Pâque (Pessah) devrait être la fête la plus importante du
monde chrétien, car c’est celle qui nous fait entrer dans le principe de la
Nouvelle Alliance. L’agneau de Dieu révélé par Jean Baptiste sera en effet immolé
pour la Pâque juive et en prévision de ce sacrifice parfait, Jésus instaura la
sainte cène comme repas de Pâque perpétuel : Mt 26:28 car
ceci est mon sang, le sang de l’alliance, qui est répandu pour plusieurs, pour
la rémission des péchés.
Cette alliance nouvelle dans son principe est essentielle
et remplace le seder juif. Dans l’Apocalypse quand on fait référence au Messie,
c’est de l’agneau dont on parle. 27 fois ce nom est repris dans le livre de la
révélation, car il est essentiel et conditionne tout. Il va sans dire que pour
le diable il est tout aussi essentiel d’en pervertir et confondre le sens. Ne
pouvant effacer le nom de Jésus et le souvenir de son sacrifice sur la croix,
Satan va selon son habitude mêler le vrai et le faux pour au final donner un
sens totalement différent et contraire à cette fête très particulière. Avec le
temps et la complicité de la grande prostituée, Pessah est devenu « Pâques ».
En France, six jours fériés sont liés à la religion.
C’est le cas du lundi de Pâques, du jeudi de l’Ascension, du lundi de
Pentecôte, de l’Assomption (le 15 août), de la Toussaint et du jour de Noël. Un
rapide coup d’œil sur ces fêtes nous apprend que trois fêtes sont liées aux
évangiles et trois à l’apostasie catholique. A cela il convient d’ajouter la
corruption des jours liés strictement aux écritures comme celui des Pâques catholiques,
bénis par le « Père de l’Eglise » et la tradition entretenue des
lapins et des œufs décorés.
Le printemps est
dans l’air ! Les fleurs et les lapins décorent la maison. Papa aide les enfants
à peindre de beaux dessins sur des œufs teints de couleurs différentes. Ces
œufs qui, plus tard, seront cachés et que les enfants essaieront de retrouver,
sont mis dans de beaux petits paniers. Le délicieux arôme des brioches que
maman fait cuire remplit la maison. Les quarante jours de privation de certains
mets se terminent demain. Toute la famille met ses vêtements du dimanche en vue
du service religieux qui se tiendra au lever du soleil pour célébrer la
résurrection du Sauveur et le renouveau de la vie. Tous ont hâte de manger le
jambon et toutes les garnitures qui accompagnent les mets. Ce sera une journée
joyeuse. Après tout, c’est une des fêtes religieuses les plus importantes de
l’année.
Pâques, n’est-ce pas ?
Vous venez de lire une description d’une ancienne famille babylonienne — 2,000 ans avant le Christ — honorant la résurrection de leur dieu Thammuz, qui a été ramené des enfers par son épouse/mère, Ishtar (du nom de laquelle la fête a été nommée, Easter, Pâques en anglais). Dans la majorité des dialectes sémitiques « Isthar » se prononce « Easter ». Nous pourrions donc dire que les événements décrits ci-dessus constituent dans un certain sens la fête de Pâques, mais renvoie à l’ancienne fête printanière de l’Akitu, la plus grande fête babylonienne. Bien entendu, cette occasion aurait aussi bien pu parler d’une famille phrygienne qui honorait Attis et Cybèle, ou encore une famille phénicienne adorant Adonis et Astarté. La description pourrait également très bien décrire une famille hébraïque hérétique qui honorait le dieu cananéen Baal et Ashtoreth (Astarté). Ou encore cette description aurait pu facilement décrire bien d’autres célébrations de mort et de résurrection et de fertilité païenne — ce qui inclut la célébration moderne de Pâques comme elle nous est parvenue par le moyen des rites de fertilité anglo-saxons de la déesse Eostre (ou Ostara). Dans tous les cas, c’est la même fête, séparée seulement par le temps et la culture.
Vous venez de lire une description d’une ancienne famille babylonienne — 2,000 ans avant le Christ — honorant la résurrection de leur dieu Thammuz, qui a été ramené des enfers par son épouse/mère, Ishtar (du nom de laquelle la fête a été nommée, Easter, Pâques en anglais). Dans la majorité des dialectes sémitiques « Isthar » se prononce « Easter ». Nous pourrions donc dire que les événements décrits ci-dessus constituent dans un certain sens la fête de Pâques, mais renvoie à l’ancienne fête printanière de l’Akitu, la plus grande fête babylonienne. Bien entendu, cette occasion aurait aussi bien pu parler d’une famille phrygienne qui honorait Attis et Cybèle, ou encore une famille phénicienne adorant Adonis et Astarté. La description pourrait également très bien décrire une famille hébraïque hérétique qui honorait le dieu cananéen Baal et Ashtoreth (Astarté). Ou encore cette description aurait pu facilement décrire bien d’autres célébrations de mort et de résurrection et de fertilité païenne — ce qui inclut la célébration moderne de Pâques comme elle nous est parvenue par le moyen des rites de fertilité anglo-saxons de la déesse Eostre (ou Ostara). Dans tous les cas, c’est la même fête, séparée seulement par le temps et la culture.
Le retour du printemps était une grande fête chez les
peuples de l’antiquité, surtout dans les pays où l’hiver était rigoureux. A
Babylone, la légende rapportait qu’au début du printemps, un œuf géant était tombé dans la rivière de l’Euphrate, d’où
était sortie une déesse dénommée Ishtar. La fameuse porte d’Ishtar construite a l’entrée de
la ville, montrait l’importance que les Babyloniens accordaient à cette
déesse. L’œuf était considéré comme le
symbole d’Ishtar. Il était décoré et consommé
à l’arrivée du printemps. D’après l’Encyclopédie Britannica, le lièvre
était aussi vénéré au retour du printemps par plusieurs peuples de l’antiquité,
à cause de sa fécondité et de sa tendance à la prolifération. Les lapins de
chocolat et de sucre sont aussi associés à la fête de Pâques.
La fête de pâque(s) est l’occasion de rafraîchir la
mémoire d’une Histoire qui s’oublie. PâqueS, “Easter” c’est en fait “Ishtar”,
la déesse de la fertilité chez les Babyloniens (il y a plus de 3,500 ans).
C’est une figure universelle (Astarté dans le Levant, Aphrodite chez les Grecs
et Hathor chez les Égyptiens). Sa fête se célébrait à l’équinoxe du printemps.
Il y a plusieurs interprétations du mythe. Dans une version populaire,
l’absence d’Ishtar, suite à sa descente aux enfers, stoppe toute reproduction,
ce qui panique les dieux et les pousse à la libérer. Son amoureux Tammouz va se
sacrifier afin de lui permettre d’en sortir. La fête d’Ishtar salue cette
“résurrection” du printemps. On y retrouve déjà les œufs et les lapins,
symboles de fertilité par excellence. L’origine des œufs de PâqueS est donc
Babylonienne et spirituelle et provient du festival païen d’Astarté. L’antique
déesse païenne de la fertilité est fêtée un jour du soleil païen lorsque la
lune est pleine (fertilité). Le printemps païen est revenu : les lapins et
les œufs représentent la fertilité de la déesse. Astarté est la déesse de la fertilité
humaine, celle particulièrement des femmes qui veulent des enfants. Mais Ishtar
n’était pas la seule déesse que l’on fêtait au printemps, c’était aussi la
résurrection de Marduk, le dieu tutélaire de Babylone, que l’on honorait pendant le festival du printemps.
La bénédiction urbi et orbi
Cette année la bénédiction papale prend une dimension
particulière. Car depuis le renoncement de Ratzinger, une nouvelle figure de
sainteté apparait pour effacer avec la complicité des médias, les turpitudes de
la grande prostituée. Comme je l’ai déjà écrit, tout cela est très politique.
Il fallait absolument relever l’image de l’Eglise catholique qui s’effondrait
dans la coupe de ses vices innommables. On a donc orchestré un véritable show
autour de l’élection et la personnalité du nouveau pape. On a fabriqué de
toutes pièces en quelques jours, une image de sainteté qui colle à celle de
François d’Assise. Tous les jours à la télé on vante les mérites de ce pape
fait de simplicité d’amour et bienveillance. On le canonise de son vivant.
Le pape François a lavé jeudi les pieds de douze détenus,
dont deux jeunes filles, dans une prison de Rome, un geste sans précédent et
empreint d'émotion à l'occasion de la traditionnelle messe du Jeudi saint.
L'ex-archevêque de Buenos Aires, Jorge Bergoglio, élu le 13 mars et qui a
choisi son prénom de pape en hommage au saint patron des plus pauvres, saint
François d'Assise, avait choisi de célébrer la messe de la cène, avec le
traditionnel lavement des pieds, dans le centre de détention pour mineurs de
Casal del Marmo, dans la banlieue de Rome, et non dans l'immense et froide
basilique Saint-Jean de Latran. Le choix des 12 nous rappelle qu’il est bien le
remplaçant du fils de Dieu sur terre. Avec le titre de père que ce même fils de
Dieu interdit : « N’appelez personne
votre « père » sur la terre : car vous n’en avez qu’un, le Père Céleste. »
(Mathieu 23:9).
Un pape étendu sur le sol de la basilique Saint-Pierre en
signe d’humilité durant la semaine sainte et qui délaisse ses appartements
pontificaux pour vivre encore parmi ses frères cardinaux : jour après jour,
geste après geste, François manifeste depuis son élection ce sens du
dépouillement qu’il veut transmettre à toute l’Église. Cela passe par des
détails vestimentaires - ni croix d’or ou mosette (la pèlerine papale) ni
chaussures rouges -, mais surtout via des actes et paroles forts. Jamais la
séduction n’aura été aussi forte et subtile. Il aura donc fallu 2000 ans aux
papes pour imiter le Christ dans le geste, mais certainement pas dans l’esprit,
il ne faut pas être naïf à ce point. Nous sommes maintenant à un tournant et c’est
maintenant, plus que jamais, qu’il va falloir faire preuve de vigilance et de
fermeté dans la foi. Car la prochaine étape de séduction va certainement se
porter vers un œcuménisme rénové et renforcé.
Cependant rien ne changera dans le fond. Le début de son pontificat
commença à la première basilique chrétienne dédiée à la Vierge. Ainsi c’est
bien toujours Ishtar la Reine du Ciel babylonienne qui tient les rênes au
travers de la figure de Marie. Il faut maintenant, je le répète et le souligne
avec force, être sur ses gardes de la manière la plus forte qui soit. Cette
Pâques est donc très particulière et jamais comme aujourd’hui les paroles d’Apocalypse
18 n’auront eu plus de sens : 4 Et j’entendis du ciel une autre voix qui
disait : Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin que vous ne participiez
point à ses péchés, et que vous n’ayez point de part à ses fléaux.
Ce blog a été conçu pour de tels moments, éduquer et
prévenir l’Epouse du Christ. Aujourd’hui le petit nombre de lecteurs de ce blog
devraient être en mesure de faire face à la menace maximum qui se présente à
leur porte. Ne prenez pas le risque de vivre une Pâque à l’envers comme le
vécurent les juifs qui ne reconnurent pas en Jésus le Mashiah. Car pour eux se
fut ruine, mort et esclavage pour 2000 ans. Aujourd’hui c’est le monde chrétien
qui est confronté au même défi, saura t’il reconnaitre le jour et l’heure du
retour du Christ ? La Bible nous dit clairement que seul un reste
veillera. Qui aujourd’hui prend conscience qu’en se réunissant autour de l’obélisque
de Saint Pierre de Rome pour recevoir la bénédiction papale de Pâques, c’est
dans les chaînes de l’Egypte que le peuple s’en retourne? C’est sous la tutelle
d’un pharaon destructeur qu’ils se placent? Dans la lumière de Ra le dieu
solaire égyptien, la nuit est totale !
Le repas pascal
L'agneau
symbole de Pâques dans la religion chrétienne, est l'une des
représentations de Jésus-Christ L'agneau pascal symbolise parfaitement les
notions d'innocence et d'obéissance. L'agneau pascal est la représentation
symbolique du sacrifice fait par Abraham à la demande de Dieu. L'agneau
représente sa soumission à la volonté de Dieu puisqu'il était prêt à sacrifier
son propre fils si Dieu l'exigeait. L'agneau est traditionnellement invité à la
table de Pâques puisqu'il est le souvenir de ce sacrifice et de cette
obéissance à Dieu. Selon les pays et les traditions chrétiennes, la
consommation de l'agneau est plus ou moins importante et plus ou moins intégrée
au rituel de Pâques. Dans les deux religions, l'agneau est présent sur la table du
repas de la fête de Pâques. L’Alsace qui aura imposé le sapin de Noël païen est
aussi la région qui moule des agneaux en forme de gâteaux pour Pâques. De
nombreuses familles cuisineront donc pour garder une certaine tradition un
agneau pour le repas de Pâques.
Aux problèmes religieux déjà évoqués ci-dessus vient
aujourd’hui s’en ajouter un nouveau. La viande sacrifiée rituellement par les musulmans.
Les musulmans étant par tradition de grand consommateur de mouton, bien plus
que le reste de la population, les producteurs ne s’embarrassent plus guère de
complications au moment de l’abattage, pour faire simple et des économies, la plus
part des moutons et agneaux sont donc halal. Les exécutants doivent obligatoirement être
des sacrificateurs habilités par des organismes religieux agréés : la grande
Mosquée de Paris, la Mosquée de Lyon et la Mosquée d'Evry pour l'abattage
rituel musulman. Allah étant une ancienne forme du dieu Sin, le dieu de la
Lune, nous voilà confrontés désormais à deux formes de déviances religieuses
pour une seule fête censée représenter le sacrifice de Jésus. Je vous laisse
imaginer ce que peut représenter une table décorée avec des œufs et des lapins,
avec au milieu un agneau halal servi pour Pâques…
L’apostasie dans toute sa mesure
Alors que le nouveau pape François d’Assise présidait le
vendredi 29 mars son premier Chemin de croix au Colisée, priant avec les
milliers de fidèles pour l'Orient en guerre et contre l'avortement et
l'euthanasie. Notre François national, président de toutes les erreurs et
fautes politiques possibles vient de s’illustrer dans une nouvelle célébration
de sa messe maçonnico-républicaine. Je doute fort qu’il soit ici question d’un
choix malheureux, car je connais trop bien maintenant les francs-maçons dans leur guerre laïque, pour
reconnaitre leur sens du symbole. Ils ont choisi symboliquement le jour de la
mort et de la résurrection pascale pour annoncer ce dimanche 31 mars, que les
jeunes filles de 15 à 18 ans pourront se procurer gratuitement des pilules
contraceptives dans les pharmacies, ainsi que les IVG (interruption volontaire
de grossesse) qui seront désormais également intégralement remboursées, pour
toutes les femmes, toutes tranches d'âge confondues. Ce qui inclut les enfants
cités plus haut de 15 à 18 ans. Là on touche le fond ! Nous vivons un
véritable Pearl Harbor chrétien, le jour de l’infamie de Roosevelt, devient le
jour de l’infamie du Seigneur. C'est une véritable déclaration de guerre envers le Souverain
des nations. Je comprends beaucoup mieux tous les avertissements spirituels de
ces derniers temps.
La gratuité des moyens de contraception pour les mineures
et la prise en charge à 100% de l'avortement pour toutes les femmes sont
effectives à partir de ce dimanche. Ces deux promesses de campagne de François
Hollande ont été votées en octobre par l'Assemblée dans le cadre du projet de
loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2013. Le décret instaurant la gratuité des moyens
contraceptifs pour les jeunes filles de 15 à 18 entre donc en vigueur ce
dimanche, ainsi que la prise en charge à 100% de l’avortement pour toutes les
femmes. "Lever les barrières qui entravent encore l'accès à ce droit
fondamental : c'est le sens de l'action que j'ai engagée comme ministre des affaires
sociales et de la santé", a précisé la ministre de la Santé Marisol
Touraine sur son site. Après le mariage pour tous, l’avortement pour tous !
La nuit est totale.
Le principe sacré du mariage et de la famille est foulé
aux pieds. Le mariage terrestre, bibliquement renvoie au mariage céleste, aux noces
de l’agneau et à l’Epouse de l’agneau. Ce président irréligieux, sans épouse,
car non marié, étend son sens du libertinage à toute la société. Les pratiques
antéchrists sont désormais totales dans ce pays maudit. Soumis à la bête de l’Apocalypse,
l’Union européenne, frappée de la marque de la bête, sa monnaie, conduit par le
faux prophète de Rome et vivant comme les sodomites sans aucune crainte de
Dieu. Je peux donc affirmer au nom du Seigneur, que la France est en état de
guerre vis-à-vis de Dieu, le Seigneur des armées célestes.