
et figuré du terme. Car il se renforce de plus en plus face au dollar qu’il va
remplacer un jour, ça aussi je suis le seul à oser l’affirmer, pour le moment…
Mais revenons à notre billet sous sa nouvelle mouture façonnée
par le dragon, pardon Marie le dragon, encore pardon, au masculin et en
italien, Mario Draghi. Dans sa forme peu de choses changent, mais sur le fond
beaucoup. Car comme d’habitude le diable se cache dans les détails. Mais quand
je dis il se cache, c’est pour le principe, car depuis que l’Esprit Saint c’est
retiré des Eglises, Satan ne prend même plus la peine de se cacher et il agit
quasi ouvertement tant cela lui est facile. Il reste ma personne, mais cela
reste confidentiel et de toute façon il ne cherche pas à me séduire ou
convaincre, alors il a tout loisir de s’exprimer, comme moi d’ailleurs. Alors
lisons les symboles qui représentent le langage prophétique par excellence.
En visionnant la vidéo on remarque que les nouveaux
billets sont présentés sur une étoile, symbole d’Ishtar (Vénus, la reine du ciel). Il est donc facile de comprendre
que c’est la Reine du Ciel, ici la vierge Marie nouvelle Ishtar babylonienne,
qui porte les nouveaux billets vers leurs fonds baptismaux. Puis comme un grand
prêtre qui la représente, Mario Draghi qui porte son nom (Marie le dragon), va
signer et donc marquer son nom sur le filigrane, la face cachée d’Europe dans
le tissu du nouveau billet. Cette marque posée sur le front d’Europe, comme on
poserait une couronne sur la tête de la déesse, n’a rien d’anodin. Car elle
nous rappelle que les institutions européennes qui représentent la bête de l’Apocalypse
suivent à la lettre prêt ce qui est écrit dans la Bible en Ap 13:16 Et elle
fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves,
reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front. 17 et que personne ne pût acheter ni vendre,
sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom.
Après cette mise en scène grotesque et quasi religieuse, même un enfant comprendrait que cette partie prophétique du livre est désormais accomplie. Le diable peut donc y mettre la forme et l’améliorer, la peaufiner et l’enjoliver. Pourquoi se gêner, puisque lorsque la nuit est totale, plus personne ne voit plus rien. Alors entrons un peu plus dans les détails.
Le véritable gros changement dans le billet est dans le
filigrane et donc il ne se voit pas directement. Il reprend la figure d’Europe dans
sa forme mythologique avec le taureau Zeus en révérence face à la déesse. Par
ce geste la déesse est placée au-dessus du roi des dieux de l’Olympe et d’une
certaine manière elle devient reine du ciel. Mais Europe est aussi le symbole
du passage religieux des dieux phéniciens vers l’Occident. C’est donc toute la
culture babylonienne transmise aux phéniciens qui migre jusqu’à nous via la
Grèce. En restaurant au passage l’image de la Reine du Ciel qui était en
vigueur à Babylone.
Ishtar comme déesse de la guerre, c’est progressivement
hissée au sommet du panthéon babylonien, jusqu’à devenir le passage obligé de
tous les rites babyloniens. Ainsi l’allée processionnelle utilisée à chaque
grande fête, passait obligatoirement par la porte d’Ishtar ou le dieu principal
était représenté par le lion symbole de la royauté. Sa couleur bleue représente
le ciel, ce qui fait du lion de facto le souverain du ciel, ici en l’occurrence
Ishtar. Le Taureau Marduk étant renvoyé lui comme chef du troupeau terrestre et
à l’image du roi. Nabû lui est symbolisé par le calame du scribe, posé parfois
sur une tablette d’argile placée sur le dos d’un serpent-dragon, son animal
attribut, c’est la troisième représentation animalière de la porte d’Ishtar.
Nous avons donc le dieu du destin Nabû, associé au taureau Marduk dieu tutélaire
de Babylone et à la Reine du Ciel Ishtar. Le destin des hommes est donc dirigé
par les dieux représentés par la Reine du Ciel et son représentant sur terre le
roi déifié. Tout cela est contenu dans le nom même de Babylone, qui signifie la
porte des dieux.
Via la déesse Europe, on créée un trait d’union mystique
entre deux cultures et deux continents. Les romains ayant repris dans les
grandes lignes les croyances grecques, elles se sont diffusées dans l’Empire
romain pour continuer sous sa seule forme religieuse après l’effondrement de l’Empire
au travers du catholicisme. Le Moyen Age restaura dans cet âge des ténèbres, l’image
de la Reine du Ciel sous la forme mariale que l’on connait aujourd’hui et d’un
pape comme roi sur terre qui la représente. Le principe babylonien fut donc
restauré et pérennisé dans l’Eglise catholique que l’on retrouve en Ap
17:5 Sur
son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des
impudiques et des abominations de la terre.
Comme quoi en tirant sur le fil-igrane on arrive à démêler l’écheveau satanique. C’est ce qu’on retrouve en vrac dans la mise en scène de notre beau nouveau billet. L’Etoile renvoie au drapeau européen, drapeau bleu, couleur de Marie et à sa couronne de douze étoiles reprise d’Apocalypse 12. Bien revenons au filigrane. L’étymologie vient de fil, qui vient du latin filum et de grain, qui vient du latin granum. A l’origine c’est un terme d’orfèvrerie qui représente de minces fils de métal, en or ou en argent, torsadés ou pas, soudés sur une plaque de métal ou entre eux. La filigrane produit un effet de « broderie ». C’est surtout pour faire joli, d’où le mot employé au féminin : C'est une verrière diaprée, une filigrane gigantesque, une parure de fête, aussi ouvragées que celles d'une reine et d'une fiancée. Ceci s’accorderait parfaitement à la rosace d’une cathédrale et nous renvoie au fil irisé latérale du billet.
Ce fil irisé se lit presque comme un chapelet religieux de haut en bas. Chapelet qui chez les catholiques représente le fil de grains (filigrane) qui est utilisé pour compter les ‘Je vous salue Marie’. Sur le billet cela donne ceci : l’euro représente la déesse qui elle-même est la porte… Tout un poème, fait dans la dentelle et l’enluminure irisé d’un billet. Un véritable chef d’œuvre dans le symbole. C’est encore plus magistral, quand on suit l’étymologie du chapelet : Le mot français chapelet est un dérivé du mot chapeau dont la forme ancienne était chapel. À l'origine (v. 1200), il désigne une coiffe, une couronne de fleurs et devient un terme à usage religieux par analogie avec les couronnes de roses, dont on ornait la tête des statues mariales. Le diable a donc fait une boucle lexicale qui renvoie d’un symbole à l’autre sur le billet. On part du filigrane couronné par la signature de Draghi, pour suivre sa correspondance irisée sur la droite, qui nous renvoie elle par ses symboles au filigrane à gauche.
C’est tout simplement génial et diaboliquement subtil. Là
franchement on atteint des sommets dans l’art graphique symbolique. Ceci me
fait penser au moulin à prière tibétain. Vous n’avez plus besoin d’exécuter par
vous-même une prière, une simple utilisation de celui-ci produit l’action
religieuse. Donc à chaque fois que fois qu’un européen utilisera un nouveau
billet en euro, il élèvera simultanément une prière à la gloire de la Reine du
Ciel. Je vous laisse imaginez ce que cela représente pour une civilisation qui
se prétend chrétienne. Cela revient à appeler de ses vœux la Reine du Ciel à
établir son royaume et son mashiah. Maintenant on entre vraiment dans la partie
dure de l’actualité eschatologique.
Shabbat shalom,
RépondreSupprimerUn encouragement en passant, sourires! Nous tu n'es pas tout seul à penser comme tu le dis...non tu n'es pas tout seul à "voir" et "comprendre" ce qui s'en vient...il y a encore des brebis "réveillées" des enfants de Yahvé qui veillent , prennent garde et prient...
merci pour ton blog, il me sert pour le mien également.
Que Elohim te bénisse toi et toute ta famille, tes biens aimés et qu'il vous garde debout au temps terrible qui arrive.
shalom
http://amouragape.revolublog.com/